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Avec ses riches sonorités, ses résonances joyeuses ou inquiètes, Le Chant de la forêt a le pouvoir envoûtant d’un poème au long cours, qui épouse les mystères de la nature et « la patience du monde », selon une expression indienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ce film d’animation, s’il pêche sur certaines séquences par son graphisme tape-à-l’œil, déroule une histoire fantastique pleine de suspense, d’humour et de rebondissements qui n’a rien à envier à celles issues des grands studios d’animation américains.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ce conflit entre industrie et nature, entre technologie et mystique, est bel et bien le moteur du film et son enjeu. Mais, avant tout, le spectateur est embarqué dans une palpitante aventure animée.
Même si le film pourra paraître un poil longuet aux grands dadais qui s’y traîneront (la faute à ses multiples personnages, entraînant autant d’intrigues à boucler en 90 minutes), et les chansons très oubliables (car il y en a : heureusement, elles sont rares), ce Royaume-là est une jolie surprise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le message gentiment écologique — comment les puissances de la nature se défendent contre la cupidité des humains — se dilue hélas dans le sucre et le plastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un bijou d'animation.
La Voix du Nord
Ce film d'animation mérite l'attention.
Le Dauphiné Libéré
Un antagonisme classique, mais l'animation le rehausse par son inventivité éblouissante et colorée.
Le Figaro
Avec ses riches sonorités, ses résonances joyeuses ou inquiètes, Le Chant de la forêt a le pouvoir envoûtant d’un poème au long cours, qui épouse les mystères de la nature et « la patience du monde », selon une expression indienne.
Le Parisien
Ce film d’animation, s’il pêche sur certaines séquences par son graphisme tape-à-l’œil, déroule une histoire fantastique pleine de suspense, d’humour et de rebondissements qui n’a rien à envier à celles issues des grands studios d’animation américains.
Ouest France
Ce conflit entre industrie et nature, entre technologie et mystique, est bel et bien le moteur du film et son enjeu. Mais, avant tout, le spectateur est embarqué dans une palpitante aventure animée.
Les Fiches du Cinéma
Un conte profond et édifiant à tous égards.
Première
Même si le film pourra paraître un poil longuet aux grands dadais qui s’y traîneront (la faute à ses multiples personnages, entraînant autant d’intrigues à boucler en 90 minutes), et les chansons très oubliables (car il y en a : heureusement, elles sont rares), ce Royaume-là est une jolie surprise.
Télé Loisirs
Cette animation ukrainienne, un peu lisse, n'est pas parfaite, mais ses créatures sont très jolies et souvent amusantes.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation pour le jeune public traditionnel, dont certaines séquences esthétiques méritent le coup d’œil.
La Croix
Ce plaidoyer en faveur d’une relation plus harmonieuse entre l’homme et la nature est dans l’air du temps et relativement convenu.
Télérama
Le message gentiment écologique — comment les puissances de la nature se défendent contre la cupidité des humains — se dilue hélas dans le sucre et le plastique.