Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Matt Winn mitonne un festin satirique et macabre à la table de la bourgeoisie anglaise. Un jeu de massacre jubilatoire où l’humour noir est roi, porté par un casting britannique exceptionnel : Shirley Henderson, Alan Tudyk, Rufus Sewell et Olivia Williams.
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'unité de temps et de lieu donne à ce film des allures de théâtre filmé, avec tout le charme de l'esprit anglais.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un jeu de massacre jubilatoire où l’humour noir est roi, porté par un casting britannique exceptionnel : Shirley Henderson, Alan Tudyk, Rufus Sewell et Olivia Williams.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On aurait aimé que le jeu de massacre soit plus mordant. Certaines scènes évoquent même le théâtre de boulevard. Mais on peut se délecter de cette invraisemblable fantaisie noire qui tourne au règlement de comptes chez les riches.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Cet hilarant vaudeville s'amuse des mille et un retournements de situation qui vont faire obstacle à l'objectif que s'est fixé Sarah. Le film s'avère surtout une irrésistible satire de la middle class britannique, évoquant à mots couverts l'amitié, les remords ainsi que l'hypocrisie d'une classe sociale qui ne pense plus qu'à son petit confort.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl
Traversé de problèmes pragmatiques et de dilemmes moraux, ce quasi-huis clos s’affranchit du théâtre filmé auquel son dispositif aurait pu le destiner.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Comédie grinçante, « Dîner à l'anglaise » aligne quelques gags et surprises, sans renouveler le bon vieux ressort du cadavre encombrant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une comédie subtile sur nos égoïsmes.
Première
par Thierry Chèze
Et si ce récit aurait sans doute eu plus de puissance sur scène, l’humour pince sans rire so british qui s’y déploie, le sens des quiproquos et une galerie de personnages bien plus retors que leur apparence ne peut le laisser croire font de ce Dîner à l’anglaise une satire piquante de la middle class britannique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par La Rédaction
On savoure le piquant des dialogues (...). On aurait juste préféré une fin plus audacieuse.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Tout y est dans ce pudding britannique, hyper bien joué, certes, mais écrit avec l'envie manifeste d'exaspérer le spectateur- on ne voit que ça.
L'Obs
par Isabelle Danel
De révélations en coups de sonnette importuns, une routine s’installe, et tel le clafoutis faisant office de running gag foireux, ce film pas drôle retombe comme le flan déguisé qu’il est.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Etrangement, on pense à Jo (1971), de Jean Girault, avec Louis de Funès et Bernard Blier, face à ce dispositif théâtral dans lequel se débattent des personnages. Sauf qu’on n’éprouve pas tellement d’empathie pour eux et que le huis clos est plus méchant que drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La Rédaction
Plus une pièce de boulevard qu'un film, c'est le reproche que l'on peut faire à cette comédie en vase clos, prévisible, plan plan… Chacun joue sa partie mais les dialogues semblent fabriqués. Bref, on attendait mieux de cette comédie anglaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par La Rédaction
Une variation sur l’amour et l’amitié qui manque cependant de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Cécile Mury
Le Britannique Matt Winn, dont c’est le premier long métrage, vise les hauteurs de la comédie noire, mais ne parvient pas à décoller des platitudes d’un vaudeville vaguement grinçant, déjà mille fois vu ailleurs, en mieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Dîner à l'anglaise pèche par son écriture qui rend les réactions des personnages artificielles. On pourra néanmoins apprécier les solides prestations d'acteurs (...).
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une comédie anglaise mollassonne et convenue. On peine à s'intéresser aux péripéties policières et conjugales de ces personnages médiocres et égocentriques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
Matt Winn mitonne un festin satirique et macabre à la table de la bourgeoisie anglaise. Un jeu de massacre jubilatoire où l’humour noir est roi, porté par un casting britannique exceptionnel : Shirley Henderson, Alan Tudyk, Rufus Sewell et Olivia Williams.
Femme Actuelle
L'unité de temps et de lieu donne à ce film des allures de théâtre filmé, avec tout le charme de l'esprit anglais.
Le Dauphiné Libéré
Un jeu de massacre jubilatoire où l’humour noir est roi, porté par un casting britannique exceptionnel : Shirley Henderson, Alan Tudyk, Rufus Sewell et Olivia Williams.
La Voix du Nord
On aurait aimé que le jeu de massacre soit plus mordant. Certaines scènes évoquent même le théâtre de boulevard. Mais on peut se délecter de cette invraisemblable fantaisie noire qui tourne au règlement de comptes chez les riches.
Le Figaro
Cet hilarant vaudeville s'amuse des mille et un retournements de situation qui vont faire obstacle à l'objectif que s'est fixé Sarah. Le film s'avère surtout une irrésistible satire de la middle class britannique, évoquant à mots couverts l'amitié, les remords ainsi que l'hypocrisie d'une classe sociale qui ne pense plus qu'à son petit confort.
Le Monde
Traversé de problèmes pragmatiques et de dilemmes moraux, ce quasi-huis clos s’affranchit du théâtre filmé auquel son dispositif aurait pu le destiner.
Les Echos
Comédie grinçante, « Dîner à l'anglaise » aligne quelques gags et surprises, sans renouveler le bon vieux ressort du cadavre encombrant.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie subtile sur nos égoïsmes.
Première
Et si ce récit aurait sans doute eu plus de puissance sur scène, l’humour pince sans rire so british qui s’y déploie, le sens des quiproquos et une galerie de personnages bien plus retors que leur apparence ne peut le laisser croire font de ce Dîner à l’anglaise une satire piquante de la middle class britannique.
Télé 7 Jours
On savoure le piquant des dialogues (...). On aurait juste préféré une fin plus audacieuse.
CinemaTeaser
Tout y est dans ce pudding britannique, hyper bien joué, certes, mais écrit avec l'envie manifeste d'exaspérer le spectateur- on ne voit que ça.
L'Obs
De révélations en coups de sonnette importuns, une routine s’installe, et tel le clafoutis faisant office de running gag foireux, ce film pas drôle retombe comme le flan déguisé qu’il est.
Le Journal du Dimanche
Etrangement, on pense à Jo (1971), de Jean Girault, avec Louis de Funès et Bernard Blier, face à ce dispositif théâtral dans lequel se débattent des personnages. Sauf qu’on n’éprouve pas tellement d’empathie pour eux et que le huis clos est plus méchant que drôle.
Le Point
Plus une pièce de boulevard qu'un film, c'est le reproche que l'on peut faire à cette comédie en vase clos, prévisible, plan plan… Chacun joue sa partie mais les dialogues semblent fabriqués. Bref, on attendait mieux de cette comédie anglaise.
Sud Ouest
Une variation sur l’amour et l’amitié qui manque cependant de mordant.
Télérama
Le Britannique Matt Winn, dont c’est le premier long métrage, vise les hauteurs de la comédie noire, mais ne parvient pas à décoller des platitudes d’un vaudeville vaguement grinçant, déjà mille fois vu ailleurs, en mieux.
Voici
Dîner à l'anglaise pèche par son écriture qui rend les réactions des personnages artificielles. On pourra néanmoins apprécier les solides prestations d'acteurs (...).
aVoir-aLire.com
Une comédie anglaise mollassonne et convenue. On peine à s'intéresser aux péripéties policières et conjugales de ces personnages médiocres et égocentriques.