Avis : Monsieur, le Maire - Page 10

Vu et vraiment pas intéressant. L'histoire du film est d'un ridicule. On se croirait au pays des Bisounours. Les comédiens ne sont pas bons. Un navet en résumé.

Scénario niais et convenu a peine digne d un téléfilm. On peut deviner aisément tous les rebondissements et le Happy end dès le 1er quart d'heure. Les personnages sont caricaturaux et tellement prévisibles. A éviter.

Monsieur, le Maire. Film social qui sied si bien à Clovis Cornillac. Inspiré d'une histoire vraie. C'est frais et dans l'air du temps. Trois étoiles et demie.

Les comédiens jouent de manière caricaturale et le scénario se limite à une idée qui n’est pas développée.

Bon, sans surprise, on s'ennuie un peu dans ce petit film tellement prévisible, qui a en plus la mauvaise idée de presque tout nous raconter dans sa bande annonce.
La comédie-rurale-feel-good est un genre à la mode. Le piège est donc de "dérouler" une comédie dramatique dont tous les rouages et les rebondissements sont déjà vu et revus 100 fois. Là où "les petites victoires" avait su habilement renouveler le genre, avec une intrigue bien construite et une fin en demi-teinte, ici, on a malheureusement l'overdose habituelle de clichés et de bons sentiments.
Reste que comme le vin, Clovis Cornillac semble se bonifier avec le temps; cet acteur prend, au fil de ses rôles une "épaisseur" de plus en plus plaisante. Face à lui, Eye Haïdara est une partenaire de jeu tout à fait à la hauteur, juste et touchante. ça ne suffit malheureusement pas pour donner de l'intérêt au film.

Une belle histoire sur plusieurs sujets sérieux avec un léger trait d'humour dommage que la presse ne s'est pas intéressé à ce film (seulement 3 critiques presse)

C'est vivre dans le passè qui tue à petit feu ce village tranquille de la Haute Savoie qui compte 458 habitants! Cette comèdie dramatique s'inspire librement d'une histoire vraie sur la dèsertification des villages et quoi de plus rèconfortant qu'un film populaire 100 % èco-responsable pour en parler! Un maire de montagne dèbordè et une chanteuse de country qui tente de s'en sortir avec ses enfants n'ont pas tellement de raison de se rencontrer ici et vont, contre toute attente, s'aider mutuellement pour transformer un bâtiment municipal en foyer social! C'est un genre où excelle Clovis Cornillac dont le personnage se remet en question, s'adapte, prend des dècisions...face à Eye Haïdara qui nous communique sa belle ènergie et qui, ma fois, est agrèable à regarder avec ses bottes de cowboy! Tout est une nouvelle fois sacrifiè à l'espoir sur la nature humaine, aux bons sentiments et aux paysages façon « carte postale » : on peut ne pas s'en plaindre et trouver le film sympathique et lumineux...

Une histoire vraie d’un maire qui ouvre un foyer social au milieu des montagnes, un film minimaliste qui vaut par son interprétation plus que par sa mise en scène et son rythme très anticipable. Une petite bluette d’été ni plus ni moins.

Après « Les petites victoires », « Monsieur le Maire » montre combien l’exercice de la fonction dans un petit village est extrêmement accaparant, donc épuisant.
Je comprends le découragement de certain(e)s maires et mairesses.

Les portraits des personnages de « Monsieur le Maire » frisent le cliché, cependant l’émotion m’a gagné par endroits comparé au dernier film de Robert Guédiguian où je me suis aperçu que l’agitation de ses personnages me laissaient indifférents.
Si les clichés semblent inévitables, les réalisateurs évitent de trop appuyer sur la victimisation de ces jeunes femmes. Cela se traduit par quelques photos sorties de dossiers que parcourt succinctement le Maire (Clovis Cornillac). Le spectateur entrevoit. C’est suffisant, inutile de s’y attarder.

« Monsieur le Maire » est prévisible, mais comme c’est inspiré d’une histoire vraie et qu’elle s’est bien terminée, je me dis que la fin si prévisible soit-elle ne fait que refléter une réalité.
Je m’incline.

Un maire pour faire fasse à la baisse de la population accepte l'hébergement de femmes mère seules dan son village. Tiré d'une histoire vraie, le film sonne juste. On n'est pas dans le style bisounours du socialement correct, ou pas trop. Cornillac joue le bougon au bon coeur comme à son habitude au milieu d'acteurs authentiques et crédibles. L'évolution narrative est classique mais bien menée. Une comédie sociale.

Une comédie française classique. C'est léger et utopiste : tout est bien qui finit bien.

Bien pour passer un moment détente, on devine comment le film va se terminer et il n'y a pas de prise de risque.

Très bon scénario, subtil, touchant , traitant avec vraisemblance d'enjeux sociétaux : solidarité aux femmes isolées, responsabilités et défis des maires de zone rurale qui ont souvent un travail prenant quand ils sont encore actifs, désertification rurale et mort des villages entrainant plus largement, la mort de l’Éducation Nationale, des services publics, touchant les valeurs et principes de la république... bien joué, bien réalisé, voilà un très bon film français tourné dans de magnifiques paysages du Pays du Mont Blanc, sous fond musical en harmonie avec le reste...pour offrir une note d'espoir, de positivité et et une touche d'humanité et de tendresse!

un film qui fait du bien ... beau ... bien filmé... sans patos . fait du bien pas si simple en fait ... même très dure ... vu le nombre de navets ....

Clovis :Cornillac tjrs excellent, film sympathique, rafraichissant dans ce monde où ns vivons, mais un peu utopique à mon sens !

Ni horrible ni catastrophique juste un téléfilm qui occupe 1h30.
Les acteurs sont bons dans l'ensemble et je ne comprend pas le bashing entourant ce film.
Bref, se regarde aussi vite qu'il s'oubli mais pas aussi mauvais que ce à quoi je m'attendais