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Votre avis sur Conclave ?
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Voilà un thriller étonnant. Il nous plonge dans l’atmosphère passionnante de l’élection d’un nouveau pape : on append plein de choses du déroulement d’un conclave, mais on est loin d’un reportage, c’est bien une intrigue qui sert de fil tendu tout au long du film jusqu’aux rebondissements finaux. On est tenu en haleine tout le long, la réalisation est remarquable (très beau plans dans le Vatican), Ralph Fiennes est prodigieux dans le rôle du doyen qui conduit le conclave avec un mélange de subtilité, de doute et d’autorité. On peut trouver inutile ou saugrenu le dernier rebondissement mais il n’efface pas l’ensemble du film, qui est très réussi et que je recommande
Un peu l'avant de "l'Habemus papam",comment se passe l'élection d'un appe,rien à envier à nos assemblées.Mais ici c'est l'occasion d'un véritable thriller,un jeu de cluedo pour éliminer certains et des dialogues percutants dessinant l'éventail des pensées des cardinaux.Les images,la musique et le jeu des acteurs,tout est au top,sauf peut-être la fin un peu trop mode à mon goût,mais pourquoi pas?
Un film incroyablement passionnant et intelligent. Un thriller sur fond de conclave, suite à la mort mystérieuse d'un pape. Des enjeux complètement d'actualité, entre une église progressiste ou conservatrice et l'importance de la place de la femme dans la religion. Je ne pensais pas être captivée par cette histoire mais le suspense va crescendo et la fin est complètement inattendue. À voir !
Film politique puisque ces cardinaux se trouvent être à l'image de la société qui tangue entre conservaterisme extrémiste et ouverture sociale. L'imagerie du film et le talent des acteurs, dont un remarquable Ralph Fiennes (vers l'Oscar ?), nous plonge dans une ambiance âpre avec un cadre si ordonné en contraste. Mais malheureusement, le film en fait et dit trop sur sa conclusion ce qui me fait personnellement complètement sortir du récit.
Excellent film parce que souvent les hommes de dieu sont très motivés par le bien,même leur ambition d'être LE PAPE est en fait est limité par leur souhait d'être de bons gars ,j'ai beaucoup aimé !presque je serai catholique mais le Christ ne possède pas autant de beau vêtements! excellent film
Un film magnifique sur le Vatican et la nomination d’un nouveau Pape.
Le film commence lentement avec la présentation des cardinaux et il s’accélère lorsqu’il s’agit de traiter de la moralité du futur pape qui doit être irréprochable. On traite à ce moment-là tous les problèmes que rencontrent la religion catholique. Par contre., la fin est très hollywoodienne….
Le film commence lentement avec la présentation des cardinaux et il s’accélère lorsqu’il s’agit de traiter de la moralité du futur pape qui doit être irréprochable. On traite à ce moment-là tous les problèmes que rencontrent la religion catholique. Par contre., la fin est très hollywoodienne….
Le scénario très convenu (j’avais deviné la fin au bout de 15 minutes, l’intrigue n’est finalement guère palpitante) est sauvé par la mise en scène et par le talent des acteurs.
Film d’une médiocrité absolue qui nous entraîne dans un fourre-tout woke de bien pensance sans avoir imaginé un réel scénario digne de la vérité et de la nuance d’une investigation. L’Eglise est ici représentée comme le mal absolu, avec une vision ultra manichéenne des méchants conservateurs et des gentils progressistes, sur fond d’attentats islamistes sortis de nulle part. Le scénario n’a aucune profondeur, il s’éparpille dans l’idéologie et la lourdeur de points de vue biaisés, et tente de donner l’impression au spectateur que c’est un bon film. Que nenni, la fin de ce navet dévoile toute sa bouffonnerie avec un rebondissement ridicule qui n’a absolument aucune cohérence avec le reste.
Vu en français, ce film est excellent. Une intrigue bien ficelée et une fin qui déroute, mais pourquoi pas.
La bande son est excellente et la lumière est très réaliste.
La bande son est excellente et la lumière est très réaliste.
Deux heures de huis clos sur une autre planète. On ne les voit pas passer. Surtout quand on oublie le synopsis officiel. Ce dernier dit tout de l'histoire (donc on n'en dira rien) ; il en dit d'ailleurs trop comme souvent, et même il nous piège (il présage de la suite de l'évènement alors qu'en vérité on n'en saura rien, car ce n'est pas l'objet du film).
L'objet du film, c'est cette planète, à la limite de notre galaxie, un monde comme il n'en existe pas d'autre depuis deux mille ans. Et pourtant, un monde exclusivement peuplé d'humains, c'est-à-dire d'être imparfaits, voire franchement coquins. Mais parmi lesquels, un élu est censé être élu. Sera-t-il le moins pire des cardinaux, comme beaucoup finissent par en convenir ? Sera-t-il pétri de doutes comme il est admis ? Sera-t-il au contraire celui qui "existe entre les certitudes du monde".
Pour l'interpréter, nous avons en tête d'affiche un maître qui sait transmettre les sentiments les plus profonds, Ralph Fiennes. Nous retrouvons notre cher John Lithgow, doué pour les rôles de pourris (Cliffhanger, Dexter), la bouche en accent circonflexe ou tentant de reprendre une respiration. Mais le rôle principal, c'est le pape qui est mort, donc son esprit, qui au final se méfiait de tous ses cardinaux... sauf un, peut-être.
C'est là qu'il est formellement interdit de spoiler car la fin est réjouissante, et époustouflante.
A.G.
L'objet du film, c'est cette planète, à la limite de notre galaxie, un monde comme il n'en existe pas d'autre depuis deux mille ans. Et pourtant, un monde exclusivement peuplé d'humains, c'est-à-dire d'être imparfaits, voire franchement coquins. Mais parmi lesquels, un élu est censé être élu. Sera-t-il le moins pire des cardinaux, comme beaucoup finissent par en convenir ? Sera-t-il pétri de doutes comme il est admis ? Sera-t-il au contraire celui qui "existe entre les certitudes du monde".
Pour l'interpréter, nous avons en tête d'affiche un maître qui sait transmettre les sentiments les plus profonds, Ralph Fiennes. Nous retrouvons notre cher John Lithgow, doué pour les rôles de pourris (Cliffhanger, Dexter), la bouche en accent circonflexe ou tentant de reprendre une respiration. Mais le rôle principal, c'est le pape qui est mort, donc son esprit, qui au final se méfiait de tous ses cardinaux... sauf un, peut-être.
C'est là qu'il est formellement interdit de spoiler car la fin est réjouissante, et époustouflante.
A.G.
Un film puissant.
Un suspens bien orchestré jusque la fin.
Des images très soignées.
Les acteurs sont prodigieux.
La fin, que je ne dévoilerai pas, transmet un message politique qui est décevant. A l'image de notre époque woke ?
Tout ça pour en arriver là ? Dommage.
Un suspens bien orchestré jusque la fin.
Des images très soignées.
Les acteurs sont prodigieux.
La fin, que je ne dévoilerai pas, transmet un message politique qui est décevant. A l'image de notre époque woke ?
Tout ça pour en arriver là ? Dommage.
Décors somptueux ! Acteurs somptueux !
Mise en scène somptueuse ! BÔ somptueuse !
Intrigue ciselée.
Mise en scène somptueuse ! BÔ somptueuse !
Intrigue ciselée.
Dans les films qui m'auront marqué cette année, je pense que Conclave occupe une bonne place.
Superbement réalisé, le film offre de beaux visuels et installe très rapidement une atmosphère de thriller politique dans lequel les enjeux se dévoilent petit à petit.
La question de la foi dans nos convictions les plus profondes mais aussi de ce qu'est l'Église par rapport à la religion est traitée avec justesse.
Chaque personnage joue un rôle important et apporte une vision différente.
L'affrontement de la foi et des convictions face aux concessions et aux ambitions révèle de nombreux rebondissements.
Avec cette approche, Conclave nous montre la dimension politique intrasèque de l'Église incarnée par des acteurs dans leur élément.
Loin d'être moralisateur, ce film se veut être une ode à la tolérance. La fin, quoi que utopiste, a le mérite de concilier valeurs traditionnelles et conditions actuelles.
Superbement réalisé, le film offre de beaux visuels et installe très rapidement une atmosphère de thriller politique dans lequel les enjeux se dévoilent petit à petit.
La question de la foi dans nos convictions les plus profondes mais aussi de ce qu'est l'Église par rapport à la religion est traitée avec justesse.
Chaque personnage joue un rôle important et apporte une vision différente.
L'affrontement de la foi et des convictions face aux concessions et aux ambitions révèle de nombreux rebondissements.
Avec cette approche, Conclave nous montre la dimension politique intrasèque de l'Église incarnée par des acteurs dans leur élément.
Loin d'être moralisateur, ce film se veut être une ode à la tolérance. La fin, quoi que utopiste, a le mérite de concilier valeurs traditionnelles et conditions actuelles.
« Conclave » est un thriller intéressant qui nous fait pénétrer « en petite souris » dans les coulisses du Vatican à un moment clé qui est l’élection du nouveau pape après le décès de ce dernier. Religion, Politique et Lutte de pouvoir ont toujours virevolté autour des mêmes affres et ce huit clos le montre très bien. En revanche, malgré de belles images chorégraphiées : on joue sur les couleurs, les symétries, le travelling circulaire (mouvement de caméra à 360), je n’ai pas été marquée plus que ça. Le film se « réveille » par moments et un peu vers la fin avec son twist final surprenant (et quelque peu rocambolesque). Enfin et c’est personnel, je n’ai pas boudé mon plaisir de revoir à l’écran Sergio Castellito dans le rôle du Cardinal Tedesco, un acteur/réalisateur italien que j’adore et dont le film « Non ti muovere » est dans le TOP 5 de mes films préférés de tous les temps <3
Sinon, je ne suis peut-être pas objective mais je préfère largement, dans le même registre, « La conspiration du Caire » dont j’ai parlé récemment et dont l’intrigue est beaucoup plus haletante et mieux construite pour moi (rdv sur arte.tv)
Sinon, je ne suis peut-être pas objective mais je préfère largement, dans le même registre, « La conspiration du Caire » dont j’ai parlé récemment et dont l’intrigue est beaucoup plus haletante et mieux construite pour moi (rdv sur arte.tv)
Quel plaisir de voir Ralph Fiennes, il incarne parfaitement son rôle (comme souvent).
Le film met clairement en évidence que l’église n’échappe pas aux bassesses humaines: les mensonges, le scandale et la soif du pouvoir en occultant la morale… Cela permet un thriller en soutane.
On comprend assez rapidement vers quoi tend le long métrage. Malgré tout, la fin reste inattendue ou du moins tellement grossière qu’on regrette cette finalité.
Le film met clairement en évidence que l’église n’échappe pas aux bassesses humaines: les mensonges, le scandale et la soif du pouvoir en occultant la morale… Cela permet un thriller en soutane.
On comprend assez rapidement vers quoi tend le long métrage. Malgré tout, la fin reste inattendue ou du moins tellement grossière qu’on regrette cette finalité.
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