AlloCiné
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Votre avis sur Cash ?
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Comédie sympathique au scénario simpliste mais qui passe bien, des acteurs qui n ont pas pignon sur rue mais qui arrivent à faire le job. Un moment de détente non sophistiqué.
Film ayant pour thème la magouille et le vol dans une entreprise de conditionnement de parfum. C'est plaisant à suivre. Raphael Quenard, ayant le rôle principal de cette petite comédie (ne vous attendez pas à rire, ni sourire), il s'en sort haut la main. Il est voué à monter dans le monde du cinéma.
La moyenne spectateur est incompréhensible. « Original », « digne d’un film hollywoodien », « personnages attachants » les critiques nous vendent le nouveau ocean’s eleven, la vérité est tout autre et je vais vous la dévoiler ! Acting qui oscille entre ridicule et risible, scénario des plus classiques, aucune traces d’humour et surtout bourré de cliché comme cette voix-off incessante. On ne regarde pas vraiment un film mais plutôt 1h30 de best of. [Moins impactant que le vidéo-gag présenté par Bernard Montiel.] On ne s’attache pas à Daniel Sauveur et encore moins aux personnages qui gravitent autour. On aurait pu saluer le plan ingénieux du braquage, mais on passe plus temps à nous le raconter plutôt qu’à le vivre.
Ne perdez pas votre temps... en 1h35 j’aurais pu faire deux top 1 sur Fortnite.
Ne perdez pas votre temps... en 1h35 j’aurais pu faire deux top 1 sur Fortnite.
Très bon scénario, bien filmé, sans trop ni pas assez ! Le casting est convaincant dans l'ensemble même si Raphaël Quenard est vraiment au dessus de l'ensemble.
Bande son actuelle, un film actuel, pas sur qu'il vieillisse si bien, mais pour le moment c'est très bien !
Un film français qui change, agréable à voir !
Bande son actuelle, un film actuel, pas sur qu'il vieillisse si bien, mais pour le moment c'est très bien !
Un film français qui change, agréable à voir !
J'ai passé un bon moment avec ce film, c'est distrayant il vaut le coup d'être visionné, ça change des thriller et série à suspense que je regarde habituellement
Cash est une excellente surprise ! Cela vaut notamment pour la prestation incroyable de Raphaël Quenard en particulier, qui, avec un charisme tranquille, incarne à merveille le premier rôle. Il y campe le personnage d’un type de la France d’en bas, brisé par le système et qui est révolté depuis toujours par les inégalités et les différences de classe. Il va trouver par hasard le moyen de s’enrichir de manière malhonnête (mais pas de son point de vue) aux dépens du patron qui l’emploie et qu’il côtoie depuis son enfance. C’est à ce moment, que le film prend toute son ampleur,
spoiler:
les petites magouilles laisse place à un business quasi industriel
. S’ensuit un suspense concernant l’avenir de notre héros, spoiler: finira-t-il en prison ou deviendra-t-il richissime
? Feront leur apparition au cours du film d’autres personnages plus ou moins douteux (mention spéciale au personnage cynique joué par Grégoire Colin) mais qui chacun à leur manière feront progresser l’histoire et ajouterons des péripéties. On ne s’ennuie pas une seconde et l’on s’attache rapidement à ce personnage. Ce film est une réussite, ne le ratez pas !
. S’ensuit un suspense concernant l’avenir de notre héros, spoiler: finira-t-il en prison ou deviendra-t-il richissime
? Feront leur apparition au cours du film d’autres personnages plus ou moins douteux (mention spéciale au personnage cynique joué par Grégoire Colin) mais qui chacun à leur manière feront progresser l’histoire et ajouterons des péripéties. On ne s’ennuie pas une seconde et l’on s’attache rapidement à ce personnage. Ce film est une réussite, ne le ratez pas !
Redzing
Daniel Sauveur, manutentionnaire près de Chartres, en a ras-le-bol de travailler au bas de la chaîne de la parfumerie. Et surtout de voir les Breuil, la puissante famille locale, continuer de dominer tout le monde. Il décide donc de commencer à se servir dans les juteux stocks de parfum, ce qui va déclencher une ascension criminelle...
"Cash", c'est la fusion improbable entre le cinéma de Martin Scorsese et... la comestic valley !
Jérémie Rozan ne s'en cache aucunement, il s'inspire énormément du mastodonte américain, période "Goodfellas" et "Casino". Montage frénétique, sous-intrigues et combines en cascades, BO variée, personnages secondaires hauts en couleurs, voix-off très présente, protagoniste qui brise le 4ème mur, arrête sur image... Il y a même un traveling au sein de la planque de notre anti-héros, qui fait furieusement écho au fameux plan dans le restaurant qui présente les divers mafieux dans "Goodfellas".
Mais à la différence de "Lo Spietato", sorti récemment sur la même plateforme, qui repompait sans âme Scorsese, on est ici dans un hommage plus subtil. Jérémie Rozan ayant sa propre patte, et une intrigue assez riche en coups fourrés et gros filous.
Par ailleurs, il situe donc son film dans la cosmetic valley. Un cadre très peu abordé au cinéma. L'occasion d'une petite bouffée d'air parfumé, et aussi de filmer la cathédrale de Chartres sous toutes les coutures.
Après, n'est pas Martin Scorsese et Thelma Schoonmaker qui veut. "Cash" n'a pas la maîtrise de son modèle. La voix-off a tendance a trop prendre par la main le spectateur (sans non plus tomber dans la paresse narrative). La BO est un poil trop éclectique, allant du rap, au reggae... à une reprise inattendue et voyante d'un thème de John Carpenter de "Escape from New York" !
Question personnages, Raphaël Quénard est plutôt convaincant et sympathique en protagoniste pourtant antipathique sur le papier, sorte de Tony Montana à la française, en moins vulgaire, mais tout aussi mégalo. Antoine Gouy campe quant à lui un adversaire qui ne sera pas celui que l'on croit.
Par contre, dommage pour Agathe Rousselle. Fantastique dans "Titane", elle est ici totalement sous-employée. De même pour quelques têtes récurrents du cinéma français (dont Igor Gotesman, étonnement en retrait).
A l'arrivée, "Cash" ne démérite pas néanmoins. Le film ayant suffisamment d'énergie et de maîtrise pour constituer un bon divertissement, à mi-chemin entre le film de gangster à la française et la comédie.
"Cash", c'est la fusion improbable entre le cinéma de Martin Scorsese et... la comestic valley !
Jérémie Rozan ne s'en cache aucunement, il s'inspire énormément du mastodonte américain, période "Goodfellas" et "Casino". Montage frénétique, sous-intrigues et combines en cascades, BO variée, personnages secondaires hauts en couleurs, voix-off très présente, protagoniste qui brise le 4ème mur, arrête sur image... Il y a même un traveling au sein de la planque de notre anti-héros, qui fait furieusement écho au fameux plan dans le restaurant qui présente les divers mafieux dans "Goodfellas".
Mais à la différence de "Lo Spietato", sorti récemment sur la même plateforme, qui repompait sans âme Scorsese, on est ici dans un hommage plus subtil. Jérémie Rozan ayant sa propre patte, et une intrigue assez riche en coups fourrés et gros filous.
Par ailleurs, il situe donc son film dans la cosmetic valley. Un cadre très peu abordé au cinéma. L'occasion d'une petite bouffée d'air parfumé, et aussi de filmer la cathédrale de Chartres sous toutes les coutures.
Après, n'est pas Martin Scorsese et Thelma Schoonmaker qui veut. "Cash" n'a pas la maîtrise de son modèle. La voix-off a tendance a trop prendre par la main le spectateur (sans non plus tomber dans la paresse narrative). La BO est un poil trop éclectique, allant du rap, au reggae... à une reprise inattendue et voyante d'un thème de John Carpenter de "Escape from New York" !
Question personnages, Raphaël Quénard est plutôt convaincant et sympathique en protagoniste pourtant antipathique sur le papier, sorte de Tony Montana à la française, en moins vulgaire, mais tout aussi mégalo. Antoine Gouy campe quant à lui un adversaire qui ne sera pas celui que l'on croit.
Par contre, dommage pour Agathe Rousselle. Fantastique dans "Titane", elle est ici totalement sous-employée. De même pour quelques têtes récurrents du cinéma français (dont Igor Gotesman, étonnement en retrait).
A l'arrivée, "Cash" ne démérite pas néanmoins. Le film ayant suffisamment d'énergie et de maîtrise pour constituer un bon divertissement, à mi-chemin entre le film de gangster à la française et la comédie.
bsalvert
une bonne comédie française avec des acteurs dynamiques et attachants, des dialogues efficaces, un bon moment.
Netflix nous surprend avec cette comédie décalé et prenante à la fois, portée par un Raphaël quenard exceptionnel, le film ne vous laissera pas indifférent, c’est clairement une des belles surprises de cette année 2023 .
Je savais bien que Netflix nous mentait sur ses films et séries en mettant en avant les nouveautés à coup de "Numero 1 en ce moment", "Film le plus apprécié", "Top 10 des séries les plus regardées", ... et bien j'en ai désormais la preuve irréfutable !
Je me suis laissée tenter par le classement en pôle position du moment : Cash.
Je ne saurais par quoi commencer car tout est mauvais : Les acteurs, l'histoire, la façon de filmer, les dialogues, enfin bref tout est nul !
Ça ne rend pas service aux fictions françaises alors que les scandinaves et les allemands sont au niveau des anglo-saxons (ou presque) !
Je me suis laissée tenter par le classement en pôle position du moment : Cash.
Je ne saurais par quoi commencer car tout est mauvais : Les acteurs, l'histoire, la façon de filmer, les dialogues, enfin bref tout est nul !
Ça ne rend pas service aux fictions françaises alors que les scandinaves et les allemands sont au niveau des anglo-saxons (ou presque) !
Ce film est un pur moment de divertissement .Parfait pour commencer les vacances .Un Raphael Quenard excellent dans son rôle !! Avec son phrasé incomparable ,sa repartie et sa voix unique cet acteur performant merite sa place au sommet .
vraiment très surpris, a regarder avec légèreté. le scenario et bon et on accroche vite les acteur son bon.
A regarder.
A regarder.
franchement classé ce film dans une comédie ok pourquoi pas mais faudrait il encore que le film soit drôle pardon mais je n'ai pas eu le moindre sourire devant ce film même si l'histoire en elle même est bien penser il n'y a aucun passage humoristique en tout cas pour ma part c'est dommage
Jorik V
On ne va pas se mentir, « Cash » n’a rien d’extraordinaire sur tous les points mais ce n’est pas pour autant qu’il ne s’avère pas hautement sympathique. Un petit film français sans prétention mais qui distrait sans jamais ennuyer en plus d’être confectionné avec soin et, on suppose, beaucoup de respect pour le spectateur. Ce dont ne peuvent pas se targuer toutes les productions Netflix, loin s’en faut. En revanche, si le long-métrage est vendu comme une comédie, il n’en est clairement pas vraiment une. Pas que cet aspect soit raté mais c’est plutôt un mélange de film léger avec quelques scènes amusantes, de constat social sur le monde du travail en France et de film de braquage et d’arnaque en catimini. Un mélange qui prend bien mais on a l’impression parfois que ces trois genres s’annulent les uns les autres.
En effet, « Cash » aurait pu être bien plus drôle mais aussi bien plus palpitant, tout comme l’analyse sociale aurait pu être bien plus approfondie. On penser parfois aux films de Pierre Jolivet de l’époque de « Ma petite entreprise » ou de « La très, très grande entreprise », mais en moins abouti et plus soft. Du côté humour, il manque de scènes véritablement cocasses et de situations drôles. Sur le versant du suspense, l’arnaque présentée ici apparaît parfois quelque peu invraisemblable et tirée par les cheveux mais on laisse le bénéfice du doute à Jérémie Rozan, dont c’est le premier film et qui a travaillé dans ce milieu. Cependant, l’omniprésence de la voix off expliquant chaque détail de ladite entourloupe prouve que cela aurait manqué de clarté sans celle-ci. Malgré tout, on ne s’ennuie pas une seule seconde et on passe un bon moment avec ce presque feel-good movie à la française dont le contexte campagnard, presque du terroir, ajoute une touche peu commune et bienvenue.
L’énorme valeur ajoutée du film est sans conteste son acteur principal qui bouffe littéralement l’écran. Raphaël Quenard, dont on ne sait pas si on doit le qualifier de révélation ou de confirmation, est incroyable et terriblement attachant. Découvert en second rôle dans des gros films français comme « Novembre » ou « Coupez! » et confirmé avec des prestations plus importantes dans des œuvres pointues comme « Chien de la casse », il porte littéralement le film sur ses épaules avec son accent impayable et son charisme particulier. Aussi malin que naïf, il apporte pas mal de nuances à son personnage et sa belle gueule, qu’il n’a pas peur de ridiculiser, devraient le porter loin. Sa performance est à double tranchant puisqu’il occulte tous les autres acteurs, de la révélation de « Titane », Agathe Rouselle, à Igor Gotesman. Mais il faut aussi noter que tous les seconds rôles sont moins bien écrits, comme mis de côté, on pense notamment à Bruno Lochet. Il n’empêche, « Cash » est cool, frais et fait passer un bon petit moment à défaut d’être transcendant ou inoubliable.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
En effet, « Cash » aurait pu être bien plus drôle mais aussi bien plus palpitant, tout comme l’analyse sociale aurait pu être bien plus approfondie. On penser parfois aux films de Pierre Jolivet de l’époque de « Ma petite entreprise » ou de « La très, très grande entreprise », mais en moins abouti et plus soft. Du côté humour, il manque de scènes véritablement cocasses et de situations drôles. Sur le versant du suspense, l’arnaque présentée ici apparaît parfois quelque peu invraisemblable et tirée par les cheveux mais on laisse le bénéfice du doute à Jérémie Rozan, dont c’est le premier film et qui a travaillé dans ce milieu. Cependant, l’omniprésence de la voix off expliquant chaque détail de ladite entourloupe prouve que cela aurait manqué de clarté sans celle-ci. Malgré tout, on ne s’ennuie pas une seule seconde et on passe un bon moment avec ce presque feel-good movie à la française dont le contexte campagnard, presque du terroir, ajoute une touche peu commune et bienvenue.
L’énorme valeur ajoutée du film est sans conteste son acteur principal qui bouffe littéralement l’écran. Raphaël Quenard, dont on ne sait pas si on doit le qualifier de révélation ou de confirmation, est incroyable et terriblement attachant. Découvert en second rôle dans des gros films français comme « Novembre » ou « Coupez! » et confirmé avec des prestations plus importantes dans des œuvres pointues comme « Chien de la casse », il porte littéralement le film sur ses épaules avec son accent impayable et son charisme particulier. Aussi malin que naïf, il apporte pas mal de nuances à son personnage et sa belle gueule, qu’il n’a pas peur de ridiculiser, devraient le porter loin. Sa performance est à double tranchant puisqu’il occulte tous les autres acteurs, de la révélation de « Titane », Agathe Rouselle, à Igor Gotesman. Mais il faut aussi noter que tous les seconds rôles sont moins bien écrits, comme mis de côté, on pense notamment à Bruno Lochet. Il n’empêche, « Cash » est cool, frais et fait passer un bon petit moment à défaut d’être transcendant ou inoubliable.
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Un film segmentant. Les consultants en entreprises, auditeurs et autres cadres dirigeants, s'expriment en utilisant un jargon bien à eux sans vraiment comprendre ce qui se passe sur le terrain. Ainsi les ouvriers arrivent à les berner. Sur fond de transactions financières, de trafic, de contrefaçon, d'enquête, de fraude, de syndicalisme, d'histoires de cul, un joli petit business se met en place. On est dans le même esprit que la série des Ocean's Eleven, avec un scénario juste assez compliqué mais qu'on arrive à comprendre, et des petites gens bien malins qui arnaquent les arnaqueurs. Côté bande son, faut apprécier l'auto-tune et le reggae ! Côté script, c'est très bien écrit, mention spéciale pour une magnifique tirade de pseudo startupper dans une boîte de nuit, que Raphaël Quenard énonce avec aisance. Quelques répliques se distinguent aussi : "Avec l'alcool, on extrapole.", "Aujourd'hui j'ai green lighté le projet de digitalisation de l'inventaire.", "C'est un ESSEC, cinq ans chez Vente-Privée.com." D'autres excellentes répliques, en particulier sur les syndicats qui prennent cher, méritent le détour. Une belle surprise, avec des acteurs peu connus, qui nous rendent sympathiques ces filous d'entrepôts et nous font découvrir la Cosmetic Valley de Chartres.
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