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Multipliant les gags hilarants, les moments tendres et les répliques qui tuent, "Cash" bénéficie de l'interprétation aux petits oignons d'Agathe Rousselle ou Igor Gotesman. Ils épaulent à merveille la partition haute en couleur de Raphaël Quenard.
(...) ça fonctionne à plein, Jérémie Rozan trouvant le mélange parfait entre d'impressionnantes ambitions de cinéma et la franchouillardise de son histoire.
L’absence de prétention du réalisateur et son humour franchouillard couplés à de gros clins d’œil à Scorsese et Soderbergh (Les Affranchis et Ocean’s Eleven pour ne pas les citer) embarquent le spectateur. Elles en font une pépite qui pourrait bien devenir culte.
Avec "Cash", le réalisateur Jérémie Rozan signe un premier film très divertissant, soutenu par une mise en scène énergique et soignée. En revanche, la performance charismatique de Raphaël Quenard ne parvient pas à élever des personnages secondaires superficiels et des intrigues trop clichées.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Sorte d’Ocean’s Eleven revisité à la sauce Kervern et Delépine (Mammuth, Effacer l’historique), cette production Netflix sait parfaitement se saisir de l’air du temps. Parodie efficacement réalisée du film de genre, elle y ajoute cette pincée de revanche sociale gentiment transgressive qui ravira le plus grand nombre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Dans la gesticulation des pantins qui peuplent le second plan, seule existe la foi en lui-même de ce héros qui serait sans doute insupportable s’il était interprété par un autre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Entre le western beauceron, un Scorsese chartrain ou un drame social à la Brizé, Rozan hésite et finit par s’échouer sur les conventions de tous ces genres, s’abolissant dans une succession de rebondissements dans un dernier acte bâclé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Multipliant les gags hilarants, les moments tendres et les répliques qui tuent, "Cash" bénéficie de l'interprétation aux petits oignons d'Agathe Rousselle ou Igor Gotesman. Ils épaulent à merveille la partition haute en couleur de Raphaël Quenard.
CinemaTeaser
(...) ça fonctionne à plein, Jérémie Rozan trouvant le mélange parfait entre d'impressionnantes ambitions de cinéma et la franchouillardise de son histoire.
Franceinfo Culture
L’absence de prétention du réalisateur et son humour franchouillard couplés à de gros clins d’œil à Scorsese et Soderbergh (Les Affranchis et Ocean’s Eleven pour ne pas les citer) embarquent le spectateur. Elles en font une pépite qui pourrait bien devenir culte.
Ecran Large
Avec "Cash", le réalisateur Jérémie Rozan signe un premier film très divertissant, soutenu par une mise en scène énergique et soignée. En revanche, la performance charismatique de Raphaël Quenard ne parvient pas à élever des personnages secondaires superficiels et des intrigues trop clichées.
La Croix
Sorte d’Ocean’s Eleven revisité à la sauce Kervern et Delépine (Mammuth, Effacer l’historique), cette production Netflix sait parfaitement se saisir de l’air du temps. Parodie efficacement réalisée du film de genre, elle y ajoute cette pincée de revanche sociale gentiment transgressive qui ravira le plus grand nombre.
Le Monde
Dans la gesticulation des pantins qui peuplent le second plan, seule existe la foi en lui-même de ce héros qui serait sans doute insupportable s’il était interprété par un autre.
Ouest France
Un premier film, certes non exempt de défauts, mais à la fraîcheur bienvenue sur un sujet au cœur des débats sociétaux du moment.
Télé 7 Jours
Un pur divertissement sans prétention, sinon celle de nous offrir un vrai moment de détente.
Télé Loisirs
Une belle surprise !
Télérama
Ce premier film sympathique offre un bel écrin au talent irrésistible de Raphaël Quenard, acteur en pleine ascension.
Première
Entre le western beauceron, un Scorsese chartrain ou un drame social à la Brizé, Rozan hésite et finit par s’échouer sur les conventions de tous ces genres, s’abolissant dans une succession de rebondissements dans un dernier acte bâclé.