Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un premier film profondément personnel, plein d’urbanité et d’humanité.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film tendre et réjouissant.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Vivifiant et captivant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un très beau premier film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Barbès est un espace-miroir des blessures et des souvenirs refoulés, catalyseur d’une quête intérieure qui dépasse le personnage pour toucher Hassan Guerrar lui-même.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec ce portrait pétillant d’un coin de Paris, Hassan Guerrar signe son premier long-métrage : un coup d’essai en forme de coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Bap. T.
Ce grand petit film ne manque pas de cœur ; on lui donne le nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film drôle, vibrant et profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un premier film convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un premier film attachant sur le quartier parisien de Barbès.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Catherine Castro
Drôle, émouvant, bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Sofiane Zermani est exceptionnel.
Paris Match
par Christophe Carrière
Il y a beaucoup de tiroirs dans l’histoire concoctée par Guerrar, dont certains comportent un double fond qu’il a la politesse de laisser deviner plutôt que d’en livrer impudiquement le contenu. L’émotion ressentie n’en est que plus forte. Merci à lui. Et bravo.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
On se régale devant la vivacité des dialogues.
Télérama
par Guillemette Odicino
Chronique souvent drolatique d’un quartier avec ses petites magouilles, ses violences, son entraide et sa gouaille chaleureuse, le film est aussi une réflexion profonde sur la maturité et l’espace qu’on se choisit pour devenir un homme meilleur, réconcilié avec son passé, ouvert sur l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Version Femina
par Hadrien Machart
Baigné d'une ambiance singulière et empreint d'une émotion sincère, le premier film de Hassan Guerrar porte un regard tendre et franc sur les binationaux avec un ton tragi-comique exempt de tout manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Nouveau venu derrière la caméra mais pas dans le cinéma, ce Franco-Algérien signe le portrait vibrant et solaire d’un quartier et d’une communauté à cheval entre deux pays et deux continents.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Une lucidité de ton et une véracité de regard infusant une mélodique et mélancolique fiction du déracinement, innervée par une humanité déchirante et traversée par une gravité sourde.
Le Monde
par J. Ma.
Premier long-métrage de Hassan Guerrar, attaché de presse connu comme le loup blanc dans le milieu du cinéma, ce film dévoile avec pudeur un pan douloureux d’intimité de l’incroyable vie de ce gavroche franco-algérien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
Dans cette balade en roue libre, entre drame et comédie, il est question de fraternité, de racines, de deuil, de pardon et de la place de la famille dans un quartier imprévisible où la violence s'invite avec la drogue. Sans être sombre, le constat a le goût doux-amer d'une amande.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Barbès confinée, mais à l’air libre, sur fond de drame familial et d’actes manqués : c’est, en quelques mots, l’esprit du premier film de Hassan Guerrar. On retient la sincérité et la vitalité d’un quartier qui mériterait d’être davantage représenté à l’écran.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
C’est [...] une manière de prendre à contrepied les caricatures pittoresques souvent associées au quartier et à sa population : un cliché de rues bondées et braillardes, de personnages sanguins et chaleureux, que Barbès, little Algérie laisse assez audacieusement de côté au profit d’une tonalité plus discrète et méditative.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Comme souvent dans un premier long-métrage, on ressent qu’une certaine partie de la fiction est autobiographique. Le néo-cinéaste a cependant toujours la bonne distance et porte un regard tendre sur ses personnages et ce petit microcosme qu’est Barbès.
Première
par Thierry Chèze
Chez Guerrar, l’émotion s’écrit avec un E majuscule. Elle est le moteur d’un film qui dialogue avec le récent Goutte d’Or. Jusqu’à la puissance tout en finesse de son acteur principal : Karim Leklou chez Cogitore, Sofiane Zermani chez Guerrar.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un portrait émouvant, et une évocation juste, équilibrée de Barbès, qui, par son attention aux détails, échappe aux clichés et généralisations.
Cahiers du Cinéma
par d’Hassan Guerrar
Le problème n’est pas tant le pittoresque parfois comique, parfois émouvant de l’ensemble que ses incursions réalistes : violences policières, rixes, précarité qui se résout par la charité privée (le bénévolat) et pas par une perspective politique.
Konbini
par Manon Marcillat
Le célèbre attaché de presse Hassan Guerrar passe derrière la caméra pour filmer un quartier qu'il connaît comme sa poche dans une chronique un peu plate.
Libération
par Clément Colliaux
Un premier long métrage qui, malgré tout, peine à traduire sa sincérité en une œuvre profondément singulière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 2 semaines
par S.O.
Un film attachant qui reste sur le registre de la chronique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un premier film profondément personnel, plein d’urbanité et d’humanité.
Elle
Un film tendre et réjouissant.
L'Humanité
Vivifiant et captivant.
L'Obs
Un très beau premier film.
Le Dauphiné Libéré
Barbès est un espace-miroir des blessures et des souvenirs refoulés, catalyseur d’une quête intérieure qui dépasse le personnage pour toucher Hassan Guerrar lui-même.
Le Figaro
Avec ce portrait pétillant d’un coin de Paris, Hassan Guerrar signe son premier long-métrage : un coup d’essai en forme de coup de maître.
Le Journal du Dimanche
Ce grand petit film ne manque pas de cœur ; on lui donne le nôtre.
Le Parisien
Un film drôle, vibrant et profond.
Les Echos
Un premier film convaincant.
Marianne
Un premier film attachant sur le quartier parisien de Barbès.
Marie Claire
Drôle, émouvant, bouleversant.
Ouest France
Sofiane Zermani est exceptionnel.
Paris Match
Il y a beaucoup de tiroirs dans l’histoire concoctée par Guerrar, dont certains comportent un double fond qu’il a la politesse de laisser deviner plutôt que d’en livrer impudiquement le contenu. L’émotion ressentie n’en est que plus forte. Merci à lui. Et bravo.
Télé 7 Jours
On se régale devant la vivacité des dialogues.
Télérama
Chronique souvent drolatique d’un quartier avec ses petites magouilles, ses violences, son entraide et sa gouaille chaleureuse, le film est aussi une réflexion profonde sur la maturité et l’espace qu’on se choisit pour devenir un homme meilleur, réconcilié avec son passé, ouvert sur l’avenir.
Version Femina
Baigné d'une ambiance singulière et empreint d'une émotion sincère, le premier film de Hassan Guerrar porte un regard tendre et franc sur les binationaux avec un ton tragi-comique exempt de tout manichéisme.
La Croix
Nouveau venu derrière la caméra mais pas dans le cinéma, ce Franco-Algérien signe le portrait vibrant et solaire d’un quartier et d’une communauté à cheval entre deux pays et deux continents.
La Septième Obsession
Une lucidité de ton et une véracité de regard infusant une mélodique et mélancolique fiction du déracinement, innervée par une humanité déchirante et traversée par une gravité sourde.
Le Monde
Premier long-métrage de Hassan Guerrar, attaché de presse connu comme le loup blanc dans le milieu du cinéma, ce film dévoile avec pudeur un pan douloureux d’intimité de l’incroyable vie de ce gavroche franco-algérien.
Le Point
Dans cette balade en roue libre, entre drame et comédie, il est question de fraternité, de racines, de deuil, de pardon et de la place de la famille dans un quartier imprévisible où la violence s'invite avec la drogue. Sans être sombre, le constat a le goût doux-amer d'une amande.
Les Fiches du Cinéma
Barbès confinée, mais à l’air libre, sur fond de drame familial et d’actes manqués : c’est, en quelques mots, l’esprit du premier film de Hassan Guerrar. On retient la sincérité et la vitalité d’un quartier qui mériterait d’être davantage représenté à l’écran.
Les Inrockuptibles
C’est [...] une manière de prendre à contrepied les caricatures pittoresques souvent associées au quartier et à sa population : un cliché de rues bondées et braillardes, de personnages sanguins et chaleureux, que Barbès, little Algérie laisse assez audacieusement de côté au profit d’une tonalité plus discrète et méditative.
Nice-Matin
Comme souvent dans un premier long-métrage, on ressent qu’une certaine partie de la fiction est autobiographique. Le néo-cinéaste a cependant toujours la bonne distance et porte un regard tendre sur ses personnages et ce petit microcosme qu’est Barbès.
Première
Chez Guerrar, l’émotion s’écrit avec un E majuscule. Elle est le moteur d’un film qui dialogue avec le récent Goutte d’Or. Jusqu’à la puissance tout en finesse de son acteur principal : Karim Leklou chez Cogitore, Sofiane Zermani chez Guerrar.
Sud Ouest
Un portrait émouvant, et une évocation juste, équilibrée de Barbès, qui, par son attention aux détails, échappe aux clichés et généralisations.
Cahiers du Cinéma
Le problème n’est pas tant le pittoresque parfois comique, parfois émouvant de l’ensemble que ses incursions réalistes : violences policières, rixes, précarité qui se résout par la charité privée (le bénévolat) et pas par une perspective politique.
Konbini
Le célèbre attaché de presse Hassan Guerrar passe derrière la caméra pour filmer un quartier qu'il connaît comme sa poche dans une chronique un peu plate.
Libération
Un premier long métrage qui, malgré tout, peine à traduire sa sincérité en une œuvre profondément singulière.
Télé 2 semaines
Un film attachant qui reste sur le registre de la chronique.