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    Barbès, little Algérie
    Note moyenne
    3,3
    16 titres de presse
    • Elle
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Le Parisien
    • Les Echos
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • Version Femina
    • La Septième Obsession
    • Les Inrockuptibles
    • Nice-Matin
    • Première
    • Sud Ouest
    • Cahiers du Cinéma
    • Konbini
    • Télé 2 semaines

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Un film tendre et réjouissant.

    L'Humanité

    par Michaël Mélinard

    Vivifiant et captivant.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Avec ce portrait pétillant d’un coin de Paris, Hassan Guerrar signe son premier long-métrage : un coup d’essai en forme de coup de maître.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Un film drôle, vibrant et profond.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Echos

    par Olivier De Bruyn

    Un premier film convaincant.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Télé 7 Jours

    par Isabelle Magnier

    On se régale devant la vivacité des dialogues.

    Télérama

    par Guillemette Odicino

    Chronique souvent drolatique d’un quartier avec ses petites magouilles, ses violences, son entraide et sa gouaille chaleureuse, le film est aussi une réflexion profonde sur la maturité et l’espace qu’on se choisit pour devenir un homme meilleur, réconcilié avec son passé, ouvert sur l’avenir.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Version Femina

    par Hadrien Machart

    Baigné d'une ambiance singulière et empreint d'une émotion sincère, le premier film de Hassan Guerrar porte un regard tendre et franc sur les binationaux avec un ton tragi-comique exempt de tout manichéisme.

    La critique complète est disponible sur le site Version Femina

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    Une lucidité de ton et une véracité de regard infusant une mélodique et mélancolique fiction du déracinement, innervée par une humanité déchirante et traversée par une gravité sourde.

    Les Inrockuptibles

    par Théo Ribeton

    C’est [...] une manière de prendre à contrepied les caricatures pittoresques souvent associées au quartier et à sa population : un cliché de rues bondées et braillardes, de personnages sanguins et chaleureux, que Barbès, little Algérie laisse assez audacieusement de côté au profit d’une tonalité plus discrète et méditative.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Nice-Matin

    par Cédric Coppola

    Comme souvent dans un premier long-métrage, on ressent qu’une certaine partie de la fiction est autobiographique. Le néo-cinéaste a cependant toujours la bonne distance et porte un regard tendre sur ses personnages et ce petit microcosme qu’est Barbès.

    Première

    par Thierry Chèze

    Chez Guerrar, l’émotion s’écrit avec un E majuscule. Elle est le moteur d’un film qui dialogue avec le récent Goutte d’Or. Jusqu’à la puissance tout en finesse de son acteur principal : Karim Leklou chez Cogitore, Sofiane Zermani chez Guerrar.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Sud Ouest

    par Julien Rousset

    Un portrait émouvant, et une évocation juste, équilibrée de Barbès, qui, par son attention aux détails, échappe aux clichés et généralisations.

    Cahiers du Cinéma

    par d’Hassan Guerrar

    Le problème n’est pas tant le pittoresque parfois comique, parfois émouvant de l’ensemble que ses incursions réalistes : violences policières, rixes, précarité qui se résout par la charité privée (le bénévolat) et pas par une perspective politique. 

    Konbini

    par Manon Marcillat

    Le célèbre attaché de presse Hassan Guerrar passe derrière la caméra pour filmer un quartier qu'il connaît comme sa poche dans une chronique un peu plate.

    Télé 2 semaines

    par S.O.

    Un film attachant qui reste sur le registre de la chronique.

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