Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Dans son fauteuil, Cronenberg dit la transformation inévitable du cinéma. L’avenir de l’art appartient sans doute, dès lors, aux visionnaires. Le critique de théâtre Georges Banu distinguait trois catégories d’artistes en fonction de leur capacité à comprendre l’esprit du temps. En tête de proue, les précurseurs. Viennent ensuite les lanceurs, et les suiveurs en queue de peloton. Faites vos jeux…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
L’exercice est plaisant, quoique un peu longuet.
L'Obs
par F. F.
Excellente idée : en 1982, Wim Wenders a interviewé seize cinéastes dans une chambre d’hôtel (la 666) sur l’avenir du cinéma. Quarante ans plus tard, la jeune réalisatrice Lubna Playoust réitère l’expérience, dans la chambre 999.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le résultat est inégal, forcément, selon le tempérament et la pertinence des réponses des différents intervenants de ce documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Inégal, parfois anecdotique, "Chambre 999" bénéficie toutefois de la richesse de témoignages passionnants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Laurent Rigoulet
Certains s’amusent de la question comme Kirill Serebrennikov, qui se désape et danse devant la caméra ou Arnaud Desplechin, artiste du paradoxe, pour qui « le cinéma n’arrête pas de mourir et c’est le principe de sa vie. » À l’arrivée, le plus concerné semble Wenders lui-même qui disserte sur les horizons numériques et souhaite à ses successeurs « un avenir radieux ».
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Cl. F.
En guise de réponse, le Russe Kirill Serebrennikov se contente de quelques pas de danse, et finalement c’est la manière qu’a chacun de performer ce moment qui retient l’attention. Peut-être, en 2062, le charme vintage du film de 2022 opérera-t-il, avec son écran plat clignotant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Nicolas Moreno
En posant à nouveau la question éculée de la mort du cinéma, le film constate encore et sans surprise qu’il reste des artistes pour défendre le septième art. Super. Était-ce la question la plus brûlante à proposer à des cinéastes venus du monde entier ? Le documentaire semble bien prouver que non.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Si à l'heure de la domination des plate-formes et de la course à la rentabilité, le débat sur l'obsolescence programmée du cinéma reste pertinent, la rigidité du dispositif et surtout le nombre de grands témoins - 30 au lieu de 16 en 1982 - donnent au film un curieux effet catalogue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Suivent Diwan, Cronenberg, Assayas, ou encore… Serebrennikov. Le russe, muet, se déshabille et gesticule comme une marionnette au milieu de la suite. L’avenir du cinéma appartient à celles et ceux qui ne se posent pas la question.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Dans son fauteuil, Cronenberg dit la transformation inévitable du cinéma. L’avenir de l’art appartient sans doute, dès lors, aux visionnaires. Le critique de théâtre Georges Banu distinguait trois catégories d’artistes en fonction de leur capacité à comprendre l’esprit du temps. En tête de proue, les précurseurs. Viennent ensuite les lanceurs, et les suiveurs en queue de peloton. Faites vos jeux…
CinemaTeaser
L’exercice est plaisant, quoique un peu longuet.
L'Obs
Excellente idée : en 1982, Wim Wenders a interviewé seize cinéastes dans une chambre d’hôtel (la 666) sur l’avenir du cinéma. Quarante ans plus tard, la jeune réalisatrice Lubna Playoust réitère l’expérience, dans la chambre 999.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est inégal, forcément, selon le tempérament et la pertinence des réponses des différents intervenants de ce documentaire.
Les Fiches du Cinéma
Inégal, parfois anecdotique, "Chambre 999" bénéficie toutefois de la richesse de témoignages passionnants.
Télérama
Certains s’amusent de la question comme Kirill Serebrennikov, qui se désape et danse devant la caméra ou Arnaud Desplechin, artiste du paradoxe, pour qui « le cinéma n’arrête pas de mourir et c’est le principe de sa vie. » À l’arrivée, le plus concerné semble Wenders lui-même qui disserte sur les horizons numériques et souhaite à ses successeurs « un avenir radieux ».
Le Monde
En guise de réponse, le Russe Kirill Serebrennikov se contente de quelques pas de danse, et finalement c’est la manière qu’a chacun de performer ce moment qui retient l’attention. Peut-être, en 2062, le charme vintage du film de 2022 opérera-t-il, avec son écran plat clignotant.
Les Inrockuptibles
En posant à nouveau la question éculée de la mort du cinéma, le film constate encore et sans surprise qu’il reste des artistes pour défendre le septième art. Super. Était-ce la question la plus brûlante à proposer à des cinéastes venus du monde entier ? Le documentaire semble bien prouver que non.
Paris Match
Si à l'heure de la domination des plate-formes et de la course à la rentabilité, le débat sur l'obsolescence programmée du cinéma reste pertinent, la rigidité du dispositif et surtout le nombre de grands témoins - 30 au lieu de 16 en 1982 - donnent au film un curieux effet catalogue.
Première
Suivent Diwan, Cronenberg, Assayas, ou encore… Serebrennikov. Le russe, muet, se déshabille et gesticule comme une marionnette au milieu de la suite. L’avenir du cinéma appartient à celles et ceux qui ne se posent pas la question.