Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Du grand cinéma populaire, divertissant et intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
François Ozon, inspiré du premier au dernier plan, signe une fiction « lubitschienne » et amorale du meilleur goût. Une farce qui, loin des académismes coutumiers du cinéma populaire français, se distingue par son originalité, son audace et son incorrection.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le dernier film du prolifique François Ozon, "Mon crime", est une comédie populaire d'époque, très réjouissante. Et portée par un superbe casting.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une savoureuse comédie, dans la veine de Huit femme ou Potiche.
Positif
par Fabien Baumann
Le principe féroce de Mon crime : relire nos années 2020 à l’aune de 1935, pour mieux relever quelques ironies de notre contemporanéité, sans ignorer pourtant les infamies de jadis.
Public
par Marie-Pierre Galinon
On jubile devant cette comédie jubilatoire. Tous les acteurs sont excellents.
Sud Ouest
par Julien Rousset
François Ozon met en scène les aventures de Madeleine comme un feu d’artifices. Dans cette comédie policière joyeusement amorale, le cinéaste renoue avec l’humour, le rythme et l’acidité de « Huit femmes ». Un régal.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En revenant sur ce qu’il sait faire de mieux, à savoir un film écrit pour des femmes, François Ozon offre une comédie joyeuse et haute en couleurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette bonne humeur constante est l’un des atouts majeurs d’une comédie savoureuse comme une friandise dont on ressort enchanté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Entouré d’un joyeux casting et d’une équipe technique hors pair, François Ozon signe une comédie pétillante où triomphe la sororité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par J.B.
Un casting quatre étoiles, qui s'en donne à cœur joie. Mention spéciale à Isabelle Huppert, savoureuse en héroïne déchue du cinéma muet.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le divertissement plaisant de Mon crime est séduisant.
Elle
par Françoise Delbecq
Un délicieux et tonique feel good movie. Vintage mais frais !
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
François Ozon fusionne théâtre et cinéma dans un film intriguant, stylisé et à la belle distribution.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Sophie Joubert
Brillamment écrit et réalisé, franchement drôle, Mon crime laisse pourtant un arrière-goût amer : flamboyantes défenseuses de la cause des femmes, Madeleine et Pauline sont aussi menteuses et manipulatrices. Comme si Ozon, en adaptant cette pièce de boulevard datée, voulait absolument donner des gages au camp adverse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Version française de la screwball comedy et faux film de boulevard, comme on le dit du théâtre, « Mon crime », charge féroce et burlesque contre le patriarcat, offre au prolifique François Ozon de montrer, une fois encore, l’étendue de ses dons et la force de ses convictions.
La Croix
par Céline Rouden
Dans la lignée de Huit femmes, François Ozon nous régale d’une de ses comédies chorales étincelantes dont il a le secret, et revisite une pièce des années 1930 en lui donnant des accents féminins très contemporains.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On aurait aimé un feu d’artifice final plus éclatant, mais l’impression de fable scintillante demeure. Parfait pour un 8 mars, journée internationale des droits des femmes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La tonalité est allègre, joyeuse, jamais vacharde, à l'image de la fraîcheur de son jeune duo féminin, dont le plaisir du jeu est partagé avec le spectateur.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Sans être militant, le film saisit avec finesse l’ère du temps, en l’affublant des dessous froufroutants de la France des années 1930. L’exercice de cinéma est bien tourné, maîtrisé, aussi léger que grave. Avec cette petite touche de roublardise qui emporte l’adhésion des spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Sur un rythme enlevé, léger et loufoque, les femmes refusent la soumission et tous les moyens sont bons, y compris la mauvaise foi, la rouerie et le mensonge, pour piéger des hommes ici lâches, paresseux, assis sur leur tas d’or en ne voyant rien venir. Tel est pris qui croyait prendre. Bien joué.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Faisant écho au mouvement #MeToo, Mon crime est un subtil mélange entre Potiche et Peter von Kant, porté notamment par Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder. François Ozon y parle brillamment de ses deux sujets de prédilection : le cinéma et les femmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le divertissement généreux qu’il nous offre est plus subversif que sa bonne tenue et sa séduction affichée ne le laissent augurer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Le résultat, vif, coloré permet à Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewciz de confirmer qu’elles sont deux des plus passionnantes et douées comédiennes de leur génération.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par C. Ch.
François Ozon adapte une pièce des années 1930 et livre une comédie fantaisiste et légère.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le cinéaste fait revivre, avec un sens affûté de la critique sociale, l’esprit foldingue des comédies burlesques d’Ernst Lubitsch et de George Cukor, tout en évoquant, avec légèreté, des questions contemporaines sur les droits des femmes et l’égalité des sexes.
Télé Loisirs
par C. Ch.
De ce scénario improbable, adapté d'une pièce de théâtre des années 1930, François Ozon tire une comédie fantaisiste et légère, où les situations cocasses s'enchaînent sans temps mort.
Télérama
par Samuel Douhaire
Un Ozon enlevé, aux thèmes très actuels.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Antoine Desrues
En s’attaquant à la screwball comedy et en assumant l’artificialité théâtrale qui faisait le sel de 8 Femmes, François Ozon signe avec Mon crime son film le plus ludique depuis... trop longtemps. Un opus mineur, mais réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Luc Chessel
Le cinéaste tente une satire «post-MeToo» dans un décor années 30 en carton-pâte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Bien sûr, l'exercice de style limite un peu l'émotion, la valse des seconds rôles connus assure le spectacle, mais on retrouve aussi l'habilité de François Ozon pour glisser quelques gouttes de poison dans son bonbon à la liqueur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Monde
par Mathieu Macheret
Depuis son premier long-métrage Sitcom (1998), Ozon a l’habitude de pirater des formes creuses pour leur inoculer un ferment de subversion, ce qu’il fait ici avec le vaudeville, passablement poussiéreux, afin d’y faire résonner un propos féministe. Mais l’opération vire vite à un éloge de la fausseté qui respire le cynisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Thomas Grignon
Mon Crime rappelle finalement moins le modèle de la screwball comedy auquel il aspire qu’un cinéma français de qualité, pétri de lourdeur théâtrale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
Du grand cinéma populaire, divertissant et intelligent.
Les Echos
François Ozon, inspiré du premier au dernier plan, signe une fiction « lubitschienne » et amorale du meilleur goût. Une farce qui, loin des académismes coutumiers du cinéma populaire français, se distingue par son originalité, son audace et son incorrection.
Marianne
Le dernier film du prolifique François Ozon, "Mon crime", est une comédie populaire d'époque, très réjouissante. Et portée par un superbe casting.
Ouest France
Une savoureuse comédie, dans la veine de Huit femme ou Potiche.
Positif
Le principe féroce de Mon crime : relire nos années 2020 à l’aune de 1935, pour mieux relever quelques ironies de notre contemporanéité, sans ignorer pourtant les infamies de jadis.
Public
On jubile devant cette comédie jubilatoire. Tous les acteurs sont excellents.
Sud Ouest
François Ozon met en scène les aventures de Madeleine comme un feu d’artifices. Dans cette comédie policière joyeusement amorale, le cinéaste renoue avec l’humour, le rythme et l’acidité de « Huit femmes ». Un régal.
aVoir-aLire.com
En revenant sur ce qu’il sait faire de mieux, à savoir un film écrit pour des femmes, François Ozon offre une comédie joyeuse et haute en couleurs.
20 Minutes
Cette bonne humeur constante est l’un des atouts majeurs d’une comédie savoureuse comme une friandise dont on ressort enchanté.
Bande à part
Entouré d’un joyeux casting et d’une équipe technique hors pair, François Ozon signe une comédie pétillante où triomphe la sororité.
Closer
Un casting quatre étoiles, qui s'en donne à cœur joie. Mention spéciale à Isabelle Huppert, savoureuse en héroïne déchue du cinéma muet.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le divertissement plaisant de Mon crime est séduisant.
Elle
Un délicieux et tonique feel good movie. Vintage mais frais !
Franceinfo Culture
François Ozon fusionne théâtre et cinéma dans un film intriguant, stylisé et à la belle distribution.
L'Humanité
Brillamment écrit et réalisé, franchement drôle, Mon crime laisse pourtant un arrière-goût amer : flamboyantes défenseuses de la cause des femmes, Madeleine et Pauline sont aussi menteuses et manipulatrices. Comme si Ozon, en adaptant cette pièce de boulevard datée, voulait absolument donner des gages au camp adverse.
L'Obs
Version française de la screwball comedy et faux film de boulevard, comme on le dit du théâtre, « Mon crime », charge féroce et burlesque contre le patriarcat, offre au prolifique François Ozon de montrer, une fois encore, l’étendue de ses dons et la force de ses convictions.
La Croix
Dans la lignée de Huit femmes, François Ozon nous régale d’une de ses comédies chorales étincelantes dont il a le secret, et revisite une pièce des années 1930 en lui donnant des accents féminins très contemporains.
La Voix du Nord
On aurait aimé un feu d’artifice final plus éclatant, mais l’impression de fable scintillante demeure. Parfait pour un 8 mars, journée internationale des droits des femmes.
Le Dauphiné Libéré
La tonalité est allègre, joyeuse, jamais vacharde, à l'image de la fraîcheur de son jeune duo féminin, dont le plaisir du jeu est partagé avec le spectateur.
Le Figaro
Sans être militant, le film saisit avec finesse l’ère du temps, en l’affublant des dessous froufroutants de la France des années 1930. L’exercice de cinéma est bien tourné, maîtrisé, aussi léger que grave. Avec cette petite touche de roublardise qui emporte l’adhésion des spectateurs.
Le Parisien
Sur un rythme enlevé, léger et loufoque, les femmes refusent la soumission et tous les moyens sont bons, y compris la mauvaise foi, la rouerie et le mensonge, pour piéger des hommes ici lâches, paresseux, assis sur leur tas d’or en ne voyant rien venir. Tel est pris qui croyait prendre. Bien joué.
Les Fiches du Cinéma
Faisant écho au mouvement #MeToo, Mon crime est un subtil mélange entre Potiche et Peter von Kant, porté notamment par Nadia Tereszkiewicz et Rebecca Marder. François Ozon y parle brillamment de ses deux sujets de prédilection : le cinéma et les femmes.
Les Inrockuptibles
Le divertissement généreux qu’il nous offre est plus subversif que sa bonne tenue et sa séduction affichée ne le laissent augurer.
Première
Le résultat, vif, coloré permet à Rebecca Marder et Nadia Tereszkiewciz de confirmer qu’elles sont deux des plus passionnantes et douées comédiennes de leur génération.
Télé 2 semaines
François Ozon adapte une pièce des années 1930 et livre une comédie fantaisiste et légère.
Télé 7 Jours
Le cinéaste fait revivre, avec un sens affûté de la critique sociale, l’esprit foldingue des comédies burlesques d’Ernst Lubitsch et de George Cukor, tout en évoquant, avec légèreté, des questions contemporaines sur les droits des femmes et l’égalité des sexes.
Télé Loisirs
De ce scénario improbable, adapté d'une pièce de théâtre des années 1930, François Ozon tire une comédie fantaisiste et légère, où les situations cocasses s'enchaînent sans temps mort.
Télérama
Un Ozon enlevé, aux thèmes très actuels.
Ecran Large
En s’attaquant à la screwball comedy et en assumant l’artificialité théâtrale qui faisait le sel de 8 Femmes, François Ozon signe avec Mon crime son film le plus ludique depuis... trop longtemps. Un opus mineur, mais réjouissant.
Libération
Le cinéaste tente une satire «post-MeToo» dans un décor années 30 en carton-pâte.
Paris Match
Bien sûr, l'exercice de style limite un peu l'émotion, la valse des seconds rôles connus assure le spectacle, mais on retrouve aussi l'habilité de François Ozon pour glisser quelques gouttes de poison dans son bonbon à la liqueur.
Le Monde
Depuis son premier long-métrage Sitcom (1998), Ozon a l’habitude de pirater des formes creuses pour leur inoculer un ferment de subversion, ce qu’il fait ici avec le vaudeville, passablement poussiéreux, afin d’y faire résonner un propos féministe. Mais l’opération vire vite à un éloge de la fausseté qui respire le cynisme.
Critikat.com
Mon Crime rappelle finalement moins le modèle de la screwball comedy auquel il aspire qu’un cinéma français de qualité, pétri de lourdeur théâtrale.