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    Le Battant
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2014
    Deuxième long-mètrage d'Alain Delon (rèalisateur) qui confirme deux ans après le musclè "Pour la peau d'un flic" que l'acteur populaire du cinèma français est un auteur au sens complet du terme! Scènariste et producteur, Delon repasse donc à la mise en scène et tente une nouvelle approche originale du genre en signant un polar faussement languissant! Le dèbut du "battant" donne le ton! Jacques Darnay sort de prison où il a purgè une peine de dix ans pour l'attaque d'une bijouterie! Personne en vue, ni le flics qui font semblants de l'avoir oubliè ni les charognards qui se mèfient des flics! Mais Delon sait qu'ils sont tous là! il a mille francs en poche, des fringues vieux de dix piges et quelque chose lui dit qu'il faut rester calme et laisser venir! Entre la police qui le surveille et des gangsters qui le traquent, Delon n'a pas une minute devant lui! Avec du beau monde à la distribution puisque l'on retrouve Michel Beaune, Pierre Mondy et Andrèa Ferrèol, ainsi qu'Anne Parillaud et Richard Anconina (« ça sera donnant donnant, avec les diamants en plus, ça va de soi ! »). Musicalement, Christian Dorisse a fait du bon boulot (l'air au piano est une merveille)...
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2023
    Pour apprécier ce film il est absolument nécessaire d'accepter qu'un seul personnage est la clé, sinon le film peut paraitre long,
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    203 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2009
    alain delon fabrique un film toujours à son image, tjs sur sa personne, tjs lui à l'écran tout le temps, c'est tellement bien réalisé et bien joué qu'on se passionne jusqu'aux bout...sa fonctionne d'ailleurs magnifiquement avec anne parillaud
    AMCHI
    AMCHI

    5 914 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2010
    Après Pour la peau d'un flic qui était bon mais sans plus voici la 2nde réalisation d'Alain Delon ; Le Battant est un très bon et solide polar proche du style de Jacques Deray (avec lequel Alain Delon a tourné de nombreux grands polars du cinéma français). Anne Parillaud tourne à nouveau avec Alain Delon et de nombreux célèbres acteurs jouent dedans. Histoire efficace, bonne réalisation, un certain suspense ; Alain Delon réussit son film dans le plus pur style des grands polars français des années 70. Un style de film que l'on ne trouve malheureusement plus de nos jours ; ni les réalisateurs ni les acteurs charismatiques.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 441 abonnés 4 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2017
    Avec Le Battant, Alain Delon signe un film un peu plus abouti que Pour la peau d’un flic. Pas excellent cependant, ça reste un polar assez académique et sans doute trop « vieille école » dans les années 80, tant on semble être dans un film de gangsters des années 60-70, mais ça se laisse voir.
    L’interprétation est correcte. Delon ne fait pas beaucoup d’efforts niveau émotions, et il aurait pu en faire davantage, même en préservant sa réputation de dur. Son personnage manque de fragilité, ce n’est pas forcément très attrayant, et l’acteur reste imperturbable, en mode Le Samouraï. Il a toutefois un charisme, et une sobriété finalement qui passe pas trop mal. Face à lui, on a quelques seconds rôles de qualité, notamment François Périer, mais surtout le charme d’Anne Parillaud. Passant l’essentiel du film à poil, l’actrice arrive dans le plus simple appareil à ne pas être qu’une plastique, mais aussi à apporter un peu de cette émotion qui manque singulièrement ailleurs.
    Car Le Battant est finalement un film « mécanique ». Delon n’a pas d’émotion, mais dans l’ensemble le film se contente d’être efficace, en reprenant des recettes assez usées. Le film est suffisamment rythmé, rebondissant, et correctement dialogué pour se laisser voir sans déplaisir particulier, mais rien ne vibre vraiment. C’est carré, linéaire, prévisible parfois puisque le film n’innove pas, et au bout du compte ça coule sans laisser de souvenir impérissable. C’est quand même regrettable, d’autant qu’il est censé y avoir des scènes émotions, et malgré la musique réussie et volontiers larmoyante, ça ne te remue pas les tripes. C’est trop mécanique.
    Globalement ça se répercute au niveau visuel. Delon n’est pas un branque, mais là aussi il reste trop ancré dans les codes du genre (la scène d’ouverture par exemple c’est presque un cliché), et se contente d’agir un bon artisan. C’est plus propret que Pour la peau d’un flic, mais c’est d’un académisme qui pourra rappeler un Verneuil moyen. La petite surprise vient d’une belle utilisation de la nudité de Parillaud, mais pour tout ce qui est scènes d’action et confrontation virile, c’est plutôt sans originalité.
    En somme, Le Battant c’est un polar classique. Rien de bien neuf, ni dans l’histoire ni dans la mise en scène. Delon n’essaye nullement de se distinguer, mais, si on peut lui reprocher ce manque de personnalité manifeste, pour autant on peut le considérer comme un artisan honnête, pas plus mauvais que nombre de metteurs en scène du temps. 3
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 mai 2007
    En pleine période « polar », Delon repasse de l’autre coté de la caméra et endosse pour la deuxième et dernière fois la casquette de réalisateur. Son premier film étant sympathique et plutôt bien foutu, on aurait pu s’attendre à passer un bon moment devant ce « battant ». Malheureusement, le film est très inégal, et souffre d’un scenar loin d’être convainquant : il ne se passe pas grand chose durant la première heure, et l’ambiance noire que Delon à essayé d’instaurer ne prend pas. Puis, virage complet avec l’apparition d’Anne Paraillaud : le film change alors complètement de direction, avec l’injection que quelques traits d’humour, rendant la seconde partie très légère, peut-être même trop. Au final, c’est une impression de déséquilibre qui ressort dans ce film, avec un ensemble franchement inégal. De plus, la réalisation peut sembler bâclée à certains moment et l'interpretation sans relief. Bref, entre le vrai film noir et le polar de divertissement, "le Battant" semble chercher sa voie sans la trouver. Toujours est-il que ce polar mérite tout de même deux étoiles, ne serai-ce que par certaines situations ou par quelques clins d’œils bienvenus, notamment au « samouraï » et à « Columbo ». Bref, deux étoiles, mais guere plus.
    Replica
    Replica

    7 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2008
    Un bon polar d'Alain Delon. Je me demande toujours pourquoi il n'a pas persévéré dans la réalisation car il fait preuve d'un vrai savoir-faire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 octobre 2010
    Décevant. Déjà, il y a très peu d'action. Or, c'est un comble pour un film qui se veut "policier"! L'ambiance est molle et Alain Delon passe plus de temps à peloter des filles qu'à régler ses comptes. Le seul intérêt de ce film, si "intérêt" il y a, réside dans les seconds rôles attribués à François Perrier, à Pierre Mondy et à Michel Beaune, ainsi que dans les clins d'oeil au film "Le Samouraï" (1967) et à la série "Colombo". Le personnage d'Anne Parillaud, qui passe son temps à se mettre à poil et à jouer une pseudo-insolente, est vulgaire. Le tout est interminable (plus de deux heures quand même!). Heureusement qu'Alain Delon n'a pas continué sa carrièrre de réalisateur après ce film...
    pierrre s.
    pierrre s.

    440 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juin 2018
    Une bonne ambiance2C2C accompagnC3C3A9A9e par une trC3C3A8A8s bonne musique2C2C voilC3C3A0A0 pour le positif. Car pour le reste2C2C le film a trC3C3A8A8s mal vieilli tant dans l2727histoire que dans les dialogues ou les situations. AprC3C3A8A8s une premiC3C3A8A8re rC3C3A9A9alisation rC3C3A9A9ussie2C2C Delon a ratC3C3A9A9 la seconde.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2015
    Deux ans après "Pour la peau d'un flic", suivi de l'échec du film de Robin Davis, "Le choc" (avec Catherine Deneuve en éleveuse de poulet !) Delon qui semble avoir un peu perdu la baraka et surtout son duel à distance avec Belmondo pour la suprématie au sommet du cinéma français, revient à la mise en scène avec "Le battant" nouvelle adaptation d'un polar de la Série Noire. Cette fois-ci c'est un roman éponyme d'André Caroff qui est porté à l’écran. Ayant cherché à marcher sur les plates-bandes de Belmondo de manière assez peu convaincante dans « Pour la peau d’un flic » en se donnant une allure décontractée qui ne lui sied guère, Delon revient à ce qu’il sait incarner le mieux, le héros solitaire à l’allure hiératique. L’humour est certes encore présent mais il est distillé à petites doses ce qui donne plus d’épaisseur à ce film policier classique sans grande surprise mais assez efficace. Delon metteur en scène n’omet bien sûr pas de mettre en avant son charisme ravageur, allant parfois jusqu’à la limite de la caricature Le casting solide qui l’entoure, notamment François Périer impérial en parrain libidineux et Pierre Mondy en copie parodique de Columbo aide franchement au maintien d’une intrigue un peu convenue mais dans la tradition du genre. Notons qu’Anne Parillaud qui occupait l’écran de manière continue dans la réalisation précédente de Delon est ici beaucoup plus discrète, ce dernier s’étant peut-être lassé de son égérie ou ayant fini par comprendre que seule sa plastique féline pouvait retenir l’attention. Une plastique qu’il ne se prive pas de montrer généreusement pour le plus grand plaisir des spectateurs masculins. Ainsi tout le monde sera satisfait.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juillet 2024
    Un polar banal à la seule gloire d’Alain Delon. D’ailleurs, sa double présence sur l’affiche annonce la couleur : c’est lui, lui… et les autres. François Périer et Michel Beaune jouent les faire-valoir de luxe, Pierre Mondy parodie Columbo et Anne Parillaud, sa pouliche du moment, est exhibée tel un trophée.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    284 abonnés 2 890 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2022
    Alain Delon dans ses œuvres, est-on tenté de dire... C'est vrai que son cinéma des années 80, qu'il se contente de le produire ou le réalise lui-même, est gorgé de ces histoires entre flics et truands, pas toujours avec le même bonheur. En l'espèce, ça passe plutôt bien, ce Battant offrant quelques savoureuses répliques et des acteurs en grande forme, pour un pur produit de divertissement.
    brianpatrick
    brianpatrick

    86 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 décembre 2014
    Le problème des films tournés par Alain Delon, c'est qu'il manque quelque chose, peut être de la grandeur, c'est une suite de faits. Un film prenant certes, on ne s'ennuit pas certes, mais néanmoins il manque quelque chose. Peut être Jean-Pierre Melville. Il y a aussi de magnifiques scènes. En particuliers les scènes dans le lit avec Anne Parillaud, âgée de 23 ans à l'époque, un magnifique corps et une parure vintage tout à fait séduisante.
    Akamaru
    Akamaru

    3 133 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2010
    2ème réalisation de Monsieur Alain Delon en 1982,en pleine période du néo-polar,imitation américaine.Contrairement à ce qu'on aurait pu croire,le film ne vieillit pas si mal.Evidemment,il y a quelques traits kitschs propre à la période des années 80,et l'interprétation semble bien théâtrale par instants.On se croirait parfois dans un épisode de Navarro.Mais "le Battant" a d'autres cartes dans sa manche,comme un scénario accrocheur autour d'une histoire de diamants à retrouver et d'un ex-truand traqué par tous.2 parties bien distinctes,avec tout d'abord l'instauration d'une atmopshère noire,volontairement lente et mystérieuse;puis une seconde partie plus active,qui s'autorise quelques fulgurances humoristiques.C'est ici la nouveauté.Delon prend du recul sur son personnage pubilc,et singe sa démarche,son expression minimaliste,et son duo avec la toute jeune Anne Parillaud fonctionne parfaitement.Le thème-musical au piano est obsédant,et de bonne qualité.Avec aussi Michel Beaune,François Périer et Pierre Mondy à l'affiche.Tout cela confère à ce polar efficace un côté old school,et de la sympathie envers le Alain Delon de l'époque.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    Il n’y a pas longtemps, j’ai découvert « Pour la peau d’un flic », la première réalisation d’Alain Delon. Bien que maladroit sur son mélange policier-comédie, j’avais quand même passé un très bon moment. Du coup, j’étais assez curieux de découvrir « Le battant », sa deuxième réalisation surtout que j’avais eu de meilleurs retours sur ce film que sur le précédent.

    Au début, tout s’est plutôt bien passé. On est dans la caricature, on devine l’intrigue policière facile et l’ambiance polar français des années 80 qui a un certain charme. Je suis bien rentré dans ce film et j’ai même été content de voir que le scénario écrit par Christopher Frank, d’après le roman d’André Caroff, délaisse la comédie pour ce concentré sur un film policier brut.

    Malheureusement, très vite ma joie est retombé. Bourré de misogynie et de scènes gratuites, ça a pris le dessus sur l’ensemble à mes yeux et je ne voyais plus que ça. Quand Alain Delon ne se montre pas comme le grand héros qui n’a peur de rien, c’est pour nous présenter la femme objet qui ne sers qu’à assouvir les besoins de l’homme. C’était déjà le cas dans « Pour la peau d’un flic » mais l’humour venait rendre le tout tellement ridicule, tellement parodique, que l’on pouvait en sourire car le film ne se prenait pas au sérieux. Là, il se prend au sérieux et du coup, ça fonctionne nettement moins.

    C’est dommage car aussi classique soit-elle, cette histoire m’amusé au début mais plus le temps passe et plus je ne gardais en mémoire que cette utilisation de la femme, les longueurs d’une intrigue dont on devine très vite la fin n’arrangeant pas les choses. Je ne suis pas spécialement un féministe, il y a des films où la femme n’a pas forcément un rôle flatteur qui m’amuse, mais ici, j’ai surtout ressenti de la gêne au fur et à mesure de ma projection pour au final ne retenir que ça.

    Après, devant la caméra, Alain Delon (Jacques Darnay) retrouve ses travers de sa précédente réalisation. Ce film n’est qu’un prétexte pour le mettre en valeur et cette surenchère pour se donner le beau rôle n’arrange pas la caricature que j’ai de cet acteur et qui lui colle à la peau. Alain Delon fait du Alain Delon mais là aussi, ça marche moins, cela m’a en tout cas moins convaincu. Face à lui, François Périer (Gino Ruggieri) fait de son mieux mais il tombe lui aussi dans le stéréotype. Toute l’évolution de son personnage est écrite sur son front et l’on a aucune surprise. Je ne parle même pas des différents flics et autres pourris de l’histoire. Finalement, le seul dont la caricature fonctionne, c’est Pierre Mondy (Rouxel) mais c’est peut-être aussi parce que c’est la seule qui s’avère totalement assumé avec notamment ces clins d’œils à Columbo ou Maigret.

    Pour le casting féminin, comme je le dis un peu plus haut, nous n’avons pas des actrices mais juste de jolis pots de fleurs… Si Alain Delon s’arrête à l’exhibitionnisme de son torse, pour ses actrices, elles ont le droit à la totale avec quasiment à chaque scènes des nus intégraux gratuit qui n’apporte rien au récit. Je voudrais bien parler du jeu des comédiennes mais j’ai l’impression que ce n’est pas ce qu’on leur demande. Anne Parillaud (Nathalie), Andréa Ferréol (Sylviane Chabry) ou encore Marie-Christine Descouard (Clarisse), elles y passent toutes dans le lit d’Alain Delon et une fois qu’on enlève ses passages, il ne reste plus grand chose. C’est dommage car j’aurais par exemple bien aimé en voir plus sur Clarisse mais à l’image du scénario, on ne lui demande pas son avis…

    Sinon, je suis aussi un peu déçu de la mise en scène d’Alain Delon qui m’avait plus convaincu dans son premier film. Sa caméra n’a pas forcément toujours des angles de vues très judicieux, l’image est parfois trop tremblotante sans raison et même pour se mettre en valeur, il ne parvient pas à s’illuminer selon moi là où son maître René Clément (le film lui est dédié) y arrivait nettement mieux.

    Après, tout n’est pas mauvais non plus. Je suis bon client de ses décors et de ses costumes qui nous rappellent ce vieux Paris des années 80, c’est surtout dans les idées de l’époque que j’accroche moins. La bande originale composée par Christian Dorisse est également sympathique et colle bien à cet univers. Bien que très classique, si on enlève une bonne demie heure de scènes inutiles, l’intrigue aurait pu être plus plaisante avec un montage plus rythmé mais cela reste quand même regardable.

    Pour résumer, je n’ai pas autant accroché au film comme je l’aurais espéré. Sans parler de son aspect très classique et sans surprises, « Le battant » est surtout un policier dont je retiendrais la misogynie générale qui gâche totalement le spectacle et qui m’a pourri mon visionnage. Je suis peut-être passé à côté du film mais je ne voyais que ça à un point que même après mon visionnage, plus j’y repense et plus le film baisse dans mon estime (alors que je serais presque tenté de remonter « Pour la peau d’un flic » qui n’étais pas si mal finalement). Comme certaines idées de son époque, le film a pris un coup de vieux mais se laisse néanmoins suivre mais j’aurais quand même apprécié prendre plus de plaisir. Cette fois-ci, ça ne passe pas pour moi…
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