Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
Bande à part
par Benoit Basirico
Le génie de Bellocchio réside dans sa capacité à associer l'essence tragique d'une famille déchirée à une touche baroque et grotesque, offrant ainsi au spectateur un plaisir continuellement renouvelé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Opéra tragique et dense où une multitude de récits à intérêt similaires s’enchevêtrent, L’Enlèvement bascule harmonieusement d’un genre à l’autre : drame, fresque historique, thriller judiciaire. Marco Bellocchio revisite d’un même geste, un fait divers encore trop peu connu, vingt années cruciales dans l’évolution structurelle de la démocratie italienne et sa propre filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens vivants, signe un chef-d’œuvre pamphlétaire contre l’obscurantisme, dans une mise en scène magistrale, au classicisme sublime.
Elle
par Marguerite Baux
Un film beau comme un opéra, à la fois mélancolique et plein d'ironie envers les puissants.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Faussement classique, cette fresque intimiste se révèle parsemée de séquences opératiques et bouleversantes, filmées dans un clair-obscur qui leur donne parfois une tonalité baroque. La force dramatique du récit nous a conquis.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Si les images de son chef opérateur, Francesco Di Giacomo, sont magnifiques, Marco Bellocchio ne se met pas à distance par sa reconstitution historique, d’une grande beauté et maîtrise formelle.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Marco Bellocchio signe un nouveau monument de cinéma avec cette tragédie inspirée d’une histoire vraie stupéfiante et orchestrée comme un opéra flamboyant qui sidère par sa mise en scène d’une ampleur et d’une intensité rarement égalées, son récit passionnant et édifiant, sa reconstitution splendide.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Véritable épopée, ce long-métrage qui s’étend sur plusieurs décennies montre comment la religion peut fracturer des êtres, briser des familles et déclencher des guerres.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Maniant l'art du clair-obscur comme personne, Marco Bellocchio, qui accompagne son mélodrame baroque d'une musique tonitruante, offre une superbe fresque – la photo est magnifique –, véritable plaidoyer contre toute forme de fanatisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
L'infatigable cinéaste italien autopsie une nouvelle fois l'histoire de son pays dans ce film qui met en scène la déraison religieuse au XIX e siècle. Une réussite majeure.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec sa mise en scène fiévreuse, le réalisateur italien Marco Bellocchio cloue au pilori le travail de sape exercé par la religion sur les consciences et vilipende une église d’autant plus radicalisée qu’elle sait son influence menacée par le vent de liberté qui souffle sur l’Europe en ce XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
C’est un plaisir du plan comme il y a un plaisir du texte, Bellocchio aime l’acte cinématographique et nous le transmet, un processus d’une générosité, d’une simplicité savante à l’extrême, et qui suppose de ne jamais vieillir, de ne jamais croire que l’on sait, car on ne sait rien sinon qu’on va mourir comme tous ces êtres ressuscités par un cinéaste.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La quasi-provocation de L’Enlèvement consiste à filmer une non-rébellion, et de superposer cet itinéraire à celui, allégorique, de la naissance du christianisme chez les Juifs – une histoire des religions miniature et difforme, certes, parce que condensée au sein d’un seul petit corps, qui devrait logiquement imploser.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L'un des films les plus hargneux présentés à Cannes en mai dernier.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"L'enlèvement" est une fresque historique d'une beauté absolue, au drame familial déchirant et aux idées fabuleuses pour dépoussiérer le classicisme du genre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Samuel Gleyze-Esteban
Il y a un souffle épique dans L’Enlèvement, de ceux qui peuvent faire tomber des murs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Que ce très grand film bouclé par une séquence incroyable où Edgardo n’abdique rien, ait été ignoré par le jury du dernier Festival de Cannes, surprend. Trop classique ? Trop formel ? Ça ne tient pas un instant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
De toute cette imagerie, renforcée par l’omniprésence des symboles religieux, le film tire son caractère oppressant et en fait une réussite du genre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Efficace et raffiné.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Marco Bellocchio prouve une fois de plus tout son talent en évoquant une douloureuse période de transition dans la construction de l’Italie contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Comme devant “Esterno notte”, on est frappé·es par la précision de la reconstitution, par la somme de détails réels qui permettent ensuite à Bellocchio de tisser un récit, de laisser à l’occasion courir son imagination. Par sa liberté. Car s’il filme depuis longtemps l’enfermement, Bellocchio a toujours œuvré pour la liberté. Un très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par M.O.
Une fresque à la lumière crépusculaire.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Traversé de pulsions mystiques, porté par une tension politique dont Bellocchio a le secret, cet Enlèvement magistralement mis en scène est bien plus qu’un drame historique. Et, si on admire la splendeur de ses apparats grâce à une photographie cultivant l’onirique, L’Église italienne, à l’époque antisémite et sournoise, en prend pour son grade. Puro Bellocchio !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Julien Rousset
Marco Bellocchio surprend sans cesse, c’est le ressort de son cinéma vivifiant et inclassable, slalome entre gravité et humour, réalisme et accents baroques. Une charge non pas contre les religions mais contre ce qu’elles recèlent de plus nocif, l’enfermement dogmatique et l’obsession du pouvoir.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Le réalisateur italien Marco Bellocchio relate cette histoire vraie avec une force politique inouïe et un sens esthétique baroque et fantastique.
Télérama
par Marie Sauvion
Entremêlant à nouveau l’intime et le politique, le cinéaste bâtit de captivantes scènes en miroir : la mère cachant son fils sous ses jupes pour le soustraire à ses kidnappeurs ; le pape le dissimulant sous son habit rouge pour le favoriser dans une partie de cache-cache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un élan baroque qui emporte tout.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Marco Bellocchio signe l’un de ses meilleurs films avec ce drame historique mêlant subtilement lyrisme et critique sociale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Un film inégal, à la forme aussi opératique qu'un peu compassée, qui livre toutefois quelques belles scènes de mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"L'Enlèvement" vaut donc principalement pour son sujet, la mise en scène de ce grand réalisateur restant un peu en deçà des attentes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Jérôme d'Estais
On connait dans "L’Enlèvement" la flamboyante et l’amplitude de la mise en scène du maestro, sa forme opéra tique alliant une image tout en clairs-obscurs et lumières aveuglantes à une musique ponctuant de manière retentissante la narration linéaire du film, soudain prise d’accélérations frénétiques et d’accentuations flirtant avec l’excès.
Le Monde
par Ma. Mt.
De cette histoire au long cours, Marco Bellocchio retient moins le potentiel de fresque que le piège mental se refermant sur le jeune Edgardo, que l’on retrouvera adulte dans le dernier tiers du film, sujet à de violents accès schizophrènes, comme effets organiques du rapt originellement subi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Yannick Vely
C'est survolté, énervé et édifiant. On regrette juste que le film se termine sur un point d'interrogation tant le voyage spirituel d'Edgardo aurait mérité un vrai développement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
Tout est en place, magnifiquement composé et pourtant sourd cette sensation que l’essentiel manque. Sa mise en scène n’atteint la transcendance que par à coup. On aurait aimé voir Bellocchio tel le Comencini de L’incompris, signer un grand film sur la brutalité du monde adulte vue à travers les yeux d’un enfant effaré et tourmentée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Didier Péron
Le film ne rend pas vraiment compte des raisons qui poussent l’Eglise à s’entêter dans ce projet cruel de séquestration d’enfant et de conversion et insiste trop lourdement sur la figure grotesque, écumante, d’un pape de plus en plus cinglé et isolé dans les splendeurs vaticanes. (...) La sortie du film dans le vacarme de l’antisémitisme résurgent rend sa vision aussi instructive que douloureuse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Le génie de Bellocchio réside dans sa capacité à associer l'essence tragique d'une famille déchirée à une touche baroque et grotesque, offrant ainsi au spectateur un plaisir continuellement renouvelé.
Culturopoing.com
Opéra tragique et dense où une multitude de récits à intérêt similaires s’enchevêtrent, L’Enlèvement bascule harmonieusement d’un genre à l’autre : drame, fresque historique, thriller judiciaire. Marco Bellocchio revisite d’un même geste, un fait divers encore trop peu connu, vingt années cruciales dans l’évolution structurelle de la démocratie italienne et sa propre filmographie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Marco Bellocchio, l’un des plus grands cinéastes italiens vivants, signe un chef-d’œuvre pamphlétaire contre l’obscurantisme, dans une mise en scène magistrale, au classicisme sublime.
Elle
Un film beau comme un opéra, à la fois mélancolique et plein d'ironie envers les puissants.
La Voix du Nord
Faussement classique, cette fresque intimiste se révèle parsemée de séquences opératiques et bouleversantes, filmées dans un clair-obscur qui leur donne parfois une tonalité baroque. La force dramatique du récit nous a conquis.
Le Dauphiné Libéré
Si les images de son chef opérateur, Francesco Di Giacomo, sont magnifiques, Marco Bellocchio ne se met pas à distance par sa reconstitution historique, d’une grande beauté et maîtrise formelle.
Le Journal du Dimanche
Marco Bellocchio signe un nouveau monument de cinéma avec cette tragédie inspirée d’une histoire vraie stupéfiante et orchestrée comme un opéra flamboyant qui sidère par sa mise en scène d’une ampleur et d’une intensité rarement égalées, son récit passionnant et édifiant, sa reconstitution splendide.
Le Parisien
Véritable épopée, ce long-métrage qui s’étend sur plusieurs décennies montre comment la religion peut fracturer des êtres, briser des familles et déclencher des guerres.
Le Point
Maniant l'art du clair-obscur comme personne, Marco Bellocchio, qui accompagne son mélodrame baroque d'une musique tonitruante, offre une superbe fresque – la photo est magnifique –, véritable plaidoyer contre toute forme de fanatisme.
Les Echos
L'infatigable cinéaste italien autopsie une nouvelle fois l'histoire de son pays dans ce film qui met en scène la déraison religieuse au XIX e siècle. Une réussite majeure.
Marianne
Avec sa mise en scène fiévreuse, le réalisateur italien Marco Bellocchio cloue au pilori le travail de sape exercé par la religion sur les consciences et vilipende une église d’autant plus radicalisée qu’elle sait son influence menacée par le vent de liberté qui souffle sur l’Europe en ce XIXe siècle.
Transfuge
C’est un plaisir du plan comme il y a un plaisir du texte, Bellocchio aime l’acte cinématographique et nous le transmet, un processus d’une générosité, d’une simplicité savante à l’extrême, et qui suppose de ne jamais vieillir, de ne jamais croire que l’on sait, car on ne sait rien sinon qu’on va mourir comme tous ces êtres ressuscités par un cinéaste.
Cahiers du Cinéma
La quasi-provocation de L’Enlèvement consiste à filmer une non-rébellion, et de superposer cet itinéraire à celui, allégorique, de la naissance du christianisme chez les Juifs – une histoire des religions miniature et difforme, certes, parce que condensée au sein d’un seul petit corps, qui devrait logiquement imploser.
CinemaTeaser
L'un des films les plus hargneux présentés à Cannes en mai dernier.
Ecran Large
"L'enlèvement" est une fresque historique d'une beauté absolue, au drame familial déchirant et aux idées fabuleuses pour dépoussiérer le classicisme du genre.
L'Humanité
Il y a un souffle épique dans L’Enlèvement, de ceux qui peuvent faire tomber des murs.
L'Obs
Que ce très grand film bouclé par une séquence incroyable où Edgardo n’abdique rien, ait été ignoré par le jury du dernier Festival de Cannes, surprend. Trop classique ? Trop formel ? Ça ne tient pas un instant.
La Croix
De toute cette imagerie, renforcée par l’omniprésence des symboles religieux, le film tire son caractère oppressant et en fait une réussite du genre.
Le Figaro
Efficace et raffiné.
Les Fiches du Cinéma
Marco Bellocchio prouve une fois de plus tout son talent en évoquant une douloureuse période de transition dans la construction de l’Italie contemporaine.
Les Inrockuptibles
Comme devant “Esterno notte”, on est frappé·es par la précision de la reconstitution, par la somme de détails réels qui permettent ensuite à Bellocchio de tisser un récit, de laisser à l’occasion courir son imagination. Par sa liberté. Car s’il filme depuis longtemps l’enfermement, Bellocchio a toujours œuvré pour la liberté. Un très beau film.
Ouest France
Une fresque à la lumière crépusculaire.
Rolling Stone
Traversé de pulsions mystiques, porté par une tension politique dont Bellocchio a le secret, cet Enlèvement magistralement mis en scène est bien plus qu’un drame historique. Et, si on admire la splendeur de ses apparats grâce à une photographie cultivant l’onirique, L’Église italienne, à l’époque antisémite et sournoise, en prend pour son grade. Puro Bellocchio !
Sud Ouest
Marco Bellocchio surprend sans cesse, c’est le ressort de son cinéma vivifiant et inclassable, slalome entre gravité et humour, réalisme et accents baroques. Une charge non pas contre les religions mais contre ce qu’elles recèlent de plus nocif, l’enfermement dogmatique et l’obsession du pouvoir.
Télé Loisirs
Le réalisateur italien Marco Bellocchio relate cette histoire vraie avec une force politique inouïe et un sens esthétique baroque et fantastique.
Télérama
Entremêlant à nouveau l’intime et le politique, le cinéaste bâtit de captivantes scènes en miroir : la mère cachant son fils sous ses jupes pour le soustraire à ses kidnappeurs ; le pape le dissimulant sous son habit rouge pour le favoriser dans une partie de cache-cache.
Voici
Un élan baroque qui emporte tout.
aVoir-aLire.com
Marco Bellocchio signe l’un de ses meilleurs films avec ce drame historique mêlant subtilement lyrisme et critique sociale.
Critikat.com
Un film inégal, à la forme aussi opératique qu'un peu compassée, qui livre toutefois quelques belles scènes de mélodrame.
Franceinfo Culture
"L'Enlèvement" vaut donc principalement pour son sujet, la mise en scène de ce grand réalisateur restant un peu en deçà des attentes.
La Septième Obsession
On connait dans "L’Enlèvement" la flamboyante et l’amplitude de la mise en scène du maestro, sa forme opéra tique alliant une image tout en clairs-obscurs et lumières aveuglantes à une musique ponctuant de manière retentissante la narration linéaire du film, soudain prise d’accélérations frénétiques et d’accentuations flirtant avec l’excès.
Le Monde
De cette histoire au long cours, Marco Bellocchio retient moins le potentiel de fresque que le piège mental se refermant sur le jeune Edgardo, que l’on retrouvera adulte dans le dernier tiers du film, sujet à de violents accès schizophrènes, comme effets organiques du rapt originellement subi.
Paris Match
C'est survolté, énervé et édifiant. On regrette juste que le film se termine sur un point d'interrogation tant le voyage spirituel d'Edgardo aurait mérité un vrai développement.
Première
Tout est en place, magnifiquement composé et pourtant sourd cette sensation que l’essentiel manque. Sa mise en scène n’atteint la transcendance que par à coup. On aurait aimé voir Bellocchio tel le Comencini de L’incompris, signer un grand film sur la brutalité du monde adulte vue à travers les yeux d’un enfant effaré et tourmentée.
Libération
Le film ne rend pas vraiment compte des raisons qui poussent l’Eglise à s’entêter dans ce projet cruel de séquestration d’enfant et de conversion et insiste trop lourdement sur la figure grotesque, écumante, d’un pape de plus en plus cinglé et isolé dans les splendeurs vaticanes. (...) La sortie du film dans le vacarme de l’antisémitisme résurgent rend sa vision aussi instructive que douloureuse.