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Farfalle
10 abonnés
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3,0
Publiée le 4 juillet 2023
J'ai trouvé le film très inégal. On se perd parfois dans des scènes assez longues et sur les délires du réalisateur pour des choses anodines. Mais d'un autre côté on passe un agréable moment avec quelques instants sympathiques. Ce n'est pas un chef-d’œuvre mais c'est agréable à regarder.
Je n'ai trouvé aucun intérêt à se film. C'est plat ô s'y ennuie mortellement. Morettii est particulièrement antipathique et tourné sur lui mêmes A fuir absolument
Film très décevant...on peut dire film de boomeur...Nanni Moretti de chaque plan qui fait un film nombriliste et inintéressant, toutes les séquences sont plus ou moins vues et revues, l'humour tombe à plat, les séquences de chant ou danse idem...je me suis beaucoup ennuyée
déçu du film malgré les bonnes critiques . Film au demeurant assez prétentieux et drôle à de rares moments . Nanni Moretti ne m'a pas convaincu dans ce film. J'ai bien failli m'endormir, dommage.
En 2021, Nanni Moretti s'était révélé sacrément mauvais perdant, en déclarant à propos de la Palme d'or, Titane : "Vieillir soudainement. Ca arrive. Surtout quand un de vos films participe à un festival. Et qu’il ne gagne pas. Et au lieu de ça, c’est un autre film qui gagne dont le premier rôle tombe enceinte d’une Cadillac. Tu vieillis d’un coup. Bien sûr."
Impossible pour moi de ne pas repenser à cette déclaration lors des scènes de Vers un avenir radieux dans lesquelles Moretti s'énerve contre un réalisateur tournant ce qu'il juge être des scènes de violences gratuites.
A ce moment-là, le réalisateur italien semble effectivement tout à coup pencher du côté de la ringardise : sa charge grossière contre un cinéma spectaculaire et violent (qui est celui de Ducourneau, Bong Joon-Ho ou même Tarantino) tombe à plat, révélant probablement ce qu'il pense vraiment sous couvert d'un second degré bien commode.
Tout le dernier film de Moretti m'a paru triste, expression désabusée d'une longue boursouflure d'ego, ressassant des obsessions qui étaient charmantes à l'époque de Journal intime (les balades en deux roues dans le quartier, le communisme), mais sont devenues désormais plutôt énervantes. Comme un vieil oncle dont les plaisanteries entendues mille fois ne font plus rire. Avec le temps, le caractère acariâtre de Moretti, qui charmait à ses débuts par son caractère asocial et original, est devenu une rengaine sans grâce de vieil homme, ne proposant plus grand-chose de neuf.
L'autodérision n'est pas charmante quand elle n'est plus légère.
Je ne mets pas la note la plus basse parce que je remémore les attachements passés, et que le ton Moretti fait encore ponctuellement mouche (comme lors de la scène chez l'ambassadeur), mais j'ai été déçu.
Que c'est long, ennuyeux et bavard ! Et que c'est mal joué, Moretti devrait rester derrière la caméra. Quelques sourires, mais un film intello qui ne parle de rien, mais sans arrêt !
Amour, politique et courage : peut être le plus beau film de Nanni Moretti, qui campant le personnage d'un réalisateur aussi exigeant qu'éprouvant, ne parvient pas à se faire détester.
Un message subliminal sur la vie qui ne vaut pas la peine d'être vécue... Omniprésence de ce réalisateur vieillissant , buté et capricieux qui impose sa vision à tout son entourage, y compris son épouse qui s'évertue à le quitter. Difficile d'entrer dans ce film en pointillés.
Du grand Moretti. Courez-y voir ! Truffé d'humour à l'italienne. Avec un fond de Woody Allen, mais en mieux ! Destiné à un public qui a quelque chose entre les oreilles, comme le disait la célèbre pub dans les années 90. Je recommande, vivement. Tellement décapant et tellement vrai !
L'année cinématographique se poursuit avec un nouveau réalisateur qui porte un long métrage sur le cinéma. Après Spielberg et Chazelle notamment. Pour ceux qui connaissent Nanni Moretti ce n'est pas une surprise. Ses films sont souvent inspirés par sa propre vie. Je me rappelle l'avoir découvert et apprécié avec la chambre du fils. Dans son nouveau film, on retrouve des ingrédients propres à son univers. Un humour subtil, une mise en scène teintée de mélancolie et de joie. Le cinéma italien fait du bien !! C'est sûr ce n'est pas du cinéma Netflix, mais spoiler: What the fuck !! Je répète : c'est du cinéma qui fait du bien ! J'aime ce côté intellectuel et cinéphile de ce réalisateur sans compromis. Mélange de nostalgie et de vision moderne tournée vers un avenir qui pourrait être radieux. Le cinéma n'est pas mort, et les trouvailles qui parsèment cette fiction surtout dans la dernière partie, en sont la preuve. Il y aura toujours des réalisateurs pour nous divertir et nous faire réfléchir dans les grandes salles obscures. Dommage qu'on était qu'une petite trentaine ce dimanche soir dans une salle qui peut en accueillir plus de 300. Mais bon grâce à la fête du cinéma, les prochaines séances devraient être plus garnies. Ce film mérite bien ça. Moretti n'est plus dépressif alors ne le soyez pas non plus ! Amis cinéphiles courrez-y ! 16/20
Nanni Moretti se prend peut être pour Fellini et Woody Allen réuni alors qu'il est juste égocentrique et insupportable. Concernant le communisme dans les années 50 en Italie il y a 100 fois plus de vérité et d'humanisme dans Don Camillo. Seuls Mathieu Amalric et Silvio Orlando surnagent dans ce naufrage.
Ce film est d'un ennui mortel ; d'un intellectualisme prétentieux infini, les traits d'humour sont dispensés avec parcimonie et ne parviennent pas à sauver l'ambiance générale d'une grisaille digne d'un documentaire soviétique. A fuir absolument ! Une séance de cinéma doit procurer du plaisir et non être un pensum
Film ironique, Moretti est fidèle à lui même : un homme qui vie mal sa vie et les changements, mais l’histoire pour une fois se termine bien… Les chansons italiennes des années ‘60-‘80 choisies pour la bande sonore sont magnifiques, comme dans tous ses films.
Depuis qu’il faisait des films "sérieux", je me plaisais à dire du bien de Nanni Moretti.
Mauvaise humeur ? J’ai trouvé que Vers un avenir radieux, avait trop de points communs avec Mia madre: parallèle entre la vie quotidienne et la réalisation de son film.
Bon la courte apparition de M.Amalric est agréable et décalée …..comme celle de John Turturro ?