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Entouré de ses acteurs fidèles et avec un humour qui, plus que jamais, sert d'antidote à la désespérance, Nanni Moretti signe un nouveau chapitre inspiré de son grand roman personnel et national.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Nanni Moretti s’autoparodie délicieusement dans « Vers un avenir radieux ». Il fait sourire le spectateur en l’entraînant dans de joyeux numéros musicaux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Convoquant une fois de plus son double Giovanni, Moretti raconte le monde comme il va (mal) et le cinéma, qui sauve de (presque) tout. Avec une infinie croyance en son pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Si Vers un avenir radieux est un beau film, c’est paradoxalement dans la manière qu’il a de regarder le passé : Moretti semble accepter que le monde a avancé sans lui, sans pour autant l’abandonner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Malgré un scénario trop foisonnant et un peu lâche, on est ému par de très belles idées de mise en scène comme celle où Giovanni souffle les répliques à deux jeunes gens qui se disputent, comme s’il voulait réécrire son propre passé. C’est au fond ce que raconte Vers un avenir radieux, cette foi sans faille dans le cinéma, qui a le pouvoir de réparer les blessures d’amour, de changer le cours de l’histoire, de faire marcher des éléphants en plein cœur de Rome.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Nanni Moretti renoue avec la veine fantaisiste et autobiographique de Journal intime pour nous livrer ses états d’âme de réalisateur désabusé. Il en fait une comédie drôle et mélancolique, preuve qu’il n’a pas perdu la main et que le cinéma n’est pas tout à fait mort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le film est ailleurs. Dans le jeu volontiers cabotin du cinéaste protagoniste, qui parle fort, décompose ses répliques, se perd dans ses pensées, passant outre les conventions du naturel. Mais aussi dans un formidable bric-à-brac, entremêlant non seulement les niveaux de récit, mais brassant une multitude de registres, du drame familial à la comédie de mœurs, de l’élégie au numéro musical, de la confession au rêve.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Après un "Tre piani" qui avait divisé ses aficionados, Moretti renoue avec un cinéma à la fois politique, mélancolique et drolatique, et signe un film enthousiasmant.
Égal à lui-même, le bientôt septuagénaire se moque de ses idiosyncrasies – comme cette habitude de revoir en famille "Lola" de Jacques Demy en mangeant de la glace avant de tourner un film – avec une verve qu’il avait délaissée depuis "Aprile" en 1998, au profit d’un ton plus mélancolique.
Le cinéaste italien articule avec grâce et humour toutes ses obsessions. Le cinéma, le couple, la gauche… Sa lucidité a ceci de beau qu’elle n’interdit pas d’espérer.
Amour du cinéma, amour de lui-même mais aussi amour tout court : le film de Nanni Moretti - qui reprend tous les marqueurs chers au cinéaste italien -oscille sans cesse entre la mélancolie et la joie, mais sans jamais sombrer dans la tristesse.
Le réalisateur rend hommage à Fellini, salue Woody Allen (il convoque l’architecte Renzo Piano comme l’auteur d’« Annie Hall » invitait McLuhan à l’écran), réfléchit sur le devenir du cinéma, égrène rengaines populaires et citations de son œuvre passée tout en ayant l’élégance de nous amuser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
A l’instar de son double, Moretti donne parfois l’impression ici de s’être laissé glisser en pilote automatique, reprenant un peu paresseusement les codes de son cinéma, son personnage de grand dadais qui joue au foot et ne fonctionne que par rituels immuables tels manger de la glace devant "Lola".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Nanni Moretti dresse une chronique teintée d’humour et de mélancolie sur la fin probable du cinéma face aux nouveaux modes de diffusion des films sur des plateformes. Certes, le propos est touchant mais trop bavard et confus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
Les légendaires obsessions morales du cinéaste italien sont là mais la drôlerie se révèle plus généreuse et rafraîchissante.
Le Parisien
Une comédie virevoltante et profonde.
Les Echos
Entouré de ses acteurs fidèles et avec un humour qui, plus que jamais, sert d'antidote à la désespérance, Nanni Moretti signe un nouveau chapitre inspiré de son grand roman personnel et national.
Ouest France
Un film savoureux plein de drôlerie.
20 Minutes
Nanni Moretti s’autoparodie délicieusement dans « Vers un avenir radieux ». Il fait sourire le spectateur en l’entraînant dans de joyeux numéros musicaux.
Bande à part
Convoquant une fois de plus son double Giovanni, Moretti raconte le monde comme il va (mal) et le cinéma, qui sauve de (presque) tout. Avec une infinie croyance en son pouvoir.
Critikat.com
Si Vers un avenir radieux est un beau film, c’est paradoxalement dans la manière qu’il a de regarder le passé : Moretti semble accepter que le monde a avancé sans lui, sans pour autant l’abandonner.
GQ
À bientôt 70 ans, l'Italien n'a pas oublié que l'émotion est aussi affaire de grande simplicité.
L'Humanité
Malgré un scénario trop foisonnant et un peu lâche, on est ému par de très belles idées de mise en scène comme celle où Giovanni souffle les répliques à deux jeunes gens qui se disputent, comme s’il voulait réécrire son propre passé. C’est au fond ce que raconte Vers un avenir radieux, cette foi sans faille dans le cinéma, qui a le pouvoir de réparer les blessures d’amour, de changer le cours de l’histoire, de faire marcher des éléphants en plein cœur de Rome.
La Croix
Nanni Moretti renoue avec la veine fantaisiste et autobiographique de Journal intime pour nous livrer ses états d’âme de réalisateur désabusé. Il en fait une comédie drôle et mélancolique, preuve qu’il n’a pas perdu la main et que le cinéma n’est pas tout à fait mort.
Le Figaro
L’un des plus beaux films de Nanni Moretti.
Le Monde
Le film est ailleurs. Dans le jeu volontiers cabotin du cinéaste protagoniste, qui parle fort, décompose ses répliques, se perd dans ses pensées, passant outre les conventions du naturel. Mais aussi dans un formidable bric-à-brac, entremêlant non seulement les niveaux de récit, mais brassant une multitude de registres, du drame familial à la comédie de mœurs, de l’élégie au numéro musical, de la confession au rêve.
Les Fiches du Cinéma
Après un "Tre piani" qui avait divisé ses aficionados, Moretti renoue avec un cinéma à la fois politique, mélancolique et drolatique, et signe un film enthousiasmant.
Les Inrockuptibles
Égal à lui-même, le bientôt septuagénaire se moque de ses idiosyncrasies – comme cette habitude de revoir en famille "Lola" de Jacques Demy en mangeant de la glace avant de tourner un film – avec une verve qu’il avait délaissée depuis "Aprile" en 1998, au profit d’un ton plus mélancolique.
Paris Match
La satire (ou plutôt le constat désabusé) se déguste comme une madeleine au goûter, aérienne, savoureuse, vacharde et drôle à souhait.
Sud Ouest
Le cinéaste italien articule avec grâce et humour toutes ses obsessions. Le cinéma, le couple, la gauche… Sa lucidité a ceci de beau qu’elle n’interdit pas d’espérer.
Télé 2 semaines
Nanni Moretti renoue pour notre plus grand plaisir avec la veine autofictionnelle teintée de gravité douce de "Journal intime", son chef-d'œuvre.
Télérama
Le maître italien poursuit son autofiction en incarnant un cinéaste en pleine débâcle. Et son énergie du désespoir confine souvent au génie comique.
Voici
Pleine d'humour et de mélancolie, la nouvelle oeuvre de Nanni Moretti est un sommet d'autofiction ironique.
Elle
Un Moretti XXL résolument bavard, voire épuisant, et ironique qui nous invite à croire que tout finit par des chansons.
Franceinfo Culture
Amour du cinéma, amour de lui-même mais aussi amour tout court : le film de Nanni Moretti - qui reprend tous les marqueurs chers au cinéaste italien -oscille sans cesse entre la mélancolie et la joie, mais sans jamais sombrer dans la tristesse.
L'Obs
Le réalisateur rend hommage à Fellini, salue Woody Allen (il convoque l’architecte Renzo Piano comme l’auteur d’« Annie Hall » invitait McLuhan à l’écran), réfléchit sur le devenir du cinéma, égrène rengaines populaires et citations de son œuvre passée tout en ayant l’élégance de nous amuser.
Libération
A l’instar de son double, Moretti donne parfois l’impression ici de s’être laissé glisser en pilote automatique, reprenant un peu paresseusement les codes de son cinéma, son personnage de grand dadais qui joue au foot et ne fonctionne que par rituels immuables tels manger de la glace devant "Lola".
Première
Un certain cynisme teinté d’ironie, a remplacé la gravité des sentiments. Si la vérité du réel est implacable, la fiction peut tout réenchanter.
Télé 7 Jours
Une comédie d’une nostalgie optimiste et d’une liberté enthousiasmante.
aVoir-aLire.com
Nanni Moretti dresse une chronique teintée d’humour et de mélancolie sur la fin probable du cinéma face aux nouveaux modes de diffusion des films sur des plateformes. Certes, le propos est touchant mais trop bavard et confus.