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    Les Prédateurs
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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 mai 2013
    1983... Un an après la sortie de Blade Runner, notre regretté Tony Scott frère de Ridley, fraichement venu du monde de la pub, sort son premier film, Les Prédateurs.
    Nous avons alors affaire à une histoire de vampirisme très eighties, film romantico-horrifique, dont le mélange est attirant.
    D'emblée l'on constate la grande influence visuelle et esthétique du grand frère dans chaque scène. Les plans, la lumière et la photographie sont très travaillés et extrêmement séduisants. L'esthétique est tantôt sombre, bleutée, glaciale, tantôt l'atmosphère est baignée d'une lueur orangée de soleil couchant.
    Malheureusement, à partir de la moitié du film ( spoiler: et de la disparition un peu prématurée à mon goût de David Bowie
    ), le scénario traîne en longueur et peine à convaincre. Certains plans semblent durer une éternité, néanmoins, on tient car l'on veut aller jusqu'au bout. Mais à la fin des 1h30 qui passent, somme toute, rapidement, on reste sur sa faim et l'on attendait finalement quelque chose de plus poignant. Le dénouement final est d'ailleurs extrêmement prévisible.
    Malgré cela, le casting est tout à fait honorable : un David Bowie à la classe inégalable, une Catherine Deneuve à première vue implacable et une Susan Sarandon plus que séduisante. Mais on a à peine le temps de s'approprier et de s'attacher aux personnages, mis à part, peut-être celui de Bowie que l'on prend en pitié. On notera la courte présence de Willem Dafoe dont la carrière n'était alors pas encore née.
    Les Prédateurs est intéressant et intrigant à certains égards, dont notamment le fait de découvrir les débuts de Tony Scott au cinéma et de constater que le film est aux antipodes de ce qu'il a pu réaliser par la suite, dès Top Gun. Mais ce film ne laissera pas un souvenir impérissable du fait d'une intrigue un peu facile et d'un genre horrifique bien trop survolé pour nous faire vibrer.
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 décembre 2020
    Depuis le Nosferatu de Murnau jusqu'aux Dracula de la Hammer, le vampire au cinéma aura longtemps été cantonné à l'incarnation du corrupteur et du séducteur, la personnification parfaite du mal. Issu du fantasme de l'immortalité, le mythe a proliféré sur les écrans durant plusieurs décennies, sans jamais s'intéresser à l'aspect tragique de la condition vampirique.
    Là où la littérature aura depuis longtemps approfondi et disserté sur la solitude du vampire face à son immortalité jusqu'à en faire un être pathétique et désespéré, victime de son sort, constamment en quête d'une compagnie quelconque, le cinéma, lui, s'est longuement vautré dans l'archétype du suceur de sang sans aucune variante originale.

    En 1976, paraît ainsi en librairies Entretien avec un vampire d'Anne Rice. Le roman fait l'effet d'une bombe et bouscule suffisamment la mythologie du vampire pour influencer son époque et celles qui suivent. Preuve en est, le Dracula (1979) de John Badham et le Near Dark (1987) de Kathryn Bigelow, deux films dont les traitements dramatiques témoignent énormément de l'influence thématique de Rice.
    En 1983, Tony Scott doit réaliser une adaptation du livre de Rice avec Rutger Hauer en Lestat.
    Scott a comme son illustre frère, Ridley Scott, fait carrière dans la réalisation, à ceci-près qu'il ne s'est jusque-là cantonné qu'à des vidéo-clips et des pubs. A 38 ans passés, Tony Scott rêve de suivre l'exemple de son frère dont les trois premiers films lui ont valu une reconnaissance internationale.
    Las, le projet d'adaptation d'Entretien avec un vampire est avorté et Tony Scott se rabat rapidement sur le script de The Hunger,a adapté du roman éponyme de Whitley Strieber.
    Ecrit sur un timbre poste, le scénario minimaliste de John Costigan, véhicule toutefois assez d'originalité pour intéresser et motiver Scott à accepter sa réalisation.

    Miriam et John Blaylock sont un couple de riches vampires, traînant leur spleen et leur soif de sang dans les boîtes échangistes où ils dénichent l'essentiel de leurs victimes. Vivant dans une luxueuse maison de New York, les deux amants n'ont d'autre préoccupation que l'amour qu'ils se portent.
    Mais son immortalité, John, s'est vu l'offrir par Miriam et ne tient qu'à la promesse de sa compagne de l'aimer éternellement. Lorsqu'il commence à vieillir, John se rend rapidement compte que Miriam ne l'aime plus. Pour éviter le sort réservé aux anciens amants de Miriam, John, se tourne vers Sarah, une chercheuse spécialisée dans le vieillissement. Mais c'est précisément de Sarah que Miriam est tombée amoureuse et c'est d'elle que la vampire souhaite faire sa compagne.

    La mythologie du vampire se voit ici réorganisée. Débarrassé de ses canines proéminentes, de ses pouvoirs surnaturels et de son allergie mortelle à la lumière du jour, le vampire selon Scott n'est plus qu'une créature tragique, entièrement dépendante de sa soif de sang et de l'amour qu'on lui a promis.
    (ATTENTION SPOILER) :
    Ainsi John a été vampirisé trois siècles plus tôt par Miriam, une vampire de trois millénaires, qui a fait de lui son compagnon privilégié sur quelques siècles de son éternité. Las, l'amour est aussi ingrat qu'il est périssable, Miriam n'aime plus John et le lui cache. Celui-ci commence cependant à remarquer sur son beau visage de trentenaire quelques rides et des taches de vieillesse, premiers signes d'un vieillissement inéluctable et accéléré. Il se tourne d'abord vers Miriam qui, impuissante, n'assume pas l'état de son amant et fuit la confrontation.
    John cherche alors le salut dans la science et se perd dans les couloirs bondés d'un hôpital à la recherche de Sarah, cette spécialiste du vieillissement qui prend l'homme pour un fou quand il lui dit qu'il a trente ans et l'oublie sciemment dans une salle d'attente. En l'espace de quelques heures, John se flétrit sur sa chaise, sa peau se détend, ses cheveux lui restent dans la main. Comprenant qu'il a été floué par la scientifique et que le temps perdu sur ce siège à attendre ne le rapproche que dangereusement de son trépas, il fuit l'hôpital.
    Aux abois, il erre longtemps dans les rues pour s'y chercher une proie mais la force lui manque désormais et son unique tentative est un échec.
    C'est finalement chez lui que sa victime viendra sonner, cette gamine à qui il donne habituellement des cours de musique et qui ne le reconnait plus. Celle en qui il pouvait voir jusque-là une fille de substitution devient la proie idéale, jeune et fragile, dont le vieux vampire envie la jeunesse. Sacrifiant dans le meurtre de cette adolescente le peu qui lui restait d'humanité, John se rend finalement compte que le sang consommé, tout aussi jeune soit-il, n'inversera pas la marche du temps. Et c'est au soir de cette très longue journée que Miriam rentre chez elle et trouve, tapi dans l'obscurité de sa demeure, ce qui fut encore la veille son jeune amant, désormais un vieillard en pleine décomposition qui ne peut cependant pas mourir, car les vampires hélas... ne meurent pas. (FIN DU SPOILER)

    Unique incursion du réalisateur dans le fantastique, The Hunger apparaît aujourd'hui comme une curiosité cinématographique tant au niveau de son approche esthétique que de son traitement narratif.
    La trame minimaliste regorge ainsi d'idées originales plus ou moins bien exploitées par Scott. Ainsi, après trois quarts d'heure de course contre la montre, le cas de John semble résolu et l'intrigue initiale s'interrompt aussitôt pour laisser place à l'idylle homosexuelle puis la confrontation des deux personnages féminins. Un choix narratif quelque peu calamiteux qui brise le rythme de l'intrigue et appelle un bouleversement de la narration. Là où on aura été entièrement fasciné par le traitement du personnage de John, on sera tenté de se désintéresser de celui de Miriam et de Sarah, non pas que les deux personnages soient sans intérêts, mais la superposition de leur idylle sur le parcours initial de John équivaut quasiment à scinder le film en deux parties distinctes dont le fil directeur fragile ne repose uniquement que sur l'attirance réciproque des personnages de Miriam et Sarah.

    Le propos général de The Hunger est assez clair. A travers la panique de John face à la dégradation de son reflet dans le miroir, c'est bel et bien de la peur atavique de vieillir que nous parle Scott. En l'espace de quelques heures, John Blaylock se confronte à l'implacable marche du temps. De sa belle gueule de trentenaire et portrait craché de David Bowie, John se mue peu à peu en un vieillard chauve et ratatiné.
    Une des deux séquences charnières du film (l'autre étant le meurtre de la jeune fille) reste celle de la salle d'attente. La vision du personnage de John, oublié de tous, assis dans une salle d'attente, et dont le physique se désagrège en quelques minutes, reste assez fascinante pour hanter longtemps la mémoire d'un cinéphile. A travers l'accélération du vieillissement de John, Scott nous confronte simplement à notre fragilité face au temps qui passe.

    Le temps est cruel, il n'oublie personne, pas même les vampires. Comble de l'ironie, c'est en voulant se soustraire à l'emprise du temps que le vampire immortel demeure sa principale victime. Ainsi dans The Hunger, il lui est impossible de mourir, pas même en l'état d'une vieille momie abandonnée dans son cercueil. Il lui est également impossible de mettre un terme à son supplice. Le vampire restera fidèle à son voeu et continuera du fond de son tombeau à entendre, sentir et penser. L'immortalité dans The Hunger est un cadeau empoisonné, le serment prononcé par les deux amants ("Forever and ever") n'est qu'un mensonge tant l'amour est une notion et un sentiment périssable.
    Du haut de ses deux millénaires, Miriam aura fait de nombreuses conquêtes. Sur la seule promesse fallacieuse de son amour éternel, elle aura ainsi convaincu à tour de rôle plusieurs personnes de lui tenir compagnie au fil des siècles. John est le dernier a subir les effets de son désamour.
    Tout comme chez Anne Rice, les vampires de The Hunger souffrent de leur solitude et cherchent désespérément une compagnie pour les aider à supporter le calvaire de leur immortalité. Mais ces vampires-là sont aussi comme bon nombre d'humains, ils s'habituent, ils se lassent et se désintéressent de leur amant au profit d'un autre.
    Et c'est finalement confrontée à tous ceux qu'elle aura aimés et corrompus, que la veuve noire Miriam deviendra elle-même victime de son immortalité.

    Scott a de l'idée et impose son style naissant, largement inspiré par le cinéma de Nicolas Roeg. Il s'inspire également de l'oeuvre de son frère Ridley, que ce soit au niveau de la mise en forme ou des thématiques, Blade Runner et The Hunger ont ainsi pour points communs de prendre pour protagonistes des êtres surhumains luttant désespérément pour leur survie.
    Sa réalisation tire par le haut un scénario famélique, qui aurait grandement gagné à approfondir le background de ses personnages. C'est bien simple, en voyant le film, on se fait une idée de l'épaisseur du script et on admire Scott pour ce qu'il en a tiré.
    Avare en dialogues et stylisé à l'extrême, The Hunger se regarde aujourd'hui comme une étrange péloche arty du début des années 80. Certes, son esthétique entre montage clippé, éclairages bleutés et inserts parallèles, a par certains côtés mal vieilli. Les effets de style usés par Scott sur toute la durée du métrage, qu'ils soient visuels ou sonores, peuvent paraître redondants. En croyant ainsi nourrir l'atmosphère mélancolique de son film, Scott finit quelque peu par lui nuire. On n'aura par exemple jamais vu flotter autant de rideaux dans un film, à croire qu'ils laissent toujours tout ouvert dans la maison Blaylock.
    Des défauts stylistiques qui n'ont cependant rien de rédhibitoires.
    Tout en portant la marque de son époque, The Hunger réussit à s'y soustraire par la singularité de son ambiance et son approche originale du mythe du vampire. Il propose en outre une fascinante réflexion sur le temps, l'amour et la solitude.
    On ressort de son visionnage avec une impression mitigée, ne sachant pas trop s'il faut aimer le film ou le détester. On reste toutefois longtemps hanté par la beauté crépusculaire de ses images.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 avril 2012
    Sur les 15 films vu à ce jour (entre 1983 et 2010) de Tony Scott c'est probablement un de ses meilleurs.
    Un des meilleurs film de Deneuve (si ! si !) et de Bowie (Furyo n'est pas mal non plus).
    Malgré son faible succès, un film à voir car désormais culte, hâte de le revoir en HD.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 août 2013
    Sur le papier réunir Deneuve /Bowie dans des rôles de vampires paraissait alléchant, mais il faut avouer que le premier film de Tony Scott connait pas mal de longueurs et le scénario comme les effets spéciaux ont pas mal vieilli rendant la fin burlesque . Cependant le début du film est magnifique avec notamment la scène où les trois acteurs interprètent le trio de piano de Shubert .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 août 2011
    une mise en scène des plus soignée tout est beau a la fois gothique et troublant
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 décembre 2010
    Macabre, sensuel, gothique... un vrai film de vampire à l'ancienne! Avec un David Bowie puant le sexe et une Catherine Deneuve classe et très attirante, on ne peut qu'abdiquer. Dès l'intro, l'esthétisme est très soigné et la musique excellente. Mon préféré dans le genre restera encore "entretien avec un vampire" par ce qu'il fouillait au plus profond de l'âme des vampires. Ici ça reste relativement en surface mais la beauté des images et les deux acteurs principaux sont deux raisons amplement suffisantes pour le voir. Les amateurs du genre seront servis!
    thewend
    thewend

    36 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juillet 2010
    Je ne peux pas dire que ce soit un mauvais film. L'histoire est bonne, la façon de filmer aussi, les acteurs sont justes dans le role qu'à voulu leur faire jouer le réalisateur... Mais... Mais le réalisateur semble avoir oublié l'histoire, oublié le film, oublié le spectateur... Usant et abusant d'effets, submergeant tout, sacrifiant tout à un certain esthétisme... Le film n'est plus un film, il devient une espèce d'oeuvre contemplative. J'oserai dire que partant d'une bonne idée on arrive sur quelque chose de prétentieux et d'ennuyeux, dommage...
    Tarsis
    Tarsis

    30 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2010
    J'aurai plutôt nommé ce film, 'passions morcelées' alors que les prédateurs ne correspond pas vraiment à un métrage qu'on aurait pensé plus sanguinaire.

    Le premier tiers est assez tentant, mais après on arrive vite sur quelque chose de bien moins captivant avec des effets à outrances qui ne séduisent pas.

    Dommage, car l'idée était bonne et les acteurs aussi.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 juillet 2013
    Deneuve la polyvalente. Voilà ce qui me vient à l'esprit en regardant "Les Prédateurs". Capable de se sublimer sur tous les terrains. Néanmoins, le vampirisme ne me passionne pas et en découvrant ce film, je m'aperçois que tout compte fait, si ce n'est pas un fantasme de la part du réalisateur que de tenter l'aventure effrayante, je n'y comprends plus rien (Je constate que Roman Polanski a lui aussi tenté l'expérience avec "Le Bal des vampires" en 68). On se demanderait presque si Tony Scott ne cherche pas à inculper l'homme de sa propre existence (tests sur les singes - image banale mais juste impliquée de la réalité et donc pouvant être jugé comme un prédateur à "contre-courant" tout comme la manipulation des vampires. Un complot sexuel bien organisé, provocateur. Comme si nous étions que des affabulateurs dans une même pièce. L'ambiance régnante dans la maison nous pousse à l'émerveillement. Décor divin pour des acteurs noirs, problématiques parfois, mais aussi talentueux. Peut-être un effet nostalgique dans quelques années, non ?
    Batisse61
    Batisse61

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2024
    Merveilleux. Une ambiance délétère qui vous malmène et vous fait envier le destin de Deneuve et Bowie. Quel film !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 septembre 2009
    Tony scott,frère cadet du realisateur ridley scott,n'a rien a voir avec ce dernier.Peu importe pour lui de réaliser des chef d'oeuvre comme alien ou blade runner,le plus important ces d'avoir sa patte, sa griffe,comme un peintre,partant de ce principe la,il abandonne le style de ses cour métrage et adère a un autre genre de realisation qu'il tire de la pub ou des clip,de la fumée un peu partout,de la lumière qui traverse les stores ect...avant de réabandonné cette façon de filmé aprés prés de dix ans;de les predateurs a le fan.Dans se tout premier film a l'éstétique calculé au détail prés,tony scott choisit le fantastique,(genre qu'il ne tentera plus préférant les films d'action musclé)avec beaucoup de romantisme,se qu'il continura avec top gun,revenge,jours de tonner,true romance.La realisation du film est définitivement trop glacial,se qui est grand dommage vu qu'elle passe avant les acteur et surtout avant le scénario.Et qu'elle acteur,david bowie en vampire qui se meure,notre catherine deneuve qu'on aime voire loin des connerie française,surtout quand elle a les les dents en sang;mai la palme d'or reviens a susan sarandon,trés convaincante quand elle se transforme en furie assoiffé de sang.Ce "les prédateur" a surtout le mérite de ne pas etre un énième filme de vampire(pas de dent longue ni d'ail),mais d'être un vrai film d'auteur,le film par moment impressionne vraiment lorsque david bowie vieillit a vitesse accéléré,ou encore celle des défunt qui viennent emporté deneuve,glaçant,Tony scott abandonnera aussi se cotés non linéaire,et réutilisera une des musique du film pour une séquence de true romance,et la scène ou catherine deneuse marchant au ralentie avec dans le bras,le corps de son marie, ressemblera a la dernière séquence de revenge.un bonne exercice de style qui est bien plus regardable que top gun le flic de beverly hill2 ou encore jours de tonner et ou on s'aperçoit déja que tony scott veut faire sentir sa camera et pas la faire oublié.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 février 2009
    L'inoubliable rencontre de deux "monstres sacrés".
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 février 2013
    Film dans la droite mouvance des oeuvres esthétiquo-oniriques fin 70-début 80, où les rôles sont réduits à une expression des plus simples, une grande partie du film étant dévolue à la chair, qu'elle soit dénudée ou lacérée. Film de vampire maniéré comme il se doit au genre où une actrice de talent ne peut trouver son compte et une icône rock peut regretter d'être plus visible au générique que sur la pellicule. Gagne à être dégusté 30 ans plus tard, Catherine et David étaient si beaux.
    La thématique, elle, est passée de mode, vue et revue, en souvent mieux.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 août 2011
    super film d'une modernité étonnante avec une musique et un esthétisme appuyés qui en font aujourd'hui un film hors norme pour un film de genre
    et par ailleurs le film témoin d'une époque
    A voir sur grand écran
    vivement le 4 février
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 janvier 2010
    Un film envoûtant par son esthétisme. A voir absolument.
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