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    The Old Oak
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    4,0
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    194 critiques spectateurs

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    MimieLee1
    MimieLee1

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2024
    Il est tellement triste ce film 🥺 Mais c'est une belle leçon d'humanité et de générosité, avec des acteurs tellement touchants ! Encore un très beau film anglais.
    Alain D.
    Alain D.

    566 abonnés 3 265 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2024
    "Eyes Wide open" tels sont les premiers mots de ce véritable hommage à l'humanisme et à la solidarité qu'est "The Old Oak" ; un film émouvant et social comme sait les faire Ken Loach. Déjà présent pour les excellents "Moi, Daniel Blake", "La Part des Anges" ou " Jimmy's Hall", le très joli Scénario de Paul Laverty nous offre un final empli d'espoir et des scènes très fortes comme la projection photo et en cadeau, le drapeau SRENGTH SOLIDARITY RESISTANCE.
    Ce drame est parfaitement interprété par Ebla Mari dans le rôle de Yara la jeune photographe. Quant à Dave Turner, il porte le film sur ses épaules, se révélant tout simplement sublime dans le personnage principal de TJ ; les scènes avec sa chienne Mara sont hyper touchantes.
    Paul Roux
    Paul Roux

    11 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2024
    Certains voient The Old Oak comme le film d’un cinéaste de 87 ans dont le meilleur est derrière lui. Ce n’est pas mon cas. Je considère au contraire cet opus, le dernier peut-être d’une œuvre immense, comme un grand film.

    Il faut du génie pour parvenir à recréer dans un village du nord-est de l’Angleterre un film si révélateur de notre monde tourmenté. C’est ce qu’ont réussi le réalisateur Ken Loach et son scénariste Paul Laverty. D’un côté, des habitants d’un village jadis prospère, aujourd’hui dévasté par le capitalisme sauvage de Margaret Thatcher et la mondialisation néo-libérale. De l’autre, des familles syriennes chassées de leur pays par la guerre impitoyable de Bachar el-Assad pour se maintenir au pouvoir.

    Les deux misères s’arriment mal. C’est d’ailleurs sur de telles frictions, là comme ailleurs, que se développe l’extrême droite. « Il y avait deux communautés vivant l’une à côté de l’autre et souffrant de graves problèmes, a confié Loach. Mais l’une avait subi un traumatisme, pleurait ses morts et s’inquiétait pour ceux restés sur place. Ils étaient étrangers dans un pays qu’ils ne connaissaient pas. »

    Est-ce que ces deux communautés de laissés-pour-compte peuvent cohabiter ? s’est demandé le cinéaste. Au début, c’est loin d’être évident. Pendant un bon moment, j’ai trouvé ce film très dur. Le racisme décomplexé avec lequel est accueillie cette poignée de familles syriennes déracinées m’était insupportable.

    Mais chez Loach, il y a toujours de l’espoir. Le cinéaste et son scénariste ont imaginé deux personnages : TJ Ballantyne, le vieux propriétaire du Old Oak, et Yara, une jeune syrienne, qui vont transformer une partie du pub en cantine solidaire réunissant réfugiés et villageois.

    Y a-t-il là trop de bons sentiments ? Par le passé, j’aurais dit oui. Mais je crois maintenant qu’il n’y a jamais trop de bienveillance et d’empathie. Du reste, comme on le verra, le passage de la xénophobie à une nécessaire solidarité ne se fera pas sans heurts.

    La réussite du film tient beaucoup à la justesse du jeu. L’expression est d’ailleurs mal choisie, car on a l’impression, justement, que les acteurs ne jouent pas. Selon Allociné, tous les interprètes du film, en dehors des Syriens, sont issus des villages du nord-est de l'Angleterre. « Il fallait qu’ils puissent pousser la porte d’un pub et qu’on les prenne pour des gens du coin », dit le vieux cinéaste. Mission accomplie : en entrant dans le Old Oak en leur compagnie, c’est l’impression que l’on a.
    Redzing
    Redzing

    1 070 abonnés 4 421 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2024
    En 2016, des réfugiés syriens débarquent dans une bourgade sinistrée du nord de l'Angleterre. La cohabitation entre les deux communautés ne sera pas facile. Jusqu'à ce que Yara, jeune migrante ouverte, ne devienne amie avec TJ, le gérant brisé du pub local.
    Ken Loach part de cette histoire pour traiter en parallèle le nord de l'Angleterre encore très marqué par son passé minier, et désormais frappé de plein fouet par la pauvreté. Et de l'autre côté, la crise syrienne. Montrant que derrière les différences culturelles, les conséquences des problèmes sont finalement similaires, et que l'on a tout intérêt à les résoudre ensemble.
    Certains trouveront l'ensemble trop optimiste, voire naïf avec ces immigrés tous très gentils. Mais Ken Loach soulève de vraies questions, et surtout le fait avec sincérité et finesse. Idem, certains pointeront du doigt les racistes locaux comme caricaturaux. Mais très honnêtement, on en connaît tous des comme ça. Vous savez, les "je ne suis pas raciste, mais..." qui picolent toute la journée en se plaignant mais se résolvent jamais rien...
    En tout cas "The Old Oak" fonctionne bien. La mise en scène sobre est immersive (tournage en local). Et les acteurs, que j'imagine pour la plupart semi-professionnels et/ou locaux sont convaincants et donnent de l'émotion à l'histoire.
    Un beau film, qui serait une jolie conclusion pour le réalisateur (87 ans à l'heure où j'écris ces lignes...).
    Thibe
    Thibe

    38 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2024
    j'ai connu un Ken Loach bien plus en forme que ça, avec des sujets bien mieux maîtrisés... La vision humaniste est une (très belle) chose, mais poussée jusqu'à la caricature, on arrive à un résultat à l'opposé de ce qu'on pourrait attendre. La fin, vautrée dans un patos "malaisant", mets un quatrième clou sur une croix vermoulue par les bons sentiments. Maintenant, si elle pouvait coller un tant soit peu à la réalité, ma fois, je serais le plus heureux des hommes... Dommage.
    Sylvie BLONDEAU
    Sylvie BLONDEAU

    15 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2024
    Quelle puissance émotionnelle ! Il y a tant de vérité dans ce film, d'authenticité que l'on se prend à croire qu'il s'agit d'un documentaire. Thanks a lot ! Choukra en !
    ATON2512
    ATON2512

    56 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2024
    De Ken Loach (2023).
    Du grand Ken Loach inspiré , fort et puissant; Qui pourtant vu son âge très avancé nous donne une grande leçon d'humanisme. Un film encore plus puissant car inscrit dans une actualité où de nombreux pays ont la tentation du repli sur soi par peur de l'autre, de celui que l'on ne connait pas. Vous sortirez de la salle ragaillardi sur l'espérance dans le genre humain.
    Avec Dave Turner, Ebla Mari, Claire Rodgerson
    Jean-Louis G
    Jean-Louis G

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Film très réussi : bonne histoire, bonne réalisation, acteurs convaincants. On se laisse prendre par l'histoire. Le rytme et les émotions sont bien présents. Bref du bon cinéma !

    Seul bémol : c'est un peu trop pétri de bons sentiments et la fin de l'hsitoire qui est cousue de fils blancs.
    Franfran Servais
    Franfran Servais

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 février 2024
    Je suis très déçu par ce film. Par ken lauch.
    D'habitude, on est plongé dans une vraie ambiance. Dans ce film, tout donné faux. Comment croire à cet atmosphere gnangnan.
    Je ne suis arrivé à y croire. Et cette fin stupide où toute la population pleure un mort .
    Non. C'est raté.
    Dommage
    Bloomybloomy
    Bloomybloomy

    6 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2024
    Vu en VOD.
    Parce qu’un film de Ken Loach est toujours une expérience humaine formidable.
    5 étoiles toujours pour le parti pris de parler de sujets sensibles et sociaux avec honnêteté.
    EtiennePrx
    EtiennePrx

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2024
    Ken Loach tombe dans les clichés et ça donne un film prévisible, aux ficelles bien trop évidentes. Decevant.
    elriad
    elriad

    419 abonnés 1 845 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2024
    J'ai toujours suivi le cinéma de Ken Loach, chantre du film social britannique, même si sa filmographie est inégale. L'empathie est une constante que l'on retrouvé chez le réalisateur dans ses films. Si parfois le réalisateur livre des scénarios qui manquent de finesse ou de subtilité, insistant à coup de gros traits de crayons sur le misérabilisme, ce n'est pas le cas ici de " The Old Oak" ( le vieux chêne en français ), non d'un vieux pub situé dans une ville sinistrée et désertée. La venue de migrants syriens qui fuient la guerre vont semer la pagaille, mais aussi rendre vie à cette petit ville. Joliment dialogué, les acteurs sont justes et touchants, avec une mention spéciale pour l'excellent Dave Turner, acteur fétiche de Ken Loach, parfait en patron du pub. Du cinéma social, humain, qui fait du bien et dont il serait dommage de se priver.
    Guillaume L.
    Guillaume L.

    16 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2024
    En Angleterre, un village d’anciens mineurs reçoit des migrants Syriens. Le bar du village et son propriétaire vont devenir les médiateurs involontaires entre les habitants locaux et les nouveaux arrivants.
    Loach signe un film classique, dans sa mise en scène et sa construction. Le personnage principal très bien interprété est tiraillé entre ses vieux amis/clients fidèles qui font tourner son commerce et les migrants qui apportent une ouverture au monde inexistante jusqu’alors. Pas de surprise dans la conclusion, l’écriture manque un peu de précision, ce qui a pour conséquence notamment un manque d’attachement au personnage principal féminin.
    Corradiantony
    Corradiantony

    16 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2024
    Ces temps-ci évoluent beaucoup trop rapidement, après des décennies de mêmes politiques usées, avec des mentalités embourbées par la haine, ils veulent simplement fermer la porte et ignorer ceux qui ont besoin d’aide dans leur conflit ; mais il y a ceux qui ont un cœur empathique, qui peuvent ôter les barrières de leurs remparts, certains ont voyagé très loin, d'autres résident de manière plus permanente, les deux camps réalisent la nécessité d'un nouveau départ ; alors ils construisent un pont et commencent à conclure un marché, en rénovant les salles pour partager leurs repas, une communauté naît, dans le mépris et le mépris, tous pour un et un pour tous, c'est ce qu'ils ressentent.
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    72 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2024
    Dans le dernier film de Ken Loach, The Old Oak, le réalisateur britannique nous plonge dans les méandres d'une petite bourgade du nord de l’Angleterre, où les tensions sociales s'intensifient avec l'arrivée de réfugiés syriens. Mais au cœur de ce tumulte, une lueur d'espoir émerge, incarnée par le personnage de TJ Ballantyne, propriétaire du pub local "The Old Oak".

    Dave Turner incarne avec subtilité TJ, un homme ordinaire confronté à des circonstances extraordinaires. Sa rencontre fortuite avec Yara, interprétée brillamment par Ebla Mari, une jeune migrante passionnée de photographie, va bouleverser sa vie et celle de toute la communauté. Ensemble, ils décident de braver les préjugés et les divisions en lançant une cantine pour les plus démunis, qu'ils soient autochtones ou réfugiés.

    Ken Loach, connu pour son engagement social et son réalisme saisissant, nous livre une fois de plus un film poignant et d'une grande humanité. À travers les personnages de TJ et Yara, il explore avec finesse les thèmes de la solidarité, de la tolérance et de l'importance de la communauté dans un monde en proie aux divisions.

    Le réalisateur parvient à capturer la beauté fragile des relations humaines, tout en mettant en lumière les injustices et les difficultés auxquelles sont confrontés les réfugiés et les communautés marginalisées. Le spectateur est ainsi invité à réfléchir sur sa propre responsabilité envers ses semblables, quelles que soient leurs origines ou leur situation.

    The Old Oak est bien plus qu'un simple film ; c'est un appel à l'empathie et à l'action, une ode à la capacité de l'homme à se rassembler et à surmonter les obstacles lorsque nous faisons preuve de compassion et de solidarité
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