Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
La Croix
par Stéphane Dreyfus
D’une actualité brûlante, cette œuvre magistrale est bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Comment ne pas verser toutes les larmes de son corps devant l'humanisme profond et le chant d'espérance de Ken Loach ?
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Dans la colère comme dans le sentiment, Ken Loach laisse la bienséance subtile au cinéma bourgeois. Et c'est très bien comme ça.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
The Old Oak ne cesse de combattre la tristesse et l’impuissance : il met des gens debout, en lutte comme le sont Ken Loach et Paul Laverty, hommes en colère, humanistes déterminés à croire qu’un meilleur avenir est possible, sous l’aile protectrice de la fraternité, de la bienveillance et de la solidarité.
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Le vaillant réalisateur de 87 ans redonne espoir avec son dernier long métrage qui, une fois de plus, se situe dans le nord-est de l’Angleterre, économiquement sinistré.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tournée dans le comté de Durham et dans les rues d’Horden et d’Easington, à quelques encablures de la mer du Nord, cette histoire se met en quête d’espoir.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans un monde de plus en plus gangrené par la haine de l'autre, la bienveillance réconfortante et l'humanisme forcené du cinéaste britannique font du bien.
Le Parisien
par La Rédaction
De manière parfois un peu manichéenne mais souvent bouleversante, « The Old Oak » est traversé par l’espoir. À 87 ans, Ken Loach continue de se révolter contre son époque. Et de lutter avec ses armes : un cinéma social engagé, empathique, humain.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Ken Loach revient avec un film social de son plus pur style. Une oeuvre solide, qui sans se distinguer dans sa filmographie, déploie son savoir-faire de grand artisan du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
D’un thème tristement devenu par trop “universel”, le réalisateur anglais tire une peinture sociale et raciale à fleur d’épiderme comme il sait si bien le faire, précisément parce que c’est encore et toujours des considérations humanistes et humaines qu’il s’obstine à prioriser.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Portrait d'une Grande-Bretagne détruite par la politique libérale et de deux communautés en détresse, ce film de Ken Loach est ce que le cinéma social britannique fait de plus émouvant.
Télérama
par Cécile Mury
Ce beau récit, qui semble puiser sa force dans toute l’œuvre de Ken Loach, nous prouve, une fois de plus, à quel point le « vieux chêne » est encore vert.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ken Loach vibre toujours de la même rage contre l'injustice. Pourtant, dans ce qui pourrait être son ultime film, il embrasse l'espoir. Magnifique...
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ken Loach revient sur les écrans cannois avec l’attachement qu’on lui connaît pour la nature humaine et son combat pour l’égalité. The Old Oak est un petit bijou de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"The Old Oak, notre pub" ne surprend guère. Même si l’on retrouve le Ken Loach engagé et que l'on aime, épris de civisme et de compassion, il nous avait habitués à moins de manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le film tape là où il est nécessaire de le faire et s’attendrit lorsqu’il évoque la possibilité du pardon et du droit à une seconde chance. Trop doux ? Eventuellement. Vain ? Certainement pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sans surprise, didactique, mais implacable et solide comme un vieux chêne.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Cet ultime (?) Loach est en-deçà de ce que le réalisateur sait faire. La faute à son scénariste, Paul Laverty.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste tient donc toujours en réserve, quelque part dans sa besace d’humanisme magique, des réserves de bonté qu’il réinjecte au gré des besoins du récit pour dissoudre les problèmes, améliorer les méchants, flouter les antagonismes et apaiser les angoisses du spectateur avant qu’il ne sorte de la projection et ne se reprenne en pleine gueule l’effarante conflictualité de tous contre tous.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Alors, oui, on est loin de Riff, Raff (1990), de Raining Stones (1993) ou de Sorry, We Missed You (2019), pour ne citer que trois monuments d’une filmographie exceptionnelle, mais, malgré tout, le film touche avec son regard lucide et sa croyance forcenée dans les valeurs humanistes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Entre confrontation et compréhension, Loach n’y va pas par quatre chemins, quitte à rendre son récit parfois trop binaire. Là où il excelle toujours en revanche, c’est d’aller déceler la petite part d’humanité des prétendus salauds, et l’envie de fraternité et de partage de ceux qui ont trop souffert.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Mais chez Loach, du fait de tout son parcours d’homme et de cinéaste, cette utopie vous emporte par sa profonde sincérité et son désir de retisser un lien – trop souvent abîmé ou rompu - entre les combats de la gauche d’hier et ceux d’aujourd’hui. Comme un antidote poignant à toutes ces passions tristes qui minent notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
On retrouve l’art du récit de Ken Loach, même si le film n’est pas son meilleur. Il a voulu accorder davantage de place à l’espoir et à la solidarité, au risque de flirter avec le didactisme, les bons sentiments. Et les personnages syriens sont plus esquissés qu’approfondis, dommage.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[Cette] fable humaniste tire sa force de personnages authentiques, dont le généreux T.J., à la fêlure cachée, joué par le formidable Dave Turner.
Critikat.com
par Corentin Lê
Efficace et émouvant par endroits, mais trop routinier pour emporter la mise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Le nouveau cru de Ken Loach se veut toujours aussi ronflant et misérabiliste, alors qu’il vise exactement l’inverse. Ou comment plomber la théorie par la pratique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Cl. F.
Ken Loach et son équipe ont pris soin d’ancrer le film dans le réel. Mais c’est peut-être justement ce souci de coller au plus près, dans une fiction, qui finit par engluer le film dans un programme annoncé. Même si Dave Turner, fidèle de Ken Loach, forme avec Ebla Mari un tandem sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Politiquement, le problème vient autant de l’examen de son sujet, totalement caricatural, qu’à l’extrême candeur de son dénouement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Las, la démonstration prend le dessus, et les prétentions humanistes du cinéaste se vident de leur substance tant les personnages qui entourent Yara et TJ sont réduits à des figures fonctionnelles, ayant vocation à faire advenir des situations schématiques.
La Croix
D’une actualité brûlante, cette œuvre magistrale est bouleversante.
Bande à part
Comment ne pas verser toutes les larmes de son corps devant l'humanisme profond et le chant d'espérance de Ken Loach ?
CinemaTeaser
Dans la colère comme dans le sentiment, Ken Loach laisse la bienséance subtile au cinéma bourgeois. Et c'est très bien comme ça.
Dernières Nouvelles d'Alsace
The Old Oak ne cesse de combattre la tristesse et l’impuissance : il met des gens debout, en lutte comme le sont Ken Loach et Paul Laverty, hommes en colère, humanistes déterminés à croire qu’un meilleur avenir est possible, sous l’aile protectrice de la fraternité, de la bienveillance et de la solidarité.
L'Humanité
Le vaillant réalisateur de 87 ans redonne espoir avec son dernier long métrage qui, une fois de plus, se situe dans le nord-est de l’Angleterre, économiquement sinistré.
Le Dauphiné Libéré
Tournée dans le comté de Durham et dans les rues d’Horden et d’Easington, à quelques encablures de la mer du Nord, cette histoire se met en quête d’espoir.
Le Journal du Dimanche
Dans un monde de plus en plus gangrené par la haine de l'autre, la bienveillance réconfortante et l'humanisme forcené du cinéaste britannique font du bien.
Le Parisien
De manière parfois un peu manichéenne mais souvent bouleversante, « The Old Oak » est traversé par l’espoir. À 87 ans, Ken Loach continue de se révolter contre son époque. Et de lutter avec ses armes : un cinéma social engagé, empathique, humain.
Les Echos
Ken Loach revient avec un film social de son plus pur style. Une oeuvre solide, qui sans se distinguer dans sa filmographie, déploie son savoir-faire de grand artisan du cinéma.
Rolling Stone
D’un thème tristement devenu par trop “universel”, le réalisateur anglais tire une peinture sociale et raciale à fleur d’épiderme comme il sait si bien le faire, précisément parce que c’est encore et toujours des considérations humanistes et humaines qu’il s’obstine à prioriser.
Télé Loisirs
Portrait d'une Grande-Bretagne détruite par la politique libérale et de deux communautés en détresse, ce film de Ken Loach est ce que le cinéma social britannique fait de plus émouvant.
Télérama
Ce beau récit, qui semble puiser sa force dans toute l’œuvre de Ken Loach, nous prouve, une fois de plus, à quel point le « vieux chêne » est encore vert.
Voici
Ken Loach vibre toujours de la même rage contre l'injustice. Pourtant, dans ce qui pourrait être son ultime film, il embrasse l'espoir. Magnifique...
aVoir-aLire.com
Ken Loach revient sur les écrans cannois avec l’attachement qu’on lui connaît pour la nature humaine et son combat pour l’égalité. The Old Oak est un petit bijou de délicatesse.
Franceinfo Culture
"The Old Oak, notre pub" ne surprend guère. Même si l’on retrouve le Ken Loach engagé et que l'on aime, épris de civisme et de compassion, il nous avait habitués à moins de manichéisme.
L'Obs
Le film tape là où il est nécessaire de le faire et s’attendrit lorsqu’il évoque la possibilité du pardon et du droit à une seconde chance. Trop doux ? Eventuellement. Vain ? Certainement pas.
La Voix du Nord
Sans surprise, didactique, mais implacable et solide comme un vieux chêne.
Les Fiches du Cinéma
Cet ultime (?) Loach est en-deçà de ce que le réalisateur sait faire. La faute à son scénariste, Paul Laverty.
Libération
Le cinéaste tient donc toujours en réserve, quelque part dans sa besace d’humanisme magique, des réserves de bonté qu’il réinjecte au gré des besoins du récit pour dissoudre les problèmes, améliorer les méchants, flouter les antagonismes et apaiser les angoisses du spectateur avant qu’il ne sorte de la projection et ne se reprenne en pleine gueule l’effarante conflictualité de tous contre tous.
Marianne
Alors, oui, on est loin de Riff, Raff (1990), de Raining Stones (1993) ou de Sorry, We Missed You (2019), pour ne citer que trois monuments d’une filmographie exceptionnelle, mais, malgré tout, le film touche avec son regard lucide et sa croyance forcenée dans les valeurs humanistes.
Paris Match
Entre confrontation et compréhension, Loach n’y va pas par quatre chemins, quitte à rendre son récit parfois trop binaire. Là où il excelle toujours en revanche, c’est d’aller déceler la petite part d’humanité des prétendus salauds, et l’envie de fraternité et de partage de ceux qui ont trop souffert.
Première
Mais chez Loach, du fait de tout son parcours d’homme et de cinéaste, cette utopie vous emporte par sa profonde sincérité et son désir de retisser un lien – trop souvent abîmé ou rompu - entre les combats de la gauche d’hier et ceux d’aujourd’hui. Comme un antidote poignant à toutes ces passions tristes qui minent notre époque.
Sud Ouest
On retrouve l’art du récit de Ken Loach, même si le film n’est pas son meilleur. Il a voulu accorder davantage de place à l’espoir et à la solidarité, au risque de flirter avec le didactisme, les bons sentiments. Et les personnages syriens sont plus esquissés qu’approfondis, dommage.
Télé 7 Jours
[Cette] fable humaniste tire sa force de personnages authentiques, dont le généreux T.J., à la fêlure cachée, joué par le formidable Dave Turner.
Critikat.com
Efficace et émouvant par endroits, mais trop routinier pour emporter la mise.
Ecran Large
Le nouveau cru de Ken Loach se veut toujours aussi ronflant et misérabiliste, alors qu’il vise exactement l’inverse. Ou comment plomber la théorie par la pratique.
Le Monde
Ken Loach et son équipe ont pris soin d’ancrer le film dans le réel. Mais c’est peut-être justement ce souci de coller au plus près, dans une fiction, qui finit par engluer le film dans un programme annoncé. Même si Dave Turner, fidèle de Ken Loach, forme avec Ebla Mari un tandem sensible.
Les Inrockuptibles
Politiquement, le problème vient autant de l’examen de son sujet, totalement caricatural, qu’à l’extrême candeur de son dénouement.
Cahiers du Cinéma
Las, la démonstration prend le dessus, et les prétentions humanistes du cinéaste se vident de leur substance tant les personnages qui entourent Yara et TJ sont réduits à des figures fonctionnelles, ayant vocation à faire advenir des situations schématiques.