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    Emmanuelle
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    117 critiques spectateurs

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    LNKRDRN
    LNKRDRN

    2 abonnés 685 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2024
    Un film très moyen.

    Le problème avec ce genre d'histoire c'est que ça va pas loin du tout. Ce film n'est pas une exception !

    Le fait qu'Emmanuelle soit à la recherche du désir sexuel, ce n'est pas intéressant !

    Surtout vers la fin, le film m'a complètement perdu. En fait, il tente des choses sans trop s'emballer..

    À fuir.
    SA3
    SA3

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2024
    DECEVANT! Une vision de la femme froide, frustrée et seule dans une société capitaliste et encore colonialiste.
    Quelle pauvreté artistique: la photographie, la musique, la scénographie sont inintéressantes, sans parler du dialogue et du jeu des acteurs qui relèvent d'un manque de profondeur et de complexité. Aucune sensualité, aucun érotisme, ça coupe tout appétit sexuel!
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 octobre 2024
    Après un vol intercontinental en classe affaires, agrémenté d’un passage aux toilettes, l’héroïne anonyme (Noémie Merlant) atterrit à Hong-Kong. Elle y loge dans un palace dont elle doit évaluer la qualité des prestations dans le but bientôt révélé d’en licencier la directrice (Naomi Watts).

    Un Emmanuelle 2024 ? Soixante ans après la publication du roman d’Emmanuelle Arsan qui fit scandale et surtout cinquante après l’incroyable succès du film de Justin Jaeckin qui attira près de dix millions de spectateurs en salles et dont la légende affirme qu’il resta treize ans à l’affiche sur les Champs-Elysées ? Voilà un pari bien risqué. Mais un pari alléchant quand on voit le trio féminin et féministe qui l’a relevé. Audrey Diwan à la réalisation, auréolée du succès, ô combien mérité, de son précédent film, "L’Evénément", Lion d’or à Venise en 2021, l’adaptation glaçante du roman autobiographique d’Annie Ernaux qui y racontait son avortement clandestin au début des années soixante à Rouen. Rebecca Zlotowski pour l’épauler au scénario, l’intello du cinéma français (Normale Sup, agrégation, Fémis), dont les films ("Belle Épine", "Une fille facile", "Les Enfants des autres") peuvent se lire comme un projet de déconstruction des représentations genrées. Et enfin Noémie Merlant, la star qui, depuis son second rôle dans Portrait de la jeune fille en feu, enflamme tout sur son passage.

    Emmanuelle 2024 courait le risque de décevoir tout le monde. Les vieux messieurs libidineux qui, comme moi, seraient allés le voir en espérant à tort y retrouver les émotions érotiques ressenties une cinquantaine d’années plus tôt. Et les jeunes Femen scandalisées par la réhabilitation de cette figure honnie de femme-objet.

    Avec 44.000 entrées en première semaine, il a fait un bide retentissant. J’aurais pourtant imaginé qu’il suscite, au moins en première semaine, la curiosité d’un public plus nombreux.
    La raison en est tout simplement que c’est un film calamiteux. On dirait une longue pub pour un parfum de luxe, ou pour une compagnie aérienne extrême-orientale. À chaque plan, on se demande si Charlize Theron ne va pas surgir d’une piscine dorée ou si une hôtesse en talons hauts ne va pas nous tendre un oshibori.

    Audrey Diwan fait du neuf avec du vieux et voudrait nous faire penser que les choses ont changé. L’Emmanuelle de 1974 était une épouse oisive. Celle de 2024 (mais s’appelle-t-elle seulement Emmanuelle ?) est une cost killeuse célibataire. Sylvia Kristel évoluait à Bangkok, Noémie Merlant à Hong Kong, dans un hôtel dont elle ne franchit quasiment jamais les portes. La première était cornaquée par Alain Cuny ; la seconde court après un métis chinois, d’autant plus désirable qu’il se refuse obstinément à elle. Seul trait commun, tout bien considéré, entre les deux femmes : elles explorent leur sexualité à la recherche d’un impossible orgasme qu’elles finiront par atteindre dans un final explosif (spoiler !)

    Je n’ai pas trouvé sensuelle le moins du monde l’esthétique léchée (sic) de ce film. Elle n’a suscité en moi aucun trouble. Aurais-je eu la même réaction si je l’avais vu à vingt ans, les hormones bouillonnantes ? En tout état de cause, hormones bouillonnantes ou pas, je n’y ai pas vu non plus une réflexion très stimulante sur la femme, son empowerment, son agency et la réappropriation de son plaisir.
    Benoît Siatte
    Benoît Siatte

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2024
    Pour moi, c’est un ratage complet. Les dialogues frisent le ridicule à s’en amuser. C’est creux, long, sans intérêt. Quel gâchis compte tenu des moyens qui ont été mis pour le casting et le tournage.
    RealPrime
    RealPrime

    88 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    Remake du "classique" français de 78 ? ce drame, non, cette "quête" sans cesse inachevée des plaisirs charnelles se mène à Hong Kong, presque non loin du pays d'origine du Kama-Sutra mais restons dans cette ville lumière pour la peine. spoiler: Des longueurs, oui et non, un bon jeu, clairement, un hôtel de luxe s'offrant le réel second rôle, clairement et c'est bien l'avantage de masse du récit, son environnement claque les yeux. Noémie Merlant, au delà de son superbe physique (mentir serait pêcher non ?), elle parvient tout le long à nous captiver de son regard, de son "accent tricolore" enivrant et ses dialogues bien ficelés. Naomi Watts ("King Kong"...), de retour (pour moi en tous cas même s'il est évident qu'elle n'à jamais stoppée depuis Skull Island) en directrice luxueuse et unique vrai second rôle féminin ou sa complicité avec la française m'aurais nettement laisser penser qu'il y aurait eu une scène lesbienne, mais non. Un récit qui est involontairement un clin d'œil à tous les amateurs de critiques de lieux lors d'escales de vacances. Même si elle fait partie du groupe hôtelier possédant l'établissement et qu'elle est payée pour juger, Noémie fait clairement référence à nous tous (j'en fais parti). Enfin et évidement, les scènes sexuelles sont d'abords très sage, ne m'attendant "pourtant" pas à voir la française nue pour un -12, ces dernières sont restée trop sages mais en réalité ça n'est pas étonnant, -12 égal peu de visibilité, surtout l'audio. La longue scène, finalement finale, fut à moitié réussie mais convaincante, le jeu fut presque bon et les prise mitigées
    . Avec recul, la trilogie "50 Nuances de Grey" reste pour l'heure la meilleur en la matière.
    Jean
    Jean

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 octobre 2024
    Soit je n'ai pas compris le message de la réalisatrice, soit il n'y en avait pas et là, vraiment, j'ai passé un très mauvais moment. Ce film n'a rien d'erotique, la sensualité est totalement absente, ne parlons pas de romantisme, de sentiment, de caresses, de volupté, bref de tout ce qui transcende les relations chez nous les humains. Beaucoup de clichés pitoyables, de dialogues pathétiques, je m'inquiète sur l'avenir du féminisme au cinéma. Pour moi, l'érotisme et la douceur, la tendresse ne sont pas incompatibles, je deviens peut-être un extraterrestre des rapports humains...
    Bon courage à ceux qui iront subir ce film.
    Jean
    Pierre
    Pierre

    21 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2024
    Cette version 2024 de Emmanuelle est totalement différente des années 70. Elle est plus froide et sombre et renfermé un peu sur elle. L'histoire du film je l'ai trouver pas très intéressante. Noemie Merlant était pas mal dans son rôle. En résumer le film est bien mais sans plus.
    Alain Avice
    Alain Avice

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Trop long,on ne fait qu'attendre ,attendre quoi on ne sais pas ?.
    J'espère que les femmes aurons compris ce film ,moi non .
    Une actrice très jolie, J'espère qu'elle ne sais pas trop ennuyée pendant le tournage.
    Eric Moget
    Eric Moget

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Je ne comprends pas la sévérité des critiques de spectateurs, si ce n'est peut-être par le décalage entre ce film et la vision patriarcale de ce que devrait être un film érotique. Certes, ce n'est pas trépidant, mais c'est une très bonne description de la dynamique du désir féminin, dans une réalisation qui rappelle avec plaisir "Lost in translation" plutôt que "In the mood for love" (deux films magnifiques aussi). C'est bien plus en phase avec le roman d'Emmanuelle Arsan que le film pathétique et commercial de Just Jaeckin, imprégné de culture du viol et de pédophilie, qui a détruit son interprète principale et plombé la carrière de certains seconds rôles.
    Azl Nk
    Azl Nk

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    J'ai lu des interviews, écouté des émissions sur le film avant de le voir. Je m'attendais à un film erotique qui serait une version contemporaine d'Emanuelle. C'est peut être ma faute, j'ai peut être mal compris mais je ne m'attendais pas à ça. Ça n'avait rien à voir, rien d'érotique. C'était plutôt l'histoire d'une femme frigide. Du coup le contraire d'un film erotique. C'était froid, et le choix de Noemie Merland (que j'aime beaucoup mais qui n'a rien de sexy) veut tout dire. La mise en scène était clinique, rien de sulfureux. Les scènes de sexe nous laissent extrêmement froids. Pourquoi le film s'appelle Emmannuelle ? A part des détails dans les décors je n'en retrouve rien. Soit c'est un raté soit on l'a très mal vendu.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    74 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Mais qui est vraiment Audrey Diwan ?

    Difficile de cerner cette réalisatrice/scénariste capable d'adapter brillamment l'oeuvre de la très engagée à gauche Annie Ernaux (L'Evénement, Lion d'Or à Venise) puis de co-scénariser des films ratés (L'Amour et les Forets) ou aux messages réactionnaires plus que douteux (Bac Nord, Pas de vagues). Bref, il était difficile de savoir à quoi s'attendre avec cette nouvelle réalisation.

    Commençons tout de suite par dire que le film est bien moins pire que la bande-annonce et la vague de critiques qu'il reçoit depuis sa sortie le laissaient penser.

    Une oeuvre tout à fait déroutante, entièrement dévouée au désir féminin, qui alterne les scènes très réussies et les moments plus gênants.

    Avec son imagerie rappelant le cinéma de Wong Kar-Waï, la photographie, bien qu'empruntant aussi aux codes désuets des publicités ultra esthétisantes des années 90 pour parfums, est superbe.

    La réalisatrice parvient pendant un bon tiers du film à retranscrire avec justesse l'ennui et le sentiment de solitude ressentis par son personnage principal, dans cet univers papier glacé, et son besoin d'amour charnel pour se sentir exister.

    Les personnages féminins frappent par leur liberté, et Audrey Diwan a l'intelligence de ne jamais les mettre en rivalité les unes contre les autres. Si c'est un bonheur de retrouver Naomi Watts (héroïne de mon film culte, Mulholland Drive), et si l'on ne peut qu'être admiratif devant la fluidité et l'authenticité de l'anglais de Noémie Merlant, cette dernière se révèle un peu trop distante et mono-expressive pour réellement embarquer le spectateur.

    Alors que le film construit lentement un chemin vers un climax final, l'ennui s'installe peu à peu et l'on décroche devant la répétition de scènes pas toujours très inspirées.

    Toutefois, le choix de ne pas avoir multiplié les scènes faussement sulfureuses et potentiellement ridicules est à saluer. De plus, ces quelques moments sont toujours parfaitement cadrés et mis en scène avec beaucoup d'élégance. Néanmoins, l'on aurait aimé que cette quête du désir soit moins froide et que le film soit plus sensuel et transgressif.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    ELLORA
    ELLORA

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2024
    Pas un ratage absolu, comme je le lis souvent, ni une réussite totale, je dirais pour ma part ... bof.
    Jolies images, bons acteurs, mais scénario... bof bof...
    Fedex76
    Fedex76

    13 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2024
    Mais qu'est venue faire Noémie Merlant dans ce projet ? Peut-être un film de femmes pour les femmes, mais je n'ai pas ressenti ce qui devait être ce voyage initiatique et intérieur vers le plaisir féminin, et l'érotisme mou qui se dégage du film est bien loin de son modèle de référence.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    146 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Emmanuelle est une jeune femme expérimentant son désir sexuel et celui des autres pour elle au fil de ses flirts. En voyage professionnel dans un hôtel de Hong-Kong, elle est en charge de l'évaluation de la directrice pour le groupe qui possède l'hôtel. Pendant ses recherches, elle croise la route d'un homme qui éveille en elle une curiosité qui lui intime d'en apprendre plus sur lui. En salle le 25 septembre.

    spoiler: "Emmanuelle" nous met dans la peau de la jeune femme éponyme dont le nom n'est jamais prononcé. On entre très progressivement dans la psyché de cette héroïne qui nous tient à distance et dont on observe sans comprendre le désir sexuel se manifester. Le film ne tombe jamais dans la vulgarité et se pare d'un érotisme puissant mais pudique, d'une certaine manière, privilégiant la contemplation à l'action. J'ai trouvé la performance de Noémie Merlant exceptionnelle : l'actrice parvient à marcher sur le fil en permanence sans tomber dans le cliché, malgré qu'on ne sache presque rien de son personnage. Dommage, il nous manque un épilogue.
    Guigui Paul
    Guigui Paul

    5 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 octobre 2024
    Un film raffiné sur l'ultramoderne solitude, aux élégantes images qui renvoient parfois à Wong Kar Wai voire au Michael Mann de "Hacker". Noémie Merlant incarne bien le rôle-titre et la langueur étudiée du film a son charme, qui pourra rebuter cela dit certains spectateurs partis pour voir une oeuvre plus "jouissive"!
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