Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Une magistrale odyssée féministe.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Intéressant dans sa théorie, Emmanuelle est aussi plein de cinéma, totalement minimaliste, ou convoquant la luxuriance des films de Wong Kar-wai et exploitant à plein les décors d'un Hong Kong underground lors d'une escapade nocturne d'une tension sexuelle explosive.
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Audrey Diwan déjoue habilement les attentes, contestant justement un certain érotisme dont l'héroïne doit se dégager pour se frayer un chemin, en grande partie intérieur, vers une sensualité féminine en reconstruction qui n'ose commencer à palpiter qu'au terme de ce parcours. Laissé au dehors de ces prémices de volupté retrouvée, le spectateur reste comme sensoriellement captif de la mélancolie ouateuse de l'espace aliénant qu'Emmanuelle vient seulement de quitter.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Autant à l’aise dans l’autorité que dans l’insolence ou la séduction, Noémie Merlant réactualise le mythe d’Emmanuelle avec un naturel déconcertant.
Elle
par Marguerite Baux
POUR : Un film intrigant, entre timidité et audace, comme son héroïne.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Avec une mise en scène excessivement soigneuse et pensée, ultra-esthétisante et épurée, servie par la présence magnétique de Noémie Merlant, qu'elle filme magnifiquement, la réalisatrice ouvre une porte sur l'espace intime, sur l'univers mystérieux qu'est le désir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Noémie Merlant étincelle dans cette nouvelle version d'Emmanuelle qui remet le film érotique au goût du jour.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Si on est un peu circonspect sur la partie « frustration » du film, force est de constater que le procédé mis en place par Audrey Diwan fonctionne à fond : après la langueur éthérée, ça secoue fort, et on adore Emmanuelle — le film comme l’héroïne — dans cette folle et très remuante découverte de Hong Kong by night, une virée des plus excitantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Audrey Diwan revisite le roman d’Emmanuelle Arsan avec une vision moderne et contemplative, loin des clichés érotiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Maud Tenda
À l’image du fantasme, qui n’existe (s’il n’est pas réalisé) que par l’imagination, le film mise aussi brillamment sur l’art de la suggestion et de l’attente. La scène la plus hot n’est ainsi pas la plus explicite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Audrey Diwan troque les fauteuils en osier pour un érotisme sensoriel et plus théorique.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
D'une beauté majestueuse, ce film à la dramaturgie minimaliste ose les images explicites mais distille surtout un mystère déroutant.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Exercice de style assumé, le film est au bord de l’image publicitaire, sans jamais y sombrer. Il joue plutôt à cache-cache avec les clichés, le « déjà-vu », semble lancer des clins d’œil (à In the Mood for Love, de Wong Kar-wai), revisite des archétypes – une scène avec un glaçon « torride ». Se fait sensuel, sans être nécessairement charnel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Bois
Remarquablement mis en scène et en images, porté par la prestation spectrale de Noémie Merlant, Emmanuelle marque autant pour son ambition que sa singularité.
Le Point
par La Rédaction
Dans ce film français tourné en anglais, on évolue dans une forme d'apesanteur, de décalage sensoriel délibérément orchestré par la réalisatrice qui signe une mise en scène élégante, éthérée, sans bousculer les codes du classicisme ni du féminisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Laura Tuillier
Film sur l’émotion introuvable, "Emmanuelle" est à rapprocher, dans l’esprit, d’un "Rien à foutre" (Marre et Lecoustre) : l’enfer contemporain est pris dans une dimension avant tout individuelle et psychologique, il brise notre capacité à être touché.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Le film s’inscrit dans le prolongement de ce qui était déjà en œuvre dans « L’Évènement » : l’exploration de la solitude féminine devant son corps physique et social.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Mais main dans main avec son interprète Noémie Merlant – une fois encore impressionnante – Audrey Diwan va au bout de ses parti pris, fuit toute concession, n’esquive aucune scène d’intimité sexuelle et reste toujours au plus près de cette femme se réappropriant son corps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Malgré des dialogues parfois sentencieux, Audrey Diwan propose le portrait assez passionnant d'une femme libre, vulnérable, courageuse, et porte un regard tranchant sur les rapports de domination et l'articulation entre vie et désir.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un exercice de style d'une grande beauté, envoûtant comme un rêve éveillé. Mais son érotisme, très cérébral, échoue à faire naître les émotions, y compris le frisson de la sensualité.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Loin d’être une relecture du film de Just Jaeckin, cette œuvre arty et minimaliste tente d’explorer les zones d’ombre du désir, avec un style élégant mais d’une froideur qui pourra rebuter.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Cette nouvelle version se révèle en définitive bien didactique, mais pas exactement là où on l’attendait : Diwan s’attache plus à reconstruire qu’à déconstruire l’image semi-pornographique de la libertine, pour retrouver le frisson suranné de ses galipettes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Cette relecture d'Emmanuelle a au moins le mérite d'une esthétique soignée.
GQ
par Adam Sanchez
Cette proposition d'aller contre le cahier des charges du film érotique, ou du moins de mettre sous silence ses motifs et son atmosphère libidineuse, aurait pu accoucher d'une proposition intéressante si elle avait su contrebalancer le plaisir de la chair dont jouissent les personnages par autre chose ou en y posant un œil différent.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Isabelle Danel
Malgré des décors majestueux et la présence charnelle de Noémie Merlant, la mise en scène glacée et policée génère un ennui poli au lieu de l’envoûtement promis.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Sans charme, ni transgression, ce portrait d’une femme moderne en quête de plaisir déçoit.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par La Rédaction
La réalisatrice Audrey Diwan a eu la lourde tâche de revisiter, cinquante ans plus tard, Emmanuelle. Las, le résultat est plutôt décevant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
La mise en scène est brillante, léchée, d'une froideur volontaire. Cela brille, mais reste froid. Les dialogues sont ampoulés, ce qui ne signifie pas lumineux. On disserte sur la tristesse. Une escort lit Les Hauts de Hurlevent. Évidemment, le but était de transformer Emmanuelle en icône féministe. Drôle d'idée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un film théorique, aux dialogues parfois sibyllins, à l'atmosphère hypnotique et envoûtante.
Le Monde
par M. Dl
Les enjeux narratifs finissent par tomber dans une dimension RH pas très palpitante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
Las, cette sous-intrigue mène à une pauvre prise de conscience ne volant pas plus haut que le proverbial "l'argent ne fait pas le bonheur", tandis que la réalisatrice Audrey Diwan réussit le tour de force d'éteindre l'habituellement lumineuse Noémie Merlant.
Cahiers du Cinéma
par Hélène Boons
L’Emmanuelle de 2024 pose, masse ses rides, se rase joliment, se masturbe sagement. (…) Non content d’uniformiser les corps, les lieux, les situations, le film annule toute la potentielle portée subversive charriée par l’érotisme ou même la pornographie.
Elle
par Françoise Delbecq
CONTRE : le film de Just Jaeckin avait fait scandale en 1974, celui d'Audrey Diwan nous fait décrocher la mâchoire. D'ennui.
Télérama
par Jérémie Couston
CONTRE : À l’instar de Noémie Merlant, on attend le climax, la rencontre avec l’inconnu qui se refuse mystérieusement à elle. Le trouble n’arrivera jamais. Et la montagne de désir accouche d’une souris de frustration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Public
Une magistrale odyssée féministe.
CinemaTeaser
Intéressant dans sa théorie, Emmanuelle est aussi plein de cinéma, totalement minimaliste, ou convoquant la luxuriance des films de Wong Kar-wai et exploitant à plein les décors d'un Hong Kong underground lors d'une escapade nocturne d'une tension sexuelle explosive.
Culturopoing.com
Audrey Diwan déjoue habilement les attentes, contestant justement un certain érotisme dont l'héroïne doit se dégager pour se frayer un chemin, en grande partie intérieur, vers une sensualité féminine en reconstruction qui n'ose commencer à palpiter qu'au terme de ce parcours. Laissé au dehors de ces prémices de volupté retrouvée, le spectateur reste comme sensoriellement captif de la mélancolie ouateuse de l'espace aliénant qu'Emmanuelle vient seulement de quitter.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Autant à l’aise dans l’autorité que dans l’insolence ou la séduction, Noémie Merlant réactualise le mythe d’Emmanuelle avec un naturel déconcertant.
Elle
POUR : Un film intrigant, entre timidité et audace, comme son héroïne.
Franceinfo Culture
Avec une mise en scène excessivement soigneuse et pensée, ultra-esthétisante et épurée, servie par la présence magnétique de Noémie Merlant, qu'elle filme magnifiquement, la réalisatrice ouvre une porte sur l'espace intime, sur l'univers mystérieux qu'est le désir.
Le Dauphiné Libéré
Noémie Merlant étincelle dans cette nouvelle version d'Emmanuelle qui remet le film érotique au goût du jour.
Le Parisien
Si on est un peu circonspect sur la partie « frustration » du film, force est de constater que le procédé mis en place par Audrey Diwan fonctionne à fond : après la langueur éthérée, ça secoue fort, et on adore Emmanuelle — le film comme l’héroïne — dans cette folle et très remuante découverte de Hong Kong by night, une virée des plus excitantes.
Les Fiches du Cinéma
Audrey Diwan revisite le roman d’Emmanuelle Arsan avec une vision moderne et contemplative, loin des clichés érotiques.
Les Inrockuptibles
À l’image du fantasme, qui n’existe (s’il n’est pas réalisé) que par l’imagination, le film mise aussi brillamment sur l’art de la suggestion et de l’attente. La scène la plus hot n’est ainsi pas la plus explicite.
Télé 2 semaines
Audrey Diwan troque les fauteuils en osier pour un érotisme sensoriel et plus théorique.
Télé Loisirs
D'une beauté majestueuse, ce film à la dramaturgie minimaliste ose les images explicites mais distille surtout un mystère déroutant.
Télérama
POUR : Exercice de style assumé, le film est au bord de l’image publicitaire, sans jamais y sombrer. Il joue plutôt à cache-cache avec les clichés, le « déjà-vu », semble lancer des clins d’œil (à In the Mood for Love, de Wong Kar-wai), revisite des archétypes – une scène avec un glaçon « torride ». Se fait sensuel, sans être nécessairement charnel.
Voici
Remarquablement mis en scène et en images, porté par la prestation spectrale de Noémie Merlant, Emmanuelle marque autant pour son ambition que sa singularité.
Le Point
Dans ce film français tourné en anglais, on évolue dans une forme d'apesanteur, de décalage sensoriel délibérément orchestré par la réalisatrice qui signe une mise en scène élégante, éthérée, sans bousculer les codes du classicisme ni du féminisme.
Libération
Film sur l’émotion introuvable, "Emmanuelle" est à rapprocher, dans l’esprit, d’un "Rien à foutre" (Marre et Lecoustre) : l’enfer contemporain est pris dans une dimension avant tout individuelle et psychologique, il brise notre capacité à être touché.
Paris Match
Le film s’inscrit dans le prolongement de ce qui était déjà en œuvre dans « L’Évènement » : l’exploration de la solitude féminine devant son corps physique et social.
Première
Mais main dans main avec son interprète Noémie Merlant – une fois encore impressionnante – Audrey Diwan va au bout de ses parti pris, fuit toute concession, n’esquive aucune scène d’intimité sexuelle et reste toujours au plus près de cette femme se réappropriant son corps.
Sud Ouest
Malgré des dialogues parfois sentencieux, Audrey Diwan propose le portrait assez passionnant d'une femme libre, vulnérable, courageuse, et porte un regard tranchant sur les rapports de domination et l'articulation entre vie et désir.
Télé 7 Jours
Un exercice de style d'une grande beauté, envoûtant comme un rêve éveillé. Mais son érotisme, très cérébral, échoue à faire naître les émotions, y compris le frisson de la sensualité.
aVoir-aLire.com
Loin d’être une relecture du film de Just Jaeckin, cette œuvre arty et minimaliste tente d’explorer les zones d’ombre du désir, avec un style élégant mais d’une froideur qui pourra rebuter.
Critikat.com
Cette nouvelle version se révèle en définitive bien didactique, mais pas exactement là où on l’attendait : Diwan s’attache plus à reconstruire qu’à déconstruire l’image semi-pornographique de la libertine, pour retrouver le frisson suranné de ses galipettes.
Femme Actuelle
Cette relecture d'Emmanuelle a au moins le mérite d'une esthétique soignée.
GQ
Cette proposition d'aller contre le cahier des charges du film érotique, ou du moins de mettre sous silence ses motifs et son atmosphère libidineuse, aurait pu accoucher d'une proposition intéressante si elle avait su contrebalancer le plaisir de la chair dont jouissent les personnages par autre chose ou en y posant un œil différent.
L'Obs
Malgré des décors majestueux et la présence charnelle de Noémie Merlant, la mise en scène glacée et policée génère un ennui poli au lieu de l’envoûtement promis.
LCI
Sans charme, ni transgression, ce portrait d’une femme moderne en quête de plaisir déçoit.
La Croix
La réalisatrice Audrey Diwan a eu la lourde tâche de revisiter, cinquante ans plus tard, Emmanuelle. Las, le résultat est plutôt décevant.
Le Figaro
La mise en scène est brillante, léchée, d'une froideur volontaire. Cela brille, mais reste froid. Les dialogues sont ampoulés, ce qui ne signifie pas lumineux. On disserte sur la tristesse. Une escort lit Les Hauts de Hurlevent. Évidemment, le but était de transformer Emmanuelle en icône féministe. Drôle d'idée.
Le Journal du Dimanche
Un film théorique, aux dialogues parfois sibyllins, à l'atmosphère hypnotique et envoûtante.
Le Monde
Les enjeux narratifs finissent par tomber dans une dimension RH pas très palpitante.
Mad Movies
Las, cette sous-intrigue mène à une pauvre prise de conscience ne volant pas plus haut que le proverbial "l'argent ne fait pas le bonheur", tandis que la réalisatrice Audrey Diwan réussit le tour de force d'éteindre l'habituellement lumineuse Noémie Merlant.
Cahiers du Cinéma
L’Emmanuelle de 2024 pose, masse ses rides, se rase joliment, se masturbe sagement. (…) Non content d’uniformiser les corps, les lieux, les situations, le film annule toute la potentielle portée subversive charriée par l’érotisme ou même la pornographie.
Elle
CONTRE : le film de Just Jaeckin avait fait scandale en 1974, celui d'Audrey Diwan nous fait décrocher la mâchoire. D'ennui.
Télérama
CONTRE : À l’instar de Noémie Merlant, on attend le climax, la rencontre avec l’inconnu qui se refuse mystérieusement à elle. Le trouble n’arrivera jamais. Et la montagne de désir accouche d’une souris de frustration.