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"Gueules noires" pourrait crouler sous le poids de ses ambitions. Pourtant, Mathieu Turi parvient à tirer de son concept un survival fascinant, ainsi qu’une dimension lovecraftienne inspirée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Gueules Noires est un survival horrifique empreint d'une ambiance lovecraftienne poisseuse et fascinante. Un pur film de monstre audacieux et sans pitié doté d'un réalisme social surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Impressionnante au début, la créature convainc hélas de moins en moins à chaque apparition. Mais c’est bien le seul petit défaut de ce film fantastique français épatant (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Jouant avec sincérité la carte de l'épouvante et s'appuyant sur un solide casting, le troisième film de Mathieu Turi, après "Hostile" et "Méandre", fera peut-être sourire certains mais ravira surtout les amateurs du genre.
Jouant avec sincérité la carte de l'épouvante et en s'appuyant sur une solide distribution, le film de Mathieu Turi en fera sourire certains mais ravira les fans du genre.
Le courage et la maîtrise de la proposition de Turi au sein du paysage cinématographique français font de ce troisième long-métrage une œuvre positivement singulière (et socialement pertinente) qu'il convient de soutenir.
La générosité dont Turi veut faire preuve dans sa manière de filmer la créature contredit les origines lovecraftiennes du projet, et souligne des maladresses techniques qui auraient facilement pu être masquées. On se consolera en saluant le design du monstre [...].
Bien sûr les influences sont nombreuses (H. P. Lovecraft en tête) et on a parfois l’impression de regarder un Escape Game sur grand écran, tant la narration manque de fluidité. Mais le plaisir de retrouver Samuel Le Bihan dans un rôle sur-mesure, 22 ans après « Le Pacte des Loups », balaie toutes les réticences.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La première demi-heure est une réussite totale [...]. Las, dès que le fantastique horrifique s’en mêle, tout déraille, à commencer par la direction d’acteurs, en mode récitation.
Le film s’en remet à une gamme surannée d’effets horrifiques ; aimanté par les faces exorbitées de ses acteurs, il emploie ad nauseam la force de suggestion du hors-champ, au risque de ne figurer qu’une peur surjouée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une fois la vilaine bébête relâchée, il n’y a plus aucun effet de surprise. Seule la mise en scène semble exciter le réalisateur qui, pour son troisième film, s‘amuse avec quelques judicieux hors champs, arrière-plans terrifiants et effets gores.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"Gueules noires" affiche une maîtrise formelle évidente. [...] Ça ne suffira pas hélas à complètement sauver ce délire lovecrafto-minier qui, s’il a le mérite de ne jamais patauger et d’assumer complètement son mash-up de Germinal et Predator, se perd dans des dialogues à la limite de la parodie [...] et des inserts socio-pédagogiques un peu forcés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Il y a indéniablement de l'idée et une envie de cinoche comme on n'en fait plus, mais l'entreprise est malmenée par un manque criant de budget (le monstre a de la gueule, mais ses mouvements sont terriblement limités) et surtout le niveau de jeu dramatiquement aléatoire du casting.
La critique complète est disponible sur le site Première
Samuel Le Bihan se prend pour Jean Gabin, les mineurs affrontent un alien vaguement lovecraftien, quelques litres de sang suintent… Tout cela serait plus convaincant si on nous en montrait beaucoup moins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Négligeant les ressources des ténèbres et du hors-champ, le film retarde inutilement le dévoilement d’un monstre grotesque qui fait peine à voir. Dépourvu de toute idée de mise en scène, il déroule péniblement son effarant programme : transformer Germinal en un tour de train fantôme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré l’idée maline de faire d’une mine le territoire de jeu d’un monstre venu d’un autre temps, “Gueules noires” rate complètement sa rencontre entre “Alien” et “Germinal”.
20 Minutes
Mathieu Turi signe un suspense fascinant et bien mené par d’excellents acteurs.
CinemaTeaser
Le cinéma de Mathieu Turi s'affirme encore un peu plus.
Ecran Large
"Gueules noires" pourrait crouler sous le poids de ses ambitions. Pourtant, Mathieu Turi parvient à tirer de son concept un survival fascinant, ainsi qu’une dimension lovecraftienne inspirée.
Filmsactu
Gueules Noires est un survival horrifique empreint d'une ambiance lovecraftienne poisseuse et fascinante. Un pur film de monstre audacieux et sans pitié doté d'un réalisme social surprenant.
La Voix du Nord
Un pur film de monstre, divertissant et gore.
Le Journal du Dimanche
Le long métrage entretient un réalisme social poignant, et brille par son originalité, son audace, sa radicalité et son ambition.
Le Parisien
Impressionnante au début, la créature convainc hélas de moins en moins à chaque apparition. Mais c’est bien le seul petit défaut de ce film fantastique français épatant (...).
Télé 2 semaines
Jouant avec sincérité la carte de l'épouvante et s'appuyant sur un solide casting, le troisième film de Mathieu Turi, après "Hostile" et "Méandre", fera peut-être sourire certains mais ravira surtout les amateurs du genre.
Télé Loisirs
Jouant avec sincérité la carte de l'épouvante et en s'appuyant sur une solide distribution, le film de Mathieu Turi en fera sourire certains mais ravira les fans du genre.
L'Ecran Fantastique
Le courage et la maîtrise de la proposition de Turi au sein du paysage cinématographique français font de ce troisième long-métrage une œuvre positivement singulière (et socialement pertinente) qu'il convient de soutenir.
Les Fiches du Cinéma
Quand "Germinal" rencontre "Stranger Things"... La nouvelle proposition de Mathieu Turi devrait séduire les amateurs de cinéma horrifique.
Mad Movies
La générosité dont Turi veut faire preuve dans sa manière de filmer la créature contredit les origines lovecraftiennes du projet, et souligne des maladresses techniques qui auraient facilement pu être masquées. On se consolera en saluant le design du monstre [...].
Paris Match
Bien sûr les influences sont nombreuses (H. P. Lovecraft en tête) et on a parfois l’impression de regarder un Escape Game sur grand écran, tant la narration manque de fluidité. Mais le plaisir de retrouver Samuel Le Bihan dans un rôle sur-mesure, 22 ans après « Le Pacte des Loups », balaie toutes les réticences.
Télé 7 Jours
La première demi-heure est une réussite totale [...]. Las, dès que le fantastique horrifique s’en mêle, tout déraille, à commencer par la direction d’acteurs, en mode récitation.
Critikat.com
Le film s’en remet à une gamme surannée d’effets horrifiques ; aimanté par les faces exorbitées de ses acteurs, il emploie ad nauseam la force de suggestion du hors-champ, au risque de ne figurer qu’une peur surjouée.
L'Obs
Une fois la vilaine bébête relâchée, il n’y a plus aucun effet de surprise. Seule la mise en scène semble exciter le réalisateur qui, pour son troisième film, s‘amuse avec quelques judicieux hors champs, arrière-plans terrifiants et effets gores.
Libération
"Gueules noires" affiche une maîtrise formelle évidente. [...] Ça ne suffira pas hélas à complètement sauver ce délire lovecrafto-minier qui, s’il a le mérite de ne jamais patauger et d’assumer complètement son mash-up de Germinal et Predator, se perd dans des dialogues à la limite de la parodie [...] et des inserts socio-pédagogiques un peu forcés.
Première
Il y a indéniablement de l'idée et une envie de cinoche comme on n'en fait plus, mais l'entreprise est malmenée par un manque criant de budget (le monstre a de la gueule, mais ses mouvements sont terriblement limités) et surtout le niveau de jeu dramatiquement aléatoire du casting.
Télérama
Samuel Le Bihan se prend pour Jean Gabin, les mineurs affrontent un alien vaguement lovecraftien, quelques litres de sang suintent… Tout cela serait plus convaincant si on nous en montrait beaucoup moins.
Le Monde
Négligeant les ressources des ténèbres et du hors-champ, le film retarde inutilement le dévoilement d’un monstre grotesque qui fait peine à voir. Dépourvu de toute idée de mise en scène, il déroule péniblement son effarant programme : transformer Germinal en un tour de train fantôme.
Les Inrockuptibles
Malgré l’idée maline de faire d’une mine le territoire de jeu d’un monstre venu d’un autre temps, “Gueules noires” rate complètement sa rencontre entre “Alien” et “Germinal”.
Sud Ouest
Un scénario bancal, et des personnages beaucoup trop caricaturaux.