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    Saltburn
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    3,5
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    173 critiques spectateurs

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    Cyril Bailleul
    Cyril Bailleul

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2024
    Un film plus que surprenant. On pense connaître les codes qui régiront la suite et on ne pense pas pouvoir être étonnée au début du film, cependant plus il avance, plus il s'éloigne de ce qu'on pensait qu'il serait.
    Alasky
    Alasky

    351 abonnés 3 409 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2024
    Une atmosphère aristocrate délicieuse, un personnage principal énigmatique, spoiler: pervers,
    un excellent casting, une agréable BO. Les ingrédients sont là pour un film divertissant. Dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé ; il manque peut-être un petit quelque chose pour que je puisse dire qu'il soit incontournable. Mais j'ai passé un super moment.
    @fredlvdf
    @fredlvdf

    18 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2024
    Partir d'un scénario de film simple et aller sur un autre type de film, c'est très intéressant.
    De belles images, un film qui tien en haleine.
    La façon dont l'histoire est raconté change complètement des films habituels. Ce film rafraîchit le cinéma avec de supers acteurs !
    chloé camporesi
    chloé camporesi

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2024
    Une fin inattendue et surprenante après un film en deux parties. Si la première traîne en longueur avec des plans paysages et personnages nous présentant le contexte, là seconde partie est vicieuse, et violente. Très bien filmé, avec de très beaux plans, agréable à regarder malgré la longueur de scènes inutiles et la longueur de certaines scènes malaisantes.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    360 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2024
    Amazon Prime tape très fort avec sa dernière exclusivité Saltburn. Comment parler de ce film, sans aborder la performance exceptionnelle de Barry Keoghan. Il est à couper le souffle. Pour certains, c'est une révélation, mais pour d'autres, une confirmation. L'acteur irlandais s’était révélé au grand public avec son rôle mineur dans Dunkerque. Par la suite, il s’était fait remarquer dans le blockbuster de Marvel, Les Eternels. Récemment, c’est dans Les Banshees d'Inisherin et la série Top Boy qu’il avait pu briller. Son personnage est fascinant.

    Oliver Quick est un manipulateur né. Au départ, on est attendris par lui. Cependant, au fur et à mesure, notre regard change quand on se rend compte de sa facette maléfique. Son évolution est donc passionnante. Cela exalte Saltburn. Au centre de ce labyrinthe émotionnel, se trouve la relation avec son meilleur ami. Amitié appuyée, admiration aveugle, amour inavoué ? Tant de possibilités s’offrent à nous tant, Oliver se faufile entre les lignes.

    Grâce à ce lien avec son meilleur ami, nous sommes plongés dans la bourgeoisie anglaise. C’est dans ce monde bien particulier qu’Oliver va tenter de se faire sa place. Pour cela, il use de tous les moyens possibles. Lui, pauvre fils de toxicomane, ne doit reculer devant rien pour garder les faveurs de la famille Felix. Il faut dire que l’animosité de Farleigh est redoutable. On peut d’ailleurs saluer les performances de Jacob Elordi, Archie Madekwe ou encore Rosamund Pike. À travers eux, on se rend compte des excès de cette bourgeoisie.

    C'est la mise en scène qui vient sublimer ce film. La musique, notamment, permet d’ajouter une touche de grandeur. Elle exergue chaque moment dramatique et de suspense. À cela, il faut ajouter un sens de la photographie précis ajusté selon l’évolution d’Oliver.
    Amanda Rivat
    Amanda Rivat

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 février 2024
    Comme un air de déjà vu ! Se veut original mais c'est un cocktail de tout ce qui a déjà pû se faire mais en moins bien, limite parodique !
    L'étoile c'est pour la petite scène finale un peu sympa
    Michael R
    Michael R

    105 abonnés 1 260 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2024
    Saltburn c'est le domaine d'une famille aristocrate anglaise qui va inviter un jeune prolo à venir y passer l'été. La vanité de cette caste a déjà été portée à l'écran (le cercle des poètes disparus, les lois de l'attraction, the riot club, la crème de la crème), et cette déclinaison n'est pas sa principale force (le père est un doux fêlé principalement intéressé par ses assiettes fleuries, sa flore et ses déguisements de soirée ; la mère est une ancienne mannequin commère sans fond ; la fille est boulimique et nymphomane ; le cousin est une folle putassant et vivant au crochet), bref, tous sont hors sol, sauf le fils, Jacob Elordi (loin de la toxicité d'Euphoria), altruiste et bel homme, il est objet de toutes les attentions... Et notamment celle du protagoniste, taciturne et envieux, entre amitié et amour.
    La vie de campus, la vie de château, les grandes soirées, les fausses amitiés, l'oisiveté chic etc sont brossées et le film a l'extrême gentillesse de ne pas en faire trop (si ce n'est deux scènes osées ou polémiques en lien avec une baignoire), au risque de paraître superficiel comme l'univers qu'il dépeint manquant presque de sel sauf qu'il y a ce poison insidieux, l'invité qui observe, se love et tisse sa toile. Or c'est seulement la dernière partie, beaucoup plus cynique et noire, qui va remettre en perspective tout le déroulé. Barry Keoghan et son visage troublant explose et dévoile son talent monstre. Saltburn porte bien son nom : exquis, brûlant, acide.
    Dylan Lepetit
    Dylan Lepetit

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2024
    Au vu de l’engouement que provoquaient les gens, je me suis dit pourquoi pas le regarder : j’ai perdu 2 heures de ma vie. En 2 heures j’aurai pu essayer de me trouver un nouveau style pour ma barbe, apprendre 3 recettes de cuisines, ranger mon appart de fond en comble, mais nan j’ai choisi le film et c’est une grave erreur.
    C’était nul, dès le début on sait que ça va être ennuyant, le film prend trooooop de temps à devenir un minimum intéressant. Le synopsis est franchement nul, pas original. Et ce n’est pas parce qu’il y a 2-3 scènes étranges qu’on ressort de ce film en mode « mind fuck géant », il y a des films bien plus poussés et plus intéressants et recherchés que ce film bidon qui vous fait dire que regarder un caillou pendant la même durée va vous procurer plus de plaisir et d’intérêt.
    En gros : ne regardez pas, c’est ennuyant à mourir.
    Matthieu Bergeron
    Matthieu Bergeron

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2024
    Un excellent film pour ma part. Aussi déroutant qu'accrocheur, autant visuel que philosophique. Une ode à nos sentiments et à l'abjecte. Une vraie réussite.
    Tigrou Ina
    Tigrou Ina

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2024
    Poignant, glaçant, choquant, du génie bien plus encore par sa réalisation que par son scénario. L'émotion est parfaitement transmise à l'écran, même sans parole. La solitude, la haine et le dégoût sont palpables et frappant
    Redzing
    Redzing

    1 123 abonnés 4 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2024
    Je ne peux que saluer l'effort d'Emerald Fennell, qui s'est efforcée d'écrire un récit original, sans adapter une oeuvre existante. Ce qui de nos jours est de plus en plus rare. Le problème, c'est qu'en faisant cela, les oeuvres dont on s'inspire immanquablement ressortent en général de manière visible.
    "Saltburn" se centre sur Oliver, étudiant sans le sou débarquant fraîchement à Oxford. Intelligent et travailleur, il ne parvient pas à s'intégrer parmi les riches insouciants. Jusqu'à une rencontre fortuite avec Felix, fils d'une famille aristocrate. Celui-ci va le prendre sous son aile, et l'inviter à passer l'été à Saltburn, son manoir familial.
    Il y a un petit côté "Rebecca" pour la demeure imposante et le personnel hostile. Mais c'est évidemment l'ombre de "The Talented Mr. Ripley" qui plane sur une grande partie du récit. Avec ce protagoniste qui se révèle être un parasite social manipulateur des plus retors. Si les grandes lignes sont déjà vues, "Saltburn" bénéficie de beaucoup de qualités qui en font bien un film unique.
    Déjà, la photographie est très belle, exploitant les rues d'Oxford, ainsi que Drayton House, manoir qui n'avait auparavant jamais servi pour un tournage. Le format d'image en 4:3 est un peu étonnant, mais permet de rendre dérangeantes les séquences où nos acteurs sont en gros plan.
    Et du dérangeant, il y en aura ! Emerald Fennell prend un malin plaisir à tourner plusieurs scènes malsaines. Parfois avec un humour noir, parfois avec une perversité très crue. Je citerai le final surprenant sur la forme (qui a remis la chanteuse Sophie Ellis-Bextor temporairement en tête de certains charts !). Ou des scènes sexuelles pour le moins étranges. Clairement, "Saltburn" n'est pas à mettre en toutes les mains.
    Le film a également un message très directs envers les ultrariches. Les dépeignant comme des gens vulgaires, égoïstes, déconnectés des réalités, extravagants. Et surtout, incapables d'échapper au danger des prédateurs sociaux. Soit parce qu'ils n'en ont pas conscience, soit parce qu'ils ne sont pas assez fins pour s'en protéger.
    Un portrait que certains trouveront caricatural et simpliste. Néanmoins je pense que c'est voulu, en tout cas cela amène des touches d'humour noir réussies. Et les acteurs s'en donnent à coeur joie dans cet esprit.
    Rosamund Pike et Richard E. Grant en aristo pétés. Archie Madekwe en cousin bien relou. Jacob Elordi en objet insaisissable du désir de notre protagoniste. Et évidemment, Barry Keoghan bien louche en visiteur qui fait son trou, dans une prestation qui rappelle un peu celle de "Killing of a Sacred Deer". Le choix de l'acteur est un peu étonnant, car il est clairement trop âgé pour un étudiant (30 ans). Mais peut-être cela fait-il aussi partie du malaise ?
    Tahirekamal
    Tahirekamal

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Pour une histoire romantique c’est mal rédigé même pour un film queer, la personnalité d’Oliver est soudainement transformé d’un jeune homme timide vers un manipulateur dans peu de jours chez la nouvelle famille, un tel changement devra être visible par le spectateur, on a besoin de savoir la raison psychiatrique de ce changement, et même le nouveau style Queer est largement mal perçu. Très déçu car je cherchais un bon Film des années 90/2000.
    LapinoFurioso
    LapinoFurioso

    3 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Un peu déçu du résultat de ce Saltburn. Pourtant la première partie du film avait plutôt bien commencée. Je suis rentré dans le film dès les premières minutes et je suis resté scotché à l'histoire de cet étudiant défavorisé qui rentre dans une université huppée. L'esthétique est plutôt réussie et au niveau de la technique je n'ai pas grand chose à redire. Les plans sont plutôt beaux, l'image et la photographie également. Et les acteurs sont convaincants, Barry Keoghan en particulier, mais j'y reviendrai plus tard.

    Et bien qu'il y ai quelques scènes assez étranges ou perturbantes ([Spoiler] La scène où Oliver sent et lèche la baignoire après le passage de Felix, les scènes de masturbation avec Venetia ou Farleigh), la majorité du film reste plutôt normal et accessible. Mais dans son dernier quart [Spoiler], après la mort de Felix [Spoiler] tout s'accélère et on enchaîne les scènes étranges dont je ne comprends pas toujours les réactions des personnages. C'est malheureusement à partir de là que le film m'a complètement perdu. Je suis resté bouche bée par la suite devant l'étrangeté de certains passages ([Spoiler] Le sexe avec la tombe de Felix, la confrontation entre Oliver et Venetia dans la baignoire, le meurtre de Elspeth et la danse finale [Spoiler]). J'ai aussi eu un peu de mal avec les scènes de sexe qui s'enchaînent et de la tension sexuelle malsaine qui se dégage de la moitié des échanges entre Oliver et les autres personnages.

    Par contre, je ne peux pas nier la performance d'acteur de Barry Keoghan qui a une palette passant du bizarre et attachant, à l'inquiétant et mettant mal à l'aise, au manipulateur et terrifiant.

    Sinon, les révélations de twist à la fin sont plutôt efficaces, bien qu'un peu attendu pour une partie. Elles sont peu être un peu trop explicatives, en nous montrant tout le plan de Oliver depuis le départ, mais elles permettent de remettre certaines scènes en perspective après coup.
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    On connaissait la finesse de bulldozer de Emerald Fennell avec son Promising Young Woman qui faisait passer son message au forceps, mais le faisait avec flamboyance et en n'oubliant pas de faire plaisir au spectateur (on ne s'est jamais remis de la reprise de Toxic de Britney Spears). Mais on n'était pas prêt à accueillir un Saltburn aussi peu soignée et peu imaginatif, aussi tape-à-l'oeil dans ses pseudo-scènes choc (trois petites scènes de spoiler: déviances sexuelles
    , totalement gamines et pas impressionnantes pour deux sous) que vain dans son final décharné et encore une fois clinquant pour rien (l'utilité de la spoiler: danse à poil avec ce cadrage de plan fessier ?
    On cherche toujours...). Pour ceux qui viennent attirés par le buzz "scènes chocs" de Saltburn : passez votre chemin, ces trois petites scènes sont mal filmées, jouent juste avec des tabous de cour maternelle ( spoiler: on goûte au sperme et à la menstruation, et on copule avec le monticule de terre qui recouvre l'être aimé... Bon, en gros, c'est un gamin qui joue à touche-pipi
    ). Tous les personnages sont des marionnettes auxquelles on ne croit jamais (et les acteurs non plus... C'est la sieste ferme), du petit boursier qu'on devine trop rapidement être spoiler: un mythomane
    (et le film se croit malin en nous montrant l'envers du décors comme des twists, alors qu'on a tout capté dès les premiers dérapages de l'étudiant) au grand charmeur très bêta sur les bords (Jacob Elordi, toujours enfermé dans le même rôle), en passant par le couple de riches qui surjoue à mort, la sœur qui n'a aucun intérêt narratif si ce n'est être la "sœur de"... Emerald Fennell pense qu'on ne peut pas comprendre son histoire, alors elle nous aide (trop généreuse, Mère Thérésa) : spoiler: vous n'avez pas compris que c'est un karaoké de riches pour des riches ? Elle nous met donc le valet qui tient la boîte du karaoké (marqué en énorme dessus, sans style graphique, et sans aucune autre info de vente... Mais quelle marque voudrait de ce design ?) qui tire la tronche (pour bien dire qu'il subit son travail). Vous n'avez pas la réf de la musique Rent que chante le protagoniste, pas de problème, il la chante sans même regarder les paroles au début mais est horrifié de découvrir le refrain (comme si c'était la première fois qu'il l'entendait) qui le traite de profiteur.
    Vous n'avez rien demandé comme explications (parce qu'il n'y en avait pas besoin) ? Emerald vous en donne quand même : on voit spoiler: Oliver envoyer les messages de fausses accusations sur Farleigh (mais... on le savait depuis une heure, non ?), taper n'importe quoi sur son ordinateur pour bien montrer qu'il attendait la mère de famille (mais... il aurait pu taper de vrais mots, aussi, même des phrases sans intérêts qui auraient pu le couvrir si Madame décidait de l'aider momentanément dans son projet... Le fait qu'il tape n'importe quoi est en contradiction avec son machiavélisme minutieux jusque-là démontré), etc...
    Tout le côté "coulisses" est contre-productif, il ne nous impressionne jamais, mais nous prouve à l'inverse que la réalisatrice s'imaginait sérieusement qu'on avait besoin d'explications sur des choses déjà acquises (traduisez : on est des écervelés finis). Emerald Fennell valide elle-même un côté décadent et grinçant de son film qui n'existe en réalité que dans sa conception ultra-gamine de ce qui est vraiment corrosif (à savoir chez elle : le bas du froc). On sature très vite du vide immense et terrifiant qui constitue son Saltburn, peuplé de marionnettes désincarnées, de ressorts narratifs sur lesquels on revient plusieurs fois (des fois qu'on n'aie pas compris) avec des twists qui ressemblent juste à des récap' de série télé, et une critique de la Haute qui a rarement trouvé autant de caricatures dans son propos. Sinon, pour l'histoire du coucou qui tombe dans un nid de piafs riches encore plus timbrés que lui, il y a L'Origine du Mal, avec Laure Calamy, qui est très sympa... Ou Parasite, la valeur sûre. Mais fuyez ce Saltburn qui se croit très malin, et vous très bête.
    Ciné-13
    Ciné-13

    119 abonnés 1 071 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    3 longs plans séquences magnifiquement réussis illustrent le talent de la réalisatrice : découverte d'Oxford, visite de la demeure, et déambulation dansante dans Saltburn. Le portrait lisse initial du brillant KEOGHAN fera place soudainement à du libidineux, du vénéneux, pour tendre vers du psychopathe... Les scènes dérangeantes se succèdent sans repérer la manipulation du spectateur (la baignoire partagée, la tombe violée, spoiler: échange de sang menstruel
    , ébats dans le labyrinthe,... . Les nantis sont caricaturés à l'extrême sans que cela choque outre mesure notre impertinent dandy (on comprendra plus tard pourquoi). On n'oubliera pas de sitôt "The murder in the dancefloor" jubilatoire!
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