Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Emilia Perez est une prouesse, puissante, audacieuse et salvatrice.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Viscéral et mélo, délicat et bourrin, féroce et émouvant. Mi-Almodovar mi-Michael Mann. Fou.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Sur la lutte entre le déterminisme et le libre arbitre, Emilia Perez mêle comédie musicale, drame et thriller pour un moment de cinéma total et une œuvre virtuose.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Film transgenre dans son essence, Emilia Perez frôle l’angélisme, mais bascule plutôt dans le camp de la rédemption, de la justice et du combat contre le déterminisme. Tournage en studio en France. Traitement inédit. Séquence finale bouleversante. Flamboyant !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Emilia Perez avait tout du projet casse-gueule, c’est en fait une œuvre virtuose : ses excès ne virent jamais au grotesque, ses changements de ton sont toujours justifiés, ses thèmes sont multiples, mais cohérents.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le réalisateur signe un film immense, visuellement époustouflant et extrêmement profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Philippe Lemoine
Ici, Jacques Audiard tutoie les sommets de son œuvre, offrant aux spectateurs un spectacle total où l'émotion et la réflexion dansent en harmonie au son des mariachis. Un vrai mélange des genres.
Télé 2 semaines
par Margot Loisel
Cette comédie musicale époustouflante emporte le spectateur grâce à des artistes au sommet de leur art qui ont reçu, ensemble, le prix d'interprétation à Cannes. Des émotions fortes et une énergie dévorante.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Cet ovni, d'une modernité et d'une liberté folle, doit beaucoup à son casting, emmené par l'actrice transgenre Karla Sofía Gascón, dont le charisme et la sensualité emportent tout.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Des émotions fortes et une énergie dévorante.
Voici
par D.B.
Quel film remarquable !
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Emilia Pérez est une œuvre gigantesque, monstrueuse même, qui fait aimer le cinéma dans ce qu’il peut avoir de démesuré et déjanté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Emilia Pérez est aussi un beau film qui n’a pas peur de l’excès pour faire couler les larmes. On en sort brisé mais heureux d’avoir rencontré ces femmes exceptionnelles et merveilleusement mises en valeur par un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
En abordant pêle-mêle et de manière frontale ses thèmes aussi différents que la place des femmes dans la société, les questions de genre et les nouvelles parentalités, Audiard fait preuve d'ultra-modernité. Quelle liberté d'expression !
Femme Actuelle
par La rédaction
Aux extravagances du récit répond un traitement tout aussi surprenant, ponctué de tableaux musicaux, tantôt touchants, tantôt éclatants. Une chose est sûre : ce grand spectacle sucré-salé possède un ton unique.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un grand film lyrique qui touche au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Avec une fougue et une audace monumentales, le réalisateur a réussi à exécuter comme il le voulait son plan, signer une comédie musicale dans les cartels mexicains en embrassant toute la complexité et l'absurdité de cette proposition.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Emilio Pérez, le splendide dixième long métrage du cinéaste français, introduit les questions de genre dans l'univers du narcotrafic. Un mélange étonnant de danse, de chansons, de drame et de comédie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Peps du musical, frisson de série noire, drôlerie de soap opera et larmes de mélodrame, Emilia Perez est une bombe queer. Du Almodaudiard !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par La rédaction
Ambitieux, risqué, osé, mais surtout réussi.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Cécile Rouden
Avec un goût inné pour l’irrévérence, Jacques Audiard se livre à un habile exercice de style aussi réjouissant que maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Jacques Audiard réalise une semi-comédie musicale chez les narcotrafiquants qui évite le ridicule grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide, un sens du mélodrame et de la rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’équilibre est fragile, le ridicule aux aguets, mais le cinéaste va jusqu’au bout de son idée sans y céder, livrant une fable baroque aussi flamboyante qu’émouvante, toujours surprenante et servie par une mise en scène virtuose qu’accompagne un quatuor inspiré.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Pour en apprécier le spectacle, il faut laisser au vestiaire l’exigence du réalisme et de la vraisemblance, et se laisser happer par l’énergie sentimentale et les ressorts archétypaux qui en gouvernent la dramaturgie, sous les auspices de la dissonance et de l’impureté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Après les tours du 13 e arrondissement de Paris dans Les Olympiades, Jacques Audiard pose sa caméra au Mexique. Il en revient avec une comédie musicale emballante sur un parrain de la drogue qui choisit de devenir une femme.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Audiard là où on ne l’attendait pas du tout : avec un drame musical. Moins sous contrôle que d’habitude, l’ensemble est inspiré et généreux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Avec ce film musical sur la transition de genre d’une narcotrafiquante dans un Mexique fantasmé, doublement primé à Cannes, le cinéaste trouve son souffle dans l’outrance et le déchaînement des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
La danse et le chant comme antidote à la violence du monde, portés par une BO électrique.
Paris Match
par Benjamin Locoge
En se lançant dans la comédie musicale avec Emilia Perez, le cinéaste signe l'un de ses plus beaux films.
Positif
par Ariane Allard
On n'oubliera pas de sitôt la dernière séquence de ce film-ovni, excessif, justement imparfait, qui voit les participants d'une procession entonner en chœur une version espagnole de la chanson si belle, si mélancolique de Brassens Les Passantes. Hymnes aux femmes, à toutes les femmes s'il en est… on en frisonne encore !
Première
par Thierry Chèze
Un film qui ne gonfle pas ses muscles, mais ouvre les cœurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Jacques Audiard signe un éblouissant et émouvant film au-delà des genres, entre thriller, mélo, comédie musicale, sur la transidentité.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Marie Sauvion
Après tant d’années à regarder les hommes tomber, Audiard regarde les femmes lutter dans cette comédie musicale transgenre, à la fois mélo et film noir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Antoine Desrues
Difficile de reprocher à Jacques Audiard sa soif d’expérimentation et l’énergie de ses passages musicaux, transcendés par ses comédiennes. Mais Emilia Perez reste beaucoup trop hétérogène et binaire pour une œuvre sur la fluidité des genres (dans tous les sens du terme).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par David Ezan
Fable mexicaine tournée à Paris, endimanchée par Saint Laurent, campée par des actrices hispano-américaines dirigées par un cinéaste et des musiciens français. Emilia Perez se vit d’abord comme un objet génialement impur. (…) La « caution féerique » se retourne peut-être contre le film, qui drape son héroïne d’un voile blanc et l’isole encore de toute réalité matérielle.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
On ne saurait pourtant balayer l’effet d’embrasement jouissif qu’a produit en nous le film – pour la première fois, la rédemption antivirile d’Audiard ne fait pas l’effet d’un calcul malin et dégage une impression de sincérité, toute dysfonctionnelle fût-elle. Son meilleur film ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Josué
Pousser la chansonnette et délaisser ses vieux réflexes (qui reviennent toutefois au galop) ne suffisent pas à transformer en profondeur le cinéma d’Audiard, toujours en quête de son "reset".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
par Raphael Nieuwjaer
D’abord conçu comme un opéra, Emilia Perez est donc devenu un film. Opératique ? Oui, au sens le plus trivial : lyrisme braillard, destins tourmentés et bouffissures sentimentales.
Bande à part
Emilia Perez est une prouesse, puissante, audacieuse et salvatrice.
CinemaTeaser
Viscéral et mélo, délicat et bourrin, féroce et émouvant. Mi-Almodovar mi-Michael Mann. Fou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sur la lutte entre le déterminisme et le libre arbitre, Emilia Perez mêle comédie musicale, drame et thriller pour un moment de cinéma total et une œuvre virtuose.
La Voix du Nord
Film transgenre dans son essence, Emilia Perez frôle l’angélisme, mais bascule plutôt dans le camp de la rédemption, de la justice et du combat contre le déterminisme. Tournage en studio en France. Traitement inédit. Séquence finale bouleversante. Flamboyant !
Le Dauphiné Libéré
Emilia Perez avait tout du projet casse-gueule, c’est en fait une œuvre virtuose : ses excès ne virent jamais au grotesque, ses changements de ton sont toujours justifiés, ses thèmes sont multiples, mais cohérents.
Le Parisien
Le réalisateur signe un film immense, visuellement époustouflant et extrêmement profond.
Ouest France
Ici, Jacques Audiard tutoie les sommets de son œuvre, offrant aux spectateurs un spectacle total où l'émotion et la réflexion dansent en harmonie au son des mariachis. Un vrai mélange des genres.
Télé 2 semaines
Cette comédie musicale époustouflante emporte le spectateur grâce à des artistes au sommet de leur art qui ont reçu, ensemble, le prix d'interprétation à Cannes. Des émotions fortes et une énergie dévorante.
Télé 7 Jours
Cet ovni, d'une modernité et d'une liberté folle, doit beaucoup à son casting, emmené par l'actrice transgenre Karla Sofía Gascón, dont le charisme et la sensualité emportent tout.
Télé Loisirs
Des émotions fortes et une énergie dévorante.
Voici
Quel film remarquable !
aVoir-aLire.com
Emilia Pérez est une œuvre gigantesque, monstrueuse même, qui fait aimer le cinéma dans ce qu’il peut avoir de démesuré et déjanté.
20 Minutes
Emilia Pérez est aussi un beau film qui n’a pas peur de l’excès pour faire couler les larmes. On en sort brisé mais heureux d’avoir rencontré ces femmes exceptionnelles et merveilleusement mises en valeur par un grand cinéaste.
Elle
En abordant pêle-mêle et de manière frontale ses thèmes aussi différents que la place des femmes dans la société, les questions de genre et les nouvelles parentalités, Audiard fait preuve d'ultra-modernité. Quelle liberté d'expression !
Femme Actuelle
Aux extravagances du récit répond un traitement tout aussi surprenant, ponctué de tableaux musicaux, tantôt touchants, tantôt éclatants. Une chose est sûre : ce grand spectacle sucré-salé possède un ton unique.
Franceinfo Culture
Un grand film lyrique qui touche au cœur.
GQ
Avec une fougue et une audace monumentales, le réalisateur a réussi à exécuter comme il le voulait son plan, signer une comédie musicale dans les cartels mexicains en embrassant toute la complexité et l'absurdité de cette proposition.
L'Humanité
Emilio Pérez, le splendide dixième long métrage du cinéaste français, introduit les questions de genre dans l'univers du narcotrafic. Un mélange étonnant de danse, de chansons, de drame et de comédie.
L'Obs
Peps du musical, frisson de série noire, drôlerie de soap opera et larmes de mélodrame, Emilia Perez est une bombe queer. Du Almodaudiard !
LCI
Ambitieux, risqué, osé, mais surtout réussi.
La Croix
Avec un goût inné pour l’irrévérence, Jacques Audiard se livre à un habile exercice de style aussi réjouissant que maîtrisé.
Le Figaro
Jacques Audiard réalise une semi-comédie musicale chez les narcotrafiquants qui évite le ridicule grâce à une vitalité communicative, une mise en scène fluide, un sens du mélodrame et de la rédemption.
Le Journal du Dimanche
L’équilibre est fragile, le ridicule aux aguets, mais le cinéaste va jusqu’au bout de son idée sans y céder, livrant une fable baroque aussi flamboyante qu’émouvante, toujours surprenante et servie par une mise en scène virtuose qu’accompagne un quatuor inspiré.
Le Monde
Pour en apprécier le spectacle, il faut laisser au vestiaire l’exigence du réalisme et de la vraisemblance, et se laisser happer par l’énergie sentimentale et les ressorts archétypaux qui en gouvernent la dramaturgie, sous les auspices de la dissonance et de l’impureté.
Les Echos
Après les tours du 13 e arrondissement de Paris dans Les Olympiades, Jacques Audiard pose sa caméra au Mexique. Il en revient avec une comédie musicale emballante sur un parrain de la drogue qui choisit de devenir une femme.
Les Fiches du Cinéma
Audiard là où on ne l’attendait pas du tout : avec un drame musical. Moins sous contrôle que d’habitude, l’ensemble est inspiré et généreux.
Libération
Avec ce film musical sur la transition de genre d’une narcotrafiquante dans un Mexique fantasmé, doublement primé à Cannes, le cinéaste trouve son souffle dans l’outrance et le déchaînement des sentiments.
Marie Claire
La danse et le chant comme antidote à la violence du monde, portés par une BO électrique.
Paris Match
En se lançant dans la comédie musicale avec Emilia Perez, le cinéaste signe l'un de ses plus beaux films.
Positif
On n'oubliera pas de sitôt la dernière séquence de ce film-ovni, excessif, justement imparfait, qui voit les participants d'une procession entonner en chœur une version espagnole de la chanson si belle, si mélancolique de Brassens Les Passantes. Hymnes aux femmes, à toutes les femmes s'il en est… on en frisonne encore !
Première
Un film qui ne gonfle pas ses muscles, mais ouvre les cœurs.
Sud Ouest
Jacques Audiard signe un éblouissant et émouvant film au-delà des genres, entre thriller, mélo, comédie musicale, sur la transidentité.
Télérama
Après tant d’années à regarder les hommes tomber, Audiard regarde les femmes lutter dans cette comédie musicale transgenre, à la fois mélo et film noir.
Ecran Large
Difficile de reprocher à Jacques Audiard sa soif d’expérimentation et l’énergie de ses passages musicaux, transcendés par ses comédiennes. Mais Emilia Perez reste beaucoup trop hétérogène et binaire pour une œuvre sur la fluidité des genres (dans tous les sens du terme).
La Septième Obsession
Fable mexicaine tournée à Paris, endimanchée par Saint Laurent, campée par des actrices hispano-américaines dirigées par un cinéaste et des musiciens français. Emilia Perez se vit d’abord comme un objet génialement impur. (…) La « caution féerique » se retourne peut-être contre le film, qui drape son héroïne d’un voile blanc et l’isole encore de toute réalité matérielle.
Les Inrockuptibles
On ne saurait pourtant balayer l’effet d’embrasement jouissif qu’a produit en nous le film – pour la première fois, la rédemption antivirile d’Audiard ne fait pas l’effet d’un calcul malin et dégage une impression de sincérité, toute dysfonctionnelle fût-elle. Son meilleur film ?
Critikat.com
Pousser la chansonnette et délaisser ses vieux réflexes (qui reviennent toutefois au galop) ne suffisent pas à transformer en profondeur le cinéma d’Audiard, toujours en quête de son "reset".
Cahiers du Cinéma
D’abord conçu comme un opéra, Emilia Perez est donc devenu un film. Opératique ? Oui, au sens le plus trivial : lyrisme braillard, destins tourmentés et bouffissures sentimentales.