Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CNews
par La rédaction
Un documentaire passionnant et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Franceinfo Culture
par Christophe Airaud
"Christophe... définitivement" n'est pas un concert filmé, ce n'est pas non plus une biographie de cinéma. C'est un magnifique film qui rend hommage à un artiste hors des lignes. Un film d'artiste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Critikat.com
par Robin Vaz
Au-delà de la richesse du matériau documentaire, le film brille par la façon dont il s'empare de la plasticité de ses images numériques, à partir de laquelle il brosse un portrait composite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par La Rédaction
Plus qu'un documentaire, une ode à Christophe.
L'Obs
par François Armanet
Les deux plasticiens l’ont suivi dans les coulisses de sa création : les silences immobiles, les clairs-obscurs de mime, les obsessions maniaques, « des moments pour se défaire ». Et chaque chanson devient un film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Yves Jaeglé
« Christophe… définitivement » annonce qu’après une captation de concert en DVD et déjà plusieurs films plus courts avec lui, Ange Leccia et Dominique Gonzalez-Foerster disent adieu à leur ami de vingt ans, qui s’efface comme un fantôme en costume blanc au château de Versailles. Le chanteur aurait aimé, définitivement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Autant qu'un document sur un chanteur populaire, « Christophe… définitivement » écrit la perpétuelle frustration des créateurs, les sommets qu'on n'atteindra jamais, les horizons frôlés et sans cesse repoussés. Le portrait d'un grand angoissé, beau et hanté.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Une plongée fascinante et mélancolique dans l’univers créatif de Christophe. Entre documentaire et œuvre expérimentale, le film d’Ange Leccia et Dominique Gonzalez-Foerster s’envisage comme le bel hommage de deux artistes à un chanteur aimé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Ce que vise le film, c’est une présence. Une présence filmée dans un perpétuel présent (alors que le film brasse plusieurs périodes, plusieurs concerts, mais en effaçant tous les repères chronologiques). Et là tient la réussite un peu magique du film : un sentiment d’être là, tout proche de cet être et ce chanteur merveilleux qu’était Christophe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Hommage beau bizarre, le documentaire dresse un portrait intimiste et vibrant du musicien à la faveur de son come-back il y a vingt ans.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Serge Kaganski
[Un] film impeccable et très émouvant.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Les plasticiens devenus réalisateurs orchestrent une synthèse progressive. Les bribes deviennent des morceaux concrets, moments de bravoure musicaux sur scène. On accède alors au concert complet, dans toute sa cinégénie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Gonzalez-Foerster et Leccia s’éloignent (...) d’une recréation warholienne de la star en cherchant surtout à rendre sensible la précarité du présent, déchiré entre fragilité de l’existence et souffle de l’éternité. Ils n’édifient pas un tombeau (...) : ils mettent en avant la vitalité du chanteur et laissent place au triomphe de la voix, au phrasé étrange qui rythme sa parole tout comme à sa force d’invocation extraordinaire.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Ni commentaire ni question ne viennent interférer dans cette rencontre impressionniste. Seuls la musique, les mots de ses chansons ou ceux que Christophe consent à livrer viennent entretenir ce sentiment de proximité que le film installe par la discrétion, le mouvement lent, les frôlements et le flou de la caméra.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Un film comme un puzzle, comme un collage visuel et sonore pour raconter au plus près et au plus juste l’ expérimentateur sans relâche qu’était Christophe, tordant ses chansons comme un sculpteur malaxant la glaise pour tendre vers le sublime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sans voix off ni interview, juste quelques instants de vie, on avance au plus près du chanteur filmé dans son grenier bric à brac, en coulisses ou sur scène. Cette belle simplicité ne produit aucune surprise et guère plus d'émotions que n'en apportent les chansons elles-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
CNews
Un documentaire passionnant et bouleversant.
Franceinfo Culture
"Christophe... définitivement" n'est pas un concert filmé, ce n'est pas non plus une biographie de cinéma. C'est un magnifique film qui rend hommage à un artiste hors des lignes. Un film d'artiste.
Critikat.com
Au-delà de la richesse du matériau documentaire, le film brille par la façon dont il s'empare de la plasticité de ses images numériques, à partir de laquelle il brosse un portrait composite.
Elle
Plus qu'un documentaire, une ode à Christophe.
L'Obs
Les deux plasticiens l’ont suivi dans les coulisses de sa création : les silences immobiles, les clairs-obscurs de mime, les obsessions maniaques, « des moments pour se défaire ». Et chaque chanson devient un film.
Le Parisien
« Christophe… définitivement » annonce qu’après une captation de concert en DVD et déjà plusieurs films plus courts avec lui, Ange Leccia et Dominique Gonzalez-Foerster disent adieu à leur ami de vingt ans, qui s’efface comme un fantôme en costume blanc au château de Versailles. Le chanteur aurait aimé, définitivement.
Les Echos
Autant qu'un document sur un chanteur populaire, « Christophe… définitivement » écrit la perpétuelle frustration des créateurs, les sommets qu'on n'atteindra jamais, les horizons frôlés et sans cesse repoussés. Le portrait d'un grand angoissé, beau et hanté.
Les Fiches du Cinéma
Une plongée fascinante et mélancolique dans l’univers créatif de Christophe. Entre documentaire et œuvre expérimentale, le film d’Ange Leccia et Dominique Gonzalez-Foerster s’envisage comme le bel hommage de deux artistes à un chanteur aimé.
Les Inrockuptibles
Ce que vise le film, c’est une présence. Une présence filmée dans un perpétuel présent (alors que le film brasse plusieurs périodes, plusieurs concerts, mais en effaçant tous les repères chronologiques). Et là tient la réussite un peu magique du film : un sentiment d’être là, tout proche de cet être et ce chanteur merveilleux qu’était Christophe.
Libération
Hommage beau bizarre, le documentaire dresse un portrait intimiste et vibrant du musicien à la faveur de son come-back il y a vingt ans.
Transfuge
[Un] film impeccable et très émouvant.
Télérama
Les plasticiens devenus réalisateurs orchestrent une synthèse progressive. Les bribes deviennent des morceaux concrets, moments de bravoure musicaux sur scène. On accède alors au concert complet, dans toute sa cinégénie.
Cahiers du Cinéma
Gonzalez-Foerster et Leccia s’éloignent (...) d’une recréation warholienne de la star en cherchant surtout à rendre sensible la précarité du présent, déchiré entre fragilité de l’existence et souffle de l’éternité. Ils n’édifient pas un tombeau (...) : ils mettent en avant la vitalité du chanteur et laissent place au triomphe de la voix, au phrasé étrange qui rythme sa parole tout comme à sa force d’invocation extraordinaire.
Le Monde
Ni commentaire ni question ne viennent interférer dans cette rencontre impressionniste. Seuls la musique, les mots de ses chansons ou ceux que Christophe consent à livrer viennent entretenir ce sentiment de proximité que le film installe par la discrétion, le mouvement lent, les frôlements et le flou de la caméra.
Première
Un film comme un puzzle, comme un collage visuel et sonore pour raconter au plus près et au plus juste l’ expérimentateur sans relâche qu’était Christophe, tordant ses chansons comme un sculpteur malaxant la glaise pour tendre vers le sublime.
Le Journal du Dimanche
Sans voix off ni interview, juste quelques instants de vie, on avance au plus près du chanteur filmé dans son grenier bric à brac, en coulisses ou sur scène. Cette belle simplicité ne produit aucune surprise et guère plus d'émotions que n'en apportent les chansons elles-mêmes.