Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Obs
par X.L.
Après son déjà magnifique « Le garçon et le monde », le cinéaste brésilien rehausse encore le curseur de la réussite formelle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
Une merveille de cinéma d'animation et de science-fiction.
Positif
par Bernard Génin
Message écolo donc, qui s’adresse aux enfants sans bêtifier et met les points sur les i dans la scène finale [...]. Le cinéaste, qu’on aurait pu croire un moment tombé dans la joliesse décorative (réelle et magnifique !), prouve en citant presque un plan du Garçon et le Monde – un défilé militaire – qu’il est bien un auteur.
Première
par Sylvestre Picard
Là où un gros studio aurait joué sur les possibilités offertes par les contraires incarnés par les deux petits héros (le Soleil et la Lune, le jour et la nuit, etc.) afin d'en faire une ode à l'amitié, le film parvient à dépasser cette simple dynamique de buddy movie animé pour servir un véritable propos politique, mais oui.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Bénéficiant d’une animation d’une grande fluidité, similaire à celle des Disney des années 1960-1970, Le Secret des Perlims vaut le détour pour ce tour de force technique et visuel, dont le dénouement, moins loquace et explicite, permet d’exprimer toute la vigueur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’originalité vient de l’animation fluide et de la texture des images, véritables explosions de couleurs et qui parfois font penser à des tableaux de peinture.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Fable écolo brésilienne destinée aux plus petits spectateurs, « Le Secret des Perlims » déroule une jolie intrigue, mais un peu complexe pour le public auquel le film est destiné, tandis que son dénouement s’avère sans doute assez rude pour ce même public.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Après le primé Garçon et le monde, le Brésilien Alê Abreu revient avec une fable écolo- poétique sur la protection d’une forêt magique. L’animation et le travail sur les couleurs sont étourdissants, quand le récit presque trop poétique manque un peu de rythme.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Dans une longue première partie hélas convenue, cette association des contraires (l’embrassement des cultures), si elle prend la forme d’un message un peu naïf, est surtout porté par une croyance plastique très forte. Somptueux mélange de 2D, de 3D et d’un travail à l’encre, le film sculpte des bois enchantés comme si Matisse avait voyagé en territoire sylvain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par E.C.
Mêlant aventure et message écologique, cette fable aussi vive que colorée sensibilise intelligemment les plus jeunes (à partir de 6 ans) au changement climatique.
Télérama
par Cécile Mury
Le spectacle est somptueux, les intentions tendres et généreuses, mais il manque peut-être à cette ode multicolore à l’environnement le brin d’étrangeté qui faisait tout le prix du Garçon et le monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Après son déjà magnifique « Le garçon et le monde », le cinéaste brésilien rehausse encore le curseur de la réussite formelle.
Ouest France
Une merveille de cinéma d'animation et de science-fiction.
Positif
Message écolo donc, qui s’adresse aux enfants sans bêtifier et met les points sur les i dans la scène finale [...]. Le cinéaste, qu’on aurait pu croire un moment tombé dans la joliesse décorative (réelle et magnifique !), prouve en citant presque un plan du Garçon et le Monde – un défilé militaire – qu’il est bien un auteur.
Première
Là où un gros studio aurait joué sur les possibilités offertes par les contraires incarnés par les deux petits héros (le Soleil et la Lune, le jour et la nuit, etc.) afin d'en faire une ode à l'amitié, le film parvient à dépasser cette simple dynamique de buddy movie animé pour servir un véritable propos politique, mais oui.
La Croix
Bénéficiant d’une animation d’une grande fluidité, similaire à celle des Disney des années 1960-1970, Le Secret des Perlims vaut le détour pour ce tour de force technique et visuel, dont le dénouement, moins loquace et explicite, permet d’exprimer toute la vigueur.
Le Journal du Dimanche
L’originalité vient de l’animation fluide et de la texture des images, véritables explosions de couleurs et qui parfois font penser à des tableaux de peinture.
Le Parisien
Fable écolo brésilienne destinée aux plus petits spectateurs, « Le Secret des Perlims » déroule une jolie intrigue, mais un peu complexe pour le public auquel le film est destiné, tandis que son dénouement s’avère sans doute assez rude pour ce même public.
Les Fiches du Cinéma
Après le primé Garçon et le monde, le Brésilien Alê Abreu revient avec une fable écolo- poétique sur la protection d’une forêt magique. L’animation et le travail sur les couleurs sont étourdissants, quand le récit presque trop poétique manque un peu de rythme.
Les Inrockuptibles
Dans une longue première partie hélas convenue, cette association des contraires (l’embrassement des cultures), si elle prend la forme d’un message un peu naïf, est surtout porté par une croyance plastique très forte. Somptueux mélange de 2D, de 3D et d’un travail à l’encre, le film sculpte des bois enchantés comme si Matisse avait voyagé en territoire sylvain.
Télé 2 semaines
Mêlant aventure et message écologique, cette fable aussi vive que colorée sensibilise intelligemment les plus jeunes (à partir de 6 ans) au changement climatique.
Télérama
Le spectacle est somptueux, les intentions tendres et généreuses, mais il manque peut-être à cette ode multicolore à l’environnement le brin d’étrangeté qui faisait tout le prix du Garçon et le monde.