Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son premier film, Nehir Tuna évoque les tensions politiques affligeant la Turquie dans la décennie 1990. Une des plus belles révélations du moment.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film inventif en diable.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un magnifique portrait d'adolescent révolté.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Passant d’une superbe cinématographie en noir et blanc à la couleur, pour se mettre formellement dans les pas de l’émancipation de son jeune personnage, merveilleusement incarné par Doğa Karakaş, Yurt, récit d’apprentissage largement autobiographique de Nehir Tuna, saisit avec force le malaise de l’adolescence et le fardeau de l’embrigadement religieux.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Excellente surprise que ce premier long métrage personnel et maîtrisé qui [...] dépeint avec beaucoup de finesse une époque.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Somptueusement filmé dans un noir et blanc qui marque la rétine, « Yurt », histoire d’amitié doublée d’une chronique familiale, revient, avec quelques longueurs mais une belle maîtrise de son sujet, sur les événements qui ont opposé les dirigeants turcs et les dignitaires religieux du pays il y a une trentaine d’années. Le tout personnifié par un remarquable jeune comédien…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Un film très fort sur une problématique plus actuelle que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Nehir Tuna dépeint ses enjeux intimes dans un pays en pleine bataille idéologique. Maîtrisé et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Ne reculant devant aucune tentation stylistique (l’intense noir et blanc de l’image laisse place en cours de film à des couleurs plus éclatantes), cette reconstitution d’une époque aux conséquences encore vivaces impressionne par son énergie et son ampleur sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Dans la filiation de certains cinéastes contemporains comme Andrea Arnold et récemment Charlotte Le Bon, le cinéaste opte surtout pour une approche haptique et sensuelle des affres de son jeune héros pubère [...].
Télérama
par Guillemette Odicino
Un beau récit d’apprentissage et un tableau acide de la Turquie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage prodigieux sur les ravages de l’intégrisme religieux et un portrait tout en nuances des affres de l’adolescence. Ce coup d’essai est un coup de maître !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fiction en noir et blanc, prometteuse, engagée et rageuse, qui manque parfois d’assurance et appesantit son trait d’un symbolisme dispensable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Derrière le contexte politique qui nous rappelle les fortes tensions ayant traversé ce pays – le pensionnat est régulièrement perquisitionné par la police et contesté par des manifestants – Nehir Tuna explore avec beaucoup de sensibilité la quête d’identité d’un adolescent avec ses passages obligés, de la rébellion à l’égard de l’autorité parentale à l’éveil du désir charnel ou amoureux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par V. Cau.
Deux univers très opposés partagent le premier long-métrage du réalisateur turc Nehir Tuna, 38 ans, dont la composition des plans est d’une beauté envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Yannick Vely
Le contexte de la Turquie de la fin des années 1990, entre nationalisme et montée de l’islamisme, et surtout la mise en scène fiévreuse du cinéaste donnent beaucoup de relief à cette histoire que l’on devine autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Malgré quelques scènes fortes dénonçant la brutalité des punitions corporelles infligées aux élèves, l’ensemble est caractérisé par une esthétique lisse (alternation pittoresque entre noir et blanc et couleur) qui dessert son sujet et banalise le film.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Nekourouh
Nehir Tuna déploie dans ce premier film une mise en scène trop rêche, desservie par un scénario qui, à coups de grands contrastes, échoue à exploiter les ambiguïtés de la montée du fondamentalisme religieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Affadissant son propos, Nehir Tuna livre un premier film académique et trop léché où un adolescent subit la tourmente d’une Turquie divisée entre laïcité et religion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Echos
Dans son premier film, Nehir Tuna évoque les tensions politiques affligeant la Turquie dans la décennie 1990. Une des plus belles révélations du moment.
Marianne
Un film inventif en diable.
Ouest France
Un magnifique portrait d'adolescent révolté.
Le Dauphiné Libéré
Passant d’une superbe cinématographie en noir et blanc à la couleur, pour se mettre formellement dans les pas de l’émancipation de son jeune personnage, merveilleusement incarné par Doğa Karakaş, Yurt, récit d’apprentissage largement autobiographique de Nehir Tuna, saisit avec force le malaise de l’adolescence et le fardeau de l’embrigadement religieux.
Le Journal du Dimanche
Excellente surprise que ce premier long métrage personnel et maîtrisé qui [...] dépeint avec beaucoup de finesse une époque.
Le Parisien
Somptueusement filmé dans un noir et blanc qui marque la rétine, « Yurt », histoire d’amitié doublée d’une chronique familiale, revient, avec quelques longueurs mais une belle maîtrise de son sujet, sur les événements qui ont opposé les dirigeants turcs et les dignitaires religieux du pays il y a une trentaine d’années. Le tout personnifié par un remarquable jeune comédien…
Le Point
Un film très fort sur une problématique plus actuelle que jamais.
Les Inrockuptibles
Nehir Tuna dépeint ses enjeux intimes dans un pays en pleine bataille idéologique. Maîtrisé et attachant.
Première
Ne reculant devant aucune tentation stylistique (l’intense noir et blanc de l’image laisse place en cours de film à des couleurs plus éclatantes), cette reconstitution d’une époque aux conséquences encore vivaces impressionne par son énergie et son ampleur sensorielle.
Transfuge
Dans la filiation de certains cinéastes contemporains comme Andrea Arnold et récemment Charlotte Le Bon, le cinéaste opte surtout pour une approche haptique et sensuelle des affres de son jeune héros pubère [...].
Télérama
Un beau récit d’apprentissage et un tableau acide de la Turquie.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage prodigieux sur les ravages de l’intégrisme religieux et un portrait tout en nuances des affres de l’adolescence. Ce coup d’essai est un coup de maître !
L'Obs
Une fiction en noir et blanc, prometteuse, engagée et rageuse, qui manque parfois d’assurance et appesantit son trait d’un symbolisme dispensable.
La Croix
Derrière le contexte politique qui nous rappelle les fortes tensions ayant traversé ce pays – le pensionnat est régulièrement perquisitionné par la police et contesté par des manifestants – Nehir Tuna explore avec beaucoup de sensibilité la quête d’identité d’un adolescent avec ses passages obligés, de la rébellion à l’égard de l’autorité parentale à l’éveil du désir charnel ou amoureux.
Le Monde
Deux univers très opposés partagent le premier long-métrage du réalisateur turc Nehir Tuna, 38 ans, dont la composition des plans est d’une beauté envoûtante.
Paris Match
Le contexte de la Turquie de la fin des années 1990, entre nationalisme et montée de l’islamisme, et surtout la mise en scène fiévreuse du cinéaste donnent beaucoup de relief à cette histoire que l’on devine autobiographique.
Cahiers du Cinéma
Malgré quelques scènes fortes dénonçant la brutalité des punitions corporelles infligées aux élèves, l’ensemble est caractérisé par une esthétique lisse (alternation pittoresque entre noir et blanc et couleur) qui dessert son sujet et banalise le film.
Les Fiches du Cinéma
Nehir Tuna déploie dans ce premier film une mise en scène trop rêche, desservie par un scénario qui, à coups de grands contrastes, échoue à exploiter les ambiguïtés de la montée du fondamentalisme religieux.
Libération
Affadissant son propos, Nehir Tuna livre un premier film académique et trop léché où un adolescent subit la tourmente d’une Turquie divisée entre laïcité et religion.