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Une galerie de personnages dessinés comme des figures de bande dessinée, d'excellents comédiens, des gags à répétition, des effets spéciaux et de nombreuses astuces de mise en scène font de ce film d'un genre hybride une farce burlesque à la fois tendre et sans concessions.
En questionnant la profusion conjointe d’images et de discours uniformisants, Ayouch met le doigt sur un mal qui ne touche pas que la société marocaine : le serpent de la désinformation, tapi sous les atours du divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Surchargé d’effets visuels et de musique, Abdelinho semble confondre mise en scène et clip indigeste. La fable naïve, parfaitement assumée, ne parvient pas non plus à éviter l’écueil d’une mièvrerie confondante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
À trop vouloir confronter les mœurs de ces deux cultures, Ayouch tombe dans un antagonisme caricatural au cœur d'une intrigue façon télénovela mal ficelée qui ne permet jamais à cette comédie légère et colorée de se hisser à la hauteur de la satire sociale ambitionnée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Une galerie de personnages dessinés comme des figures de bande dessinée, d'excellents comédiens, des gags à répétition, des effets spéciaux et de nombreuses astuces de mise en scène font de ce film d'un genre hybride une farce burlesque à la fois tendre et sans concessions.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie drôle et intelligente sur un sujet très actuel.
Critikat.com
En questionnant la profusion conjointe d’images et de discours uniformisants, Ayouch met le doigt sur un mal qui ne touche pas que la société marocaine : le serpent de la désinformation, tapi sous les atours du divertissement.
Le Monde
Surchargé d’effets visuels et de musique, Abdelinho semble confondre mise en scène et clip indigeste. La fable naïve, parfaitement assumée, ne parvient pas non plus à éviter l’écueil d’une mièvrerie confondante.
Première
À trop vouloir confronter les mœurs de ces deux cultures, Ayouch tombe dans un antagonisme caricatural au cœur d'une intrigue façon télénovela mal ficelée qui ne permet jamais à cette comédie légère et colorée de se hisser à la hauteur de la satire sociale ambitionnée.