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FaRem
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9 557 critiques
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2,0
Publiée le 20 novembre 2024
Après avoir déclaré qu'il prendrait sa retraite des films d'action à court terme, "Absolution" marque peut-être un tournant dans la carrière de Liam Neeson. En incarnant un homme de main, on pouvait logiquement s'attendre à un nouveau film d'action de sa part, mais ce n'est pas le cas. S'il a donné plus de coups qu'il en a reçus, son personnage commence à sentir le poids des années. Après une terrible nouvelle, il décide de se rapprocher de sa famille. Pas de bastons ou de courses-poursuites (ou très peu), on suit un homme en quête de rachat qui se demande ce qu'il va laisser derrière lui... Une histoire d'héritage (pas forcément financier) dans un drame mollasson et pas vraiment passionnant. Les différentes relations qui se tissent sont fades et l'ensemble du casting n'est pas à la hauteur de Liam Neeson. Bref, ces retrouvailles entre ce dernier et Hans Petter Moland donnent un film long, lent et fastidieux...
Le film Absolution (2024), réalisé par Hans Petter Moland, offre une variation mélancolique et introspective du rôle de tueur vieillissant que Liam Neeson maîtrise depuis des années. L’histoire, centrée sur un homme marqué par la maladie et hanté par ses regrets, explore sa quête de rédemption à travers des relations brisées et des affrontements violents. Bien que la performance de Neeson soit émotive et captivante, le film souffre d’un ton excessivement sombre et d’un manque d’équilibre narratif, rendant l’expérience parfois pesante. Quelques scènes bien orchestrées ravivent l’intérêt, mais l’ensemble manque de fraîcheur pour véritablement marquer. Une œuvre correcte mais oubliable. Note : 2,5/5.
Pas si fastidieux que ça, car il y a de belles digressions qui épicent l'histoire de ce ténébreux gangster vieillissant : les délicats échanges avec son petit-fils, cette humanité insoupçonnée qui s'attachera à une belle black et qui tentera d'aider une fille de joie, cette prise de conscience de sa maladie inguérissable,... Et puis il y a ces séquences surprenantes poétiques, avec ces rêves délirants faisant apparaître son père et la fille de joie... Mais ne soyez pas surpris, il y aura quelques fusillades ou poignardages.... c'est du NEESON tout de même!
Liam Neeson veut s'éloigner des films d'actions, rôles auxquels il était cantonné depuis Taken, mais malheureusement tout comme ses derniers choix en terme d'action ce film est assez anecdotique. Ancien boxeur reconvertie en homme de main, Thug commence à voir sa santé décliné et donc reprend contacte avec sa famille et tente de faire amende honorable autour de lui dans un environnement pas toujours facile. Le soucis est que les personnages sont pas vraiment intéressants, peu développés, et le film souffre énormément de longueurs, le problème de rythme plombe littéralement le récit. Un film de plus dans la grande carrière de Neeson qui tombera sûrement aux oubliettes.
Vraiment déçue, j'aime pourtant beaucoup Liam Neeson mais c'est vraiment pas son meilleur film. J'aurais aimé plus d'action, plus d'histoire. Les autres acteurs sont inintéressants. Liam n'est pas mis en valeur, dommage.
Très bon film, les personnages sont très travaillés, leurs forces et leurs faiblesses, ce qui les rend très humain. On plonge dans un univers glauque du crime, sans les clichés habituels, et on ressent une Amérique fatiguée. Le scénario est assez classique mais on se laisse tout de même porté.
Liam Neelson incarne un tueur dans son âge et fin de carrière … il a pris cher, désormais il doit gérer cette fin de carrière dans ces deux plans. Il tient la route dans ce rôle, néanmoins le scénario anémique ne rend pas ce film passionnant. Passable mais pas ce que l on a vu de pire pour cet acteur.
Des moments magiques et suspendus dans ce film qui pourtant évoque des réalités crues et un scénario simple qui pourtant est très bien amené et finalisé. On s'attend à du Liam Neeson qui se venge ou joue le héros mais dans ce cas c'est un anti-héros attachant et repoussant à la fois. Cela devient rare que mon attention soit prise du début à la fin mais c'est pourtant vrai . J'ai aimé et je pourrais le revoir .
on a beau apprécier Liam Neeson, c'est long.... Son rôle : l'histoire du homme de main qui a trente an de métier à qui on ne la fait pas. Il a 73 ans, tente d'en paraitre 65 et à l'air d'en avoir 80. Mais attention, c'est un thriller "psychologique". Le "psychologique" doit être l'alibi pour l'ennui. Le film fait près de deux heures et on attend. Et on attend encore qu'il se passe quelque chose. Jusqu'au générique de fin où l'on se rend compte qu'il ne se passe... rien. J'ai lutté pour ne pas m'endormir. J'aurais dû me laisser aller.
L'industrie du cinéma a décidé que Liam Neeson serait une grosse brute capable de terrasser n'importe quel adversaire jusqu'à ses 90 ans... Bon ici c'est un homme usé atteint d'une maladie du cerveau ("syndrome du boxeur") qu'on nous présente mais avec "de beaux restes". Un peu de recherche de rédemption par dessus et l'histoire est écrite. C'est assez faible.
Vu Absolution avec Liam Neeson Franchement c'est pas s'qu'il a fait de mieux c'est Mou du genou, il traîne sa carcasse tout le long du Film se demandant même squ'il fou ici. Un Drame Mollasson qui passionne pas des masses et c'est bien Dommage à vite Oublier ⭐️⭐️
Tout cela se laisse regarder. Liam Neeson retrouve un jeu nuancé bienvenu . Pour le reste c'est archi convenu . Sans surprise et oubliable . Dans le même veine le western contemporain en Irlande , avec Neeson toujours, " Saints and Sinners", est bien meilleur .
film profond agréable acteur au top et qui change des merdes de films d action tous prévisibles ici on pense a ça au debut le vieux garde du corps qui va se venger de quelque chose et nous en mettre plein la vue et bien non on est dans tout autre chose c est le crepuscule qui nous guette tous c est donc universel et profondement romantique on ne peut s empêcher d évoquer gran torino le film référence de clint eastwood et puis aussi l esprit du film drive incontournable aussi mais vous avez vu je n ai pas dit de quoi ca parle vous le saurez par vous même je ne m en rapelle plus en fait