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    Hiver à Sokcho
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    3,9
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    34 critiques spectateurs

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    DK_
    DK_

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    Film intimiste tourné en Corée, celui-ci nous offre une histoire touchant à la quête d'identité d'un personnage perdu entre deux cultures, avec de très beaux plans et une très belle direction d'acteur. Roshdy Zem y est impeccable dans son rôle de tendre bourru, cependant la révélation du film est belle et bien Bella Kim, dans un jeu touchant, puissant, tout en regard et en subtilité, crevant littéralement l'écran dans l'incarnation de ce personnage.
    Annie Versere
    Annie Versere

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    Magnifique premier film tout en délicatesse porté par le jeu de Bella Kim et Rodschy Zem.
    Quand un étranger bouleverse la vie d'une jeune femme en quête d'identité.
    Un voyage aux confins de la Corée qui aborde également subtilement des sujets de société
    Coup de cœur de ce début d'année
    AS69
    AS69

    6 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    Un film précis et délicat sur le choc culturel entre la France et la Corée magnifiquement porté par des excellents comédiens. La lumière, les décors sont fins, légers et sensibles. La musique accompagne tout en délicatesse les personnages.
    NGUYEN ARNO
    NGUYEN ARNO

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    Un film qui brille par son élégance et sa poésie. A travers un Sokcho qu'on a peu l'habitude de connaître.
    C'est un veritable voyage émotionnel que nous offre ce premier film de Koya Kamura avec deux interpretes de talents que sont Bella Kim et Roschdy Zem.
    Bravo et merci de nous offrir à l'écran un si beau film. La photographie est incroyable également ❤️
    Tonionio
    Tonionio

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2025
    Un film doux et enveloppant, d'une tendresse folle pour ses personnages... Koya Kamura dresse un portrait tout en finesse d'une jeunesse qui se cherche dans son âme et dans sa chair, porté par la performance de Bella Kim et un Roschdy Zem comme toujours parfait !
    Parisianmuslimboy
    Parisianmuslimboy

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2025
    vu aujourd'hui en AP aux halles, film d'une grande qualité visuelle, le contraste entre les jeux de lumière naturelle et les intermèdes graphiques offrent une remarquable mise en abîme de la psychologie des personnages, l'histoire, tiré d'un roman révèle la quête de soi d'une jeune fille ( bella Kim confondante de naturel) à la recherche de son identité autant biologique que géographique, la présence habité de l'immense acteur Roshdy Zem à la silhouette de Montand, le caractère bourru de Ventura et la force tranquille d'un gabin finit de donner à ce film tourné aux confins du monde un caractère so frenchy!
    bruno panier
    bruno panier

    7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2025
    Ce film nous fait découvrir le mode de vie à la koreene et la rencontre entre une jeune femme à la recherche de ses racines paternelles et d'un artiste Français qui l'a subjugue.
    paclo
    paclo

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2025
    film d'une beauté sensuelle, très graphique. Belle découverte de la culture Sud Coréenne. Vu lors de la soirée surprise du 6 janvier.
    Direct-actu.fr
    Direct-actu.fr

    248 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 janvier 2025
    Hiver à Sokcho : Un voyage intérieur entre deux cultures

    Dans Hiver à Sokcho, Koya Kamura, réalisateur franco-japonais, adapte avec une sensibilité remarquable le roman éponyme d’Elisa Shua Dusapin. Ce premier long-métrage s’impose comme une œuvre subtile et envoûtante, explorant les thèmes universels de l’identité, de la solitude et des relations interculturelles.

    Un décor propice à l’introspection
    Le film prend place à Sokcho, une ville côtière de Corée du Sud, proche de la frontière nord-coréenne. En hiver, cette station balnéaire devient presque fantomatique, dépouillée de ses touristes et enveloppée dans un calme glacial. Ce cadre austère reflète à la perfection l’état émotionnel de Soo-Ha, une jeune femme de 23 ans en quête de sens. Interprétée avec une grande justesse par Bella Kim, Soo-Ha est franco-coréenne et travaille dans une pension modeste, où l’arrivée de Yan Kerrand, un auteur de bandes dessinées français (Roschdy Zem), vient bouleverser son quotidien.

    Une réflexion sur l’identité et la filiation
    Soo-Ha est hantée par l’absence d’un père français qu’elle n’a jamais connu, et la venue de Yan agit comme un déclencheur. Leur relation, marquée par des barrières linguistiques et culturelles, n’est pas une romance conventionnelle. C’est un dialogue silencieux, empreint de malentendus et de non-dits, où chaque tentative de connexion résonne profondément avec les questions identitaires de Soo-Ha.

    À travers ce prisme, Hiver à Sokcho explore les défis de l’identité métissée. Soo-Ha oscille entre ses racines coréennes, incarnées par sa mère marchande de poissons, et son désir de comprendre sa part française, représentée par Yan. La métaphore du jazz, omniprésent dans la bande-son, illustre parfaitement cette dynamique. Comme dans un morceau de jazz, les échanges entre les personnages sont faits d’improvisation, d’hésitation et de recherche d’harmonie.

    Un contraste culturel saisissant
    Le film se déploie également comme une réflexion sur les relations interculturelles. Yan Kerrand, incarné avec sobriété par Roschdy Zem, apporte une vision occidentale brute et parfois désinvolte dans cet environnement coréen empreint de traditions. Ce choc des cultures est habilement mis en lumière, notamment par des détails comme les choix alimentaires ou les attitudes contrastées face aux conventions sociales.

    La dynamique entre Soo-Ha et Yan, bien que teintée de méfiance, devient une opportunité pour chacun d’explorer de nouvelles facettes de soi-même. Leurs interactions traduisent une quête mutuelle d’appartenance et de compréhension, un thème qui trouve un écho particulier dans notre monde globalisé.

    Un parallèle historique et symbolique
    Au-delà de l’histoire personnelle de Soo-Ha, le film évoque subtilement les divisions de la Corée. La quête de la jeune femme pour retrouver son père français fait écho à la douleur des familles séparées par la frontière nord-coréenne. Ce parallèle historique confère une profondeur supplémentaire à l’intrigue, rendant la quête identitaire de Soo-Ha universelle et poignante.

    Un duo captivant d’acteurs
    Bella Kim, dans son premier rôle au cinéma, livre une performance nuancée, incarnant avec grâce les dilemmes intérieurs de son personnage. Roschdy Zem, quant à lui, se réinvente dans le rôle de Yan Kerrand, un artiste bourru et taciturne, créant un contraste saisissant avec la fragilité de Soo-Ha.

    Une œuvre empreinte de poésie visuelle
    La réalisation de Koya Kamura est à la fois sobre et poétique. Les plans larges des paysages enneigés et les scènes intimes dans la pension participent à une atmosphère mélancolique qui enveloppe le spectateur. La photographie sublime de Sokcho en hiver devient presque un personnage à part entière, miroir des âmes tourmentées qui s’y croisent.

    Hiver à Sokcho est bien plus qu’un film sur les liens entre la France et la Corée. C’est une méditation sur la complexité des identités hybrides, un hommage aux relations humaines qui transcendent les frontières. Koya Kamura signe ici un premier long-métrage remarquable, offrant une œuvre universelle et profondément émouvante.
    vince2505
    vince2505

    8 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2025
    Je ne dirais qu'une chose, avant la sortie du film que j'ai très envie de découvrir, le roman est d'une délicieuse poésie qui nous berce d'émotions délicates. Un bijou ...
    velocio
    velocio

    1 334 abonnés 3 171 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2025
    Lui même de mère française et de père japonais, le réalisateur Koya Kamura avoue ne pas se sentir complètement français en France et, encore moins, complètement japonais au Japon et il a souhaité interroger la notion d’identité dans un film. Comment est définie l’identité d’une personne ? Par la langue qu’elle pratique ? Par son héritage culturel ? Par son apparence physique ? Un peu à la peine dans l’écriture de ce premier long métrage, la lecture du roman d’Elisa Shua Dusapin, qui parlait d’identité et de métissage, lui a retiré une épine du pied, et il a très vite décidé d’en faire l’adaptation cinématographique. Toutefois, quand on adapte un roman au cinéma, peuvent surgir certaines difficultés. Pour Koya Kamura, la difficulté principale résidait dans le choix de la façon de retranscrire à l’écran les explications fournies par des mots de ce qui se passait dans la tête de Soo-Ha. Se refusant l’utilisation de la voix off qui, pour lui, impliquait que l’émotion ait déjà été analysée alors qu’il la souhaitait brute de décoffrage, il a fini par opter pour l’utilisation d’interludes d’animation réalisés par Agnès Patron. Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-express-hiver-a-sokcho/ Film vu aux Rencontres cinématographiques de Cannes
    LCDC YT
    LCDC YT

    94 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2025
    Émouvant quoique simple, le film de KAMURA reste un délicat moment d'émotion à fleur de peau, assez juste dans sa peinture de l'humain en quête de repères, et pudique comme nécessaire dans sa mise en scène
    Clémentine
    Clémentine

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2024
    Vu en avant première au CinéRoman à Nice, Hiver à Sokcho est un film poétique et très parlant. À aller voir !
    dparmen1
    dparmen1

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2024
    Un hiver à Soksho. Vu en AP à Aix-en-Proence, avec le réalisateur Kaya Kamura, inconnu vu que c'est son premier long métrage, et Roschdy Zem himself.
    Premier long métrage, premier rôle pour l'actrice qui vient du mannequinat je crois, et malgré cela (ou grâce à cela, allez savoir) une impression de maitrise assez étonnante.
    Bien sûr on est en Corée et le réalisateur est franco-japonais, donc ça reste assez feutré, mais je conseille.
    capirex
    capirex

    102 abonnés 346 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2024
    Intéressant film du réalisateur Franco-Japonais Koya Kamura adapté du Roman éponyme écrit par Elisa Shua Dusapin !
    Le film aborde la question de l'identité et du métissage et bénéficie d'interludes sous forme d'animation pour exprimer l'imaginaire et les émotions de l'héroïne du film qu'interprète avec prestance la Coréenne , originaire de Sokcho par son père , Bella Kim !
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