Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
De chanteuse importante, compositrice et musicienne multirécompensée aux Victoires de la musique, Claire Pommet alias Pomme, 27 ans, passe à actrice débutante. Elle crève l’écran dans La Vénus d’argent.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Par un langage visuel fort - la musique, la lumière, la réalisation -, des composantes narratives habilement structurées - les glissements subtils d’un monde à l’autre -, la réalisatrice Héléna Klotz s’extrait des chausse-trappes de son sujet, en donnant à ce film d’apprentissage et d’émancipation sociale un genre, celui d’un film noir contemporain, élégant et convaincant, tout en tension paranoïaque et atmosphère sophistiquée.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Claire Pommet est une révélation dans ce film rondement mené par Héléna Klotz, tant dans la mise en scène qu’à l’écriture.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Récit d'émancipation entre deux mondes d'hommes, ce beau film trouve son originalité dans une forme de romantisation de l'argent peu vue à l'écran. On ne peut que se laisser envoûter par son esthétique soignée, qui donne à chaque plan son éclat céleste.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Transfuge
par Serge Kaganski
Mais au-delà des ambiguïtés politiques de ce conte de chevalerie moderne, il faut saluer sa totale réussite esthétique, tant visuellement que soniquement.
CNews
par La rédaction
Brillamment interprété et jouant (trop ?) avec les effets de style, « La vénus d’argent » surfe avec le thriller et aborde la question du déterminisme social et de l’identité de genre.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
S’il est bien question de récit d’aprentissage, d’ascension sociale et de transgression, la vision quasi dystopique d’un monde du travail déshumanisé [...] finissent par interroger. En quoi ce monde de la finance [...] est-il si tentant ?
Franceinfo Culture
par Neil Senot
"La Vénus d'argent" reprend les codes des récits de transfuges de classe, veut aborder la difficulté à se faire une place quand on ne baigne pas dans le milieu. Le film réussit à montrer, notamment à travers des dialogues que la réalisatrice a souhaité travailler de manière presque documentaire, un monde de la finance virulent et acerbe.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par S. G.
Le film brasse les sujets avec délicatesse – genre, consentement, trahisons, amour-amitié, réparation –, fait le choix du sensoriel et magnifie ses acteurs : Claire Pommet, premier rôle à l’écran, à la retenue impeccable, Niels Schneider, complexe et touchant, mais aussi Sofiane Zermani dont la présence électrise chaque séquence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Le film revisite le transfuge de classe à travers ce personnage mutant, qui ne crie jamais victoire et se sent prêt à observer la chute (en amour, en travail) comme une donnée en soi, potentiellement inévitable. Cette lucidité installe une haute tension, empêchant ce film léché de se regarder sur papier glacé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
Si le scénario finit par flancher, la mise en scène brille, comme Pomme et Anna Mouglalis.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En dépit d’un sujet parfaitement original, notamment orienté sur la question du genre, le film n’a pas le souffle espéré.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
« La Vénus d’argent » multiplie les séquences contemplatives dans lesquelles Jeanne traverse la ville, mais on reste vraiment sur sa faim. Avec l’impression de ne pas avoir compris grand-chose, à part le titre du film, qui fait référence à la figure de proue des Rolls-Royce.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
“La Venus d’argent”, film travaillé par la question de la mutation et du rafistolage, se trouve pourtant paralysé par un désir de tout assembler, de tout regrouper dans une même image. De ses belles ambitions, le film ne laisse alors que l’effleurement et la confusion de ses intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Héléna Klotz plonge la chanteuse et comédienne Claire Pommet dans un thriller sur la finance, prisonnier d’un esprit sentencieux et d’une joliesse de surface.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Cheze
Héléna Klotz raconte ce combat en alignant trop de raccourcis manichéens pour convaincre. Reste la révélation d'un e grande comédienne : Claire Pommet.
Première
par Thierry Chèze
Le mélange d’onirisme et de réalisme qui fonctionne à l’image ne se déploie jamais dans les dialogues ou les situations qui frisent souvent le ridicule involontaire. Mais La Vénus d’Argent a un atout majeur. L’apparition d’une actrice comme un surgissement. La chanteuse Pomme qui fait ses débuts sous son vrai nom et illumine chaque scène de son jeu où limpidité et intensité ne font qu’un.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
De chanteuse importante, compositrice et musicienne multirécompensée aux Victoires de la musique, Claire Pommet alias Pomme, 27 ans, passe à actrice débutante. Elle crève l’écran dans La Vénus d’argent.
Le Dauphiné Libéré
Par un langage visuel fort - la musique, la lumière, la réalisation -, des composantes narratives habilement structurées - les glissements subtils d’un monde à l’autre -, la réalisatrice Héléna Klotz s’extrait des chausse-trappes de son sujet, en donnant à ce film d’apprentissage et d’émancipation sociale un genre, celui d’un film noir contemporain, élégant et convaincant, tout en tension paranoïaque et atmosphère sophistiquée.
Les Fiches du Cinéma
Claire Pommet est une révélation dans ce film rondement mené par Héléna Klotz, tant dans la mise en scène qu’à l’écriture.
Marie Claire
Récit d'émancipation entre deux mondes d'hommes, ce beau film trouve son originalité dans une forme de romantisation de l'argent peu vue à l'écran. On ne peut que se laisser envoûter par son esthétique soignée, qui donne à chaque plan son éclat céleste.
Transfuge
Mais au-delà des ambiguïtés politiques de ce conte de chevalerie moderne, il faut saluer sa totale réussite esthétique, tant visuellement que soniquement.
CNews
Brillamment interprété et jouant (trop ?) avec les effets de style, « La vénus d’argent » surfe avec le thriller et aborde la question du déterminisme social et de l’identité de genre.
Cahiers du Cinéma
S’il est bien question de récit d’aprentissage, d’ascension sociale et de transgression, la vision quasi dystopique d’un monde du travail déshumanisé [...] finissent par interroger. En quoi ce monde de la finance [...] est-il si tentant ?
Franceinfo Culture
"La Vénus d'argent" reprend les codes des récits de transfuges de classe, veut aborder la difficulté à se faire une place quand on ne baigne pas dans le milieu. Le film réussit à montrer, notamment à travers des dialogues que la réalisatrice a souhaité travailler de manière presque documentaire, un monde de la finance virulent et acerbe.
L'Obs
Le film brasse les sujets avec délicatesse – genre, consentement, trahisons, amour-amitié, réparation –, fait le choix du sensoriel et magnifie ses acteurs : Claire Pommet, premier rôle à l’écran, à la retenue impeccable, Niels Schneider, complexe et touchant, mais aussi Sofiane Zermani dont la présence électrise chaque séquence.
Le Monde
Le film revisite le transfuge de classe à travers ce personnage mutant, qui ne crie jamais victoire et se sent prêt à observer la chute (en amour, en travail) comme une donnée en soi, potentiellement inévitable. Cette lucidité installe une haute tension, empêchant ce film léché de se regarder sur papier glacé.
Télérama
Si le scénario finit par flancher, la mise en scène brille, comme Pomme et Anna Mouglalis.
aVoir-aLire.com
En dépit d’un sujet parfaitement original, notamment orienté sur la question du genre, le film n’a pas le souffle espéré.
Le Parisien
« La Vénus d’argent » multiplie les séquences contemplatives dans lesquelles Jeanne traverse la ville, mais on reste vraiment sur sa faim. Avec l’impression de ne pas avoir compris grand-chose, à part le titre du film, qui fait référence à la figure de proue des Rolls-Royce.
Les Inrockuptibles
“La Venus d’argent”, film travaillé par la question de la mutation et du rafistolage, se trouve pourtant paralysé par un désir de tout assembler, de tout regrouper dans une même image. De ses belles ambitions, le film ne laisse alors que l’effleurement et la confusion de ses intentions.
Libération
Héléna Klotz plonge la chanteuse et comédienne Claire Pommet dans un thriller sur la finance, prisonnier d’un esprit sentencieux et d’une joliesse de surface.
Ouest France
Héléna Klotz raconte ce combat en alignant trop de raccourcis manichéens pour convaincre. Reste la révélation d'un e grande comédienne : Claire Pommet.
Première
Le mélange d’onirisme et de réalisme qui fonctionne à l’image ne se déploie jamais dans les dialogues ou les situations qui frisent souvent le ridicule involontaire. Mais La Vénus d’Argent a un atout majeur. L’apparition d’une actrice comme un surgissement. La chanteuse Pomme qui fait ses débuts sous son vrai nom et illumine chaque scène de son jeu où limpidité et intensité ne font qu’un.