Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
De cette compétition véridique, le cinéaste transalpin tire d’abord une savoureuse tragi-comédie pince-sans-rire sur fond de rivalité phallique. En revanche, la seconde moitié, plus « mécanique » dans tous les sens du terme, risque de dérouter les néophytes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Valérie Beck
Mais au bout d'un moment, le film traîne en longueur et tourne un peu en rond, faute de véritable enjeu dramatique. Mieux vaut s'y connaître aussi dans ce sport mécanique pour bien saisir tous les enjeux des courses qui se succèdent. On s'attache par contre au comédien Riccardo Scamarcio.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Même les non-initiés au rallye trouveront leur compte dans ce film.
Télérama
par Hélène Marzolf
Pas besoin d’être accro aux bagnoles pour apprécier le spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Il faut en avoir sous la pédale pour filmer les voitures de course lancées à vive allure sur un circuit, à l’instar d’un Ron Howard (Rush) ou d’un James Mangold (Le Mans 66). Stefano Mordini ne supporte pas la comparaison avec sa mise en scène sans relief, son scénario confus et son rythme en dents de scie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Mal écrit, mal réalisé, pas très bien joué, plutôt mou, le film a également le défaut de focaliser sur un micro-évènement, cette rivalité très éphémère remportée une année presque par miracle par Lancia. À la déception s’ajoute donc le sentiment d’avoir assisté à un spectacle bien inutile…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Sans une contextualisation d'époque ou une réalisation vraiment ambitieuse pour transcender son sujet, cette chronique du bitume semble donc en sous-régime permanent. Au générique de fin, elle s'efface aussi rapidement de nos souvenirs qu'une Lancia dans le rétroviseur d'une Formule 1 lancée plein pot.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Guère passionnant, le film échoue à se fixer un projet de mise en scène, autant qu’à justifier ses choix de récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
On pouvait faire bien des reproches à Barbie, au moins Greta Gerwig n’était-elle pas dupe de l’imaginaire véhiculé par son héroïne. Stefano Mordini, lui, joue aux petites voitures comme s’il n’y avait ni lendemain, ni rapports du Giec.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le duel des constructeurs automobiles paresse: sous son moteur, quelque chose qui s'apparente plus à une forme de reportage.
Libération
par Camille Nevers
Sans rythme ni prise de risques, le film de Stefano Mordini sur une rivalité entre écuries lors du championnat du monde des rallyes de 1983 se regarde comme une pub particulièrement fade.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Bilan : 93 minutes d’un ennui abyssal.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
De cette compétition véridique, le cinéaste transalpin tire d’abord une savoureuse tragi-comédie pince-sans-rire sur fond de rivalité phallique. En revanche, la seconde moitié, plus « mécanique » dans tous les sens du terme, risque de dérouter les néophytes.
Le Figaro
Mais au bout d'un moment, le film traîne en longueur et tourne un peu en rond, faute de véritable enjeu dramatique. Mieux vaut s'y connaître aussi dans ce sport mécanique pour bien saisir tous les enjeux des courses qui se succèdent. On s'attache par contre au comédien Riccardo Scamarcio.
Télé Loisirs
Même les non-initiés au rallye trouveront leur compte dans ce film.
Télérama
Pas besoin d’être accro aux bagnoles pour apprécier le spectacle.
Le Journal du Dimanche
Il faut en avoir sous la pédale pour filmer les voitures de course lancées à vive allure sur un circuit, à l’instar d’un Ron Howard (Rush) ou d’un James Mangold (Le Mans 66). Stefano Mordini ne supporte pas la comparaison avec sa mise en scène sans relief, son scénario confus et son rythme en dents de scie.
Le Parisien
Mal écrit, mal réalisé, pas très bien joué, plutôt mou, le film a également le défaut de focaliser sur un micro-évènement, cette rivalité très éphémère remportée une année presque par miracle par Lancia. À la déception s’ajoute donc le sentiment d’avoir assisté à un spectacle bien inutile…
Le Point
Sans une contextualisation d'époque ou une réalisation vraiment ambitieuse pour transcender son sujet, cette chronique du bitume semble donc en sous-régime permanent. Au générique de fin, elle s'efface aussi rapidement de nos souvenirs qu'une Lancia dans le rétroviseur d'une Formule 1 lancée plein pot.
Les Fiches du Cinéma
Guère passionnant, le film échoue à se fixer un projet de mise en scène, autant qu’à justifier ses choix de récit.
Cahiers du Cinéma
On pouvait faire bien des reproches à Barbie, au moins Greta Gerwig n’était-elle pas dupe de l’imaginaire véhiculé par son héroïne. Stefano Mordini, lui, joue aux petites voitures comme s’il n’y avait ni lendemain, ni rapports du Giec.
Le Dauphiné Libéré
Le duel des constructeurs automobiles paresse: sous son moteur, quelque chose qui s'apparente plus à une forme de reportage.
Libération
Sans rythme ni prise de risques, le film de Stefano Mordini sur une rivalité entre écuries lors du championnat du monde des rallyes de 1983 se regarde comme une pub particulièrement fade.
Première
Bilan : 93 minutes d’un ennui abyssal.