Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
Un thriller parodique aux personnages follement attachants.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
20 Minutes
par Caroline Vié
Un récit aussi amusant que dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
Shane Atkinson [...] réussit surtout le pari de nous faire rire de la tragédie des mœurs américaines, tout en distillant une leçon de vie sur la façon dont ce risible individualisme efface dangereusement les frontières entre bien et mal.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Figaro
par Constance Jamet
Shane Atkinson est humble disciple des frères Coen.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Après une scène d’ouverture jubilatoire, on est happé par ce récit irrésistible, qui manie un humour noir savoureux et ne connaît aucune baisse de régime. Porté par l’excellence de l’interprétation, John Magaro (First Cow, Past Lives) en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Si le rythme flanche parfois, l’écriture et la mise en scène de S. Atkinson cultivent un certain goût pour le décalage. Un premier film prometteur.
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Tout est décuplé car tout le monde se connaît et se croise dans ce territoire fermé dont on explore chaque recoin et où circulent bastons, meurtres et folies.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Un premier film drôle et mouvementé, parfaitement écrit et mis en scène.
Sud Ouest
par Cédric Coppola
La prestation inspirée des comédiens, essentiellement des seconds couteaux du cinéma américain, ainsi que la volonté de s’intéresser de près à des loosers magnifiques, que l’on voit peu sur les écrans, font souffler un air de fraîcheur sur ce film indépendant, signé par un réalisateur qui devra affirmer son style à l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Un thriller truffé d’humour noir totalement réussi et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par par Hélène Boons
Tout cela pourrait se dérouler en 1990 comme en 2010 et donner lieu à une série sans bouleversement majeur tant LaRoy forme un territoire atemporel, extensible et rassurant. Les stables types comiques qui le peuplent, aussi sympathiques qu’ils soient, interdisent toute irruption du temps présent et des fractures politiques qu’il induit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Portrait acide d'une Amérique où les règles sociales sont aussi détournées que des routes de campagne, où l'on ne peut faire confiance à personne, cette comédie noire irrésistible décrit un monde impitoyable.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le réalisateur, Shane Atkinson, n’atteint pas toujours sa cible faute de personnalité, mais c’est son premier long-métrage. Et rien que pour son attachement aux losers qui ont encore des étoiles dans les yeux et pour la résurrection efficace d’un genre qu’on croyait disparu du grand écran, enterré par les séries télé, le détour par LaRoy (Texas) est conseillé aux amateurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
C’est par les portraits de ses deux antihéros et leur humanité irréductible que LaRoy fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Descendant doué des frères Coen, Shane Atkinson floute les lignes entre le comique et le macabre, sur un scénario fun de farce folle, à l'humour noir, absurde, délicieux.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Heureux lauréat du Grand Prix et du Prix du public lors du dernier Festival du film américain de Deauville, « LaRoy », joliment réalisé et interprété, ne dépasse cependant pas le stade de polar décalé à l’intrigue divertissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Un petit Fargo sympa au Texas.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Frédéric Foubert
John Magaro fait très bien le William H. Macy de poche, Steve Zahn s’éclate en détective à Stetson et bolo tie trop heureux d’être tombé sur l’enquête de sa vie, et Dylan Baker (le pédophile de Happiness) se venge de tous les rôles de sale type qu’il aurait pu jouer chez les Coen si Steve Buscemi ne lui avait pas grillé la politesse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par M.L.
L'histoire de ce mari trompé, devenu tueur à gages malgré lui, ne parvient jamais vraiment à captiver le spectateur.
Télérama
par Yohan Haddad
Une épatante comédie noire, sous l’influence manifeste des frères Coen.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J.-F. R.
Le premier long-métrage de Shane Atkinson est grinçant, drôle, cruel, parfois hilarant. Sans doute est-il un peu trop prisonnier de sa volonté de rendre hommage au cinéma des frères Coen, ce qui implique un surplomb sur les protagonistes, tous, ou presque, réduits à des caricatures de ploucs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Marie Claire
Un thriller parodique aux personnages follement attachants.
20 Minutes
Un récit aussi amusant que dérangeant.
Culturopoing.com
Shane Atkinson [...] réussit surtout le pari de nous faire rire de la tragédie des mœurs américaines, tout en distillant une leçon de vie sur la façon dont ce risible individualisme efface dangereusement les frontières entre bien et mal.
Le Figaro
Shane Atkinson est humble disciple des frères Coen.
Le Journal du Dimanche
Après une scène d’ouverture jubilatoire, on est happé par ce récit irrésistible, qui manie un humour noir savoureux et ne connaît aucune baisse de régime. Porté par l’excellence de l’interprétation, John Magaro (First Cow, Past Lives) en tête.
Les Fiches du Cinéma
Si le rythme flanche parfois, l’écriture et la mise en scène de S. Atkinson cultivent un certain goût pour le décalage. Un premier film prometteur.
Les Inrockuptibles
Tout est décuplé car tout le monde se connaît et se croise dans ce territoire fermé dont on explore chaque recoin et où circulent bastons, meurtres et folies.
Ouest France
Un premier film drôle et mouvementé, parfaitement écrit et mis en scène.
Sud Ouest
La prestation inspirée des comédiens, essentiellement des seconds couteaux du cinéma américain, ainsi que la volonté de s’intéresser de près à des loosers magnifiques, que l’on voit peu sur les écrans, font souffler un air de fraîcheur sur ce film indépendant, signé par un réalisateur qui devra affirmer son style à l’avenir.
aVoir-aLire.com
Un thriller truffé d’humour noir totalement réussi et réjouissant.
Cahiers du Cinéma
Tout cela pourrait se dérouler en 1990 comme en 2010 et donner lieu à une série sans bouleversement majeur tant LaRoy forme un territoire atemporel, extensible et rassurant. Les stables types comiques qui le peuplent, aussi sympathiques qu’ils soient, interdisent toute irruption du temps présent et des fractures politiques qu’il induit.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Portrait acide d'une Amérique où les règles sociales sont aussi détournées que des routes de campagne, où l'on ne peut faire confiance à personne, cette comédie noire irrésistible décrit un monde impitoyable.
L'Obs
Le réalisateur, Shane Atkinson, n’atteint pas toujours sa cible faute de personnalité, mais c’est son premier long-métrage. Et rien que pour son attachement aux losers qui ont encore des étoiles dans les yeux et pour la résurrection efficace d’un genre qu’on croyait disparu du grand écran, enterré par les séries télé, le détour par LaRoy (Texas) est conseillé aux amateurs.
La Croix
C’est par les portraits de ses deux antihéros et leur humanité irréductible que LaRoy fait mouche.
Le Dauphiné Libéré
Descendant doué des frères Coen, Shane Atkinson floute les lignes entre le comique et le macabre, sur un scénario fun de farce folle, à l'humour noir, absurde, délicieux.
Le Parisien
Heureux lauréat du Grand Prix et du Prix du public lors du dernier Festival du film américain de Deauville, « LaRoy », joliment réalisé et interprété, ne dépasse cependant pas le stade de polar décalé à l’intrigue divertissante.
Le Point
Un petit Fargo sympa au Texas.
Première
John Magaro fait très bien le William H. Macy de poche, Steve Zahn s’éclate en détective à Stetson et bolo tie trop heureux d’être tombé sur l’enquête de sa vie, et Dylan Baker (le pédophile de Happiness) se venge de tous les rôles de sale type qu’il aurait pu jouer chez les Coen si Steve Buscemi ne lui avait pas grillé la politesse.
Télé Loisirs
L'histoire de ce mari trompé, devenu tueur à gages malgré lui, ne parvient jamais vraiment à captiver le spectateur.
Télérama
Une épatante comédie noire, sous l’influence manifeste des frères Coen.
Le Monde
Le premier long-métrage de Shane Atkinson est grinçant, drôle, cruel, parfois hilarant. Sans doute est-il un peu trop prisonnier de sa volonté de rendre hommage au cinéma des frères Coen, ce qui implique un surplomb sur les protagonistes, tous, ou presque, réduits à des caricatures de ploucs.