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A la fin de sa vie, Jean-Claude Carrière voyage en Espagne sur les traces de Francisco de Goya. Quatre-vingt-dix minutes d'intelligence et un magnifique adieu à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Le décryptage exceptionnel et fascinant de ce qui relie Goya, Luis Buñuel et Jean-Claude Carrière entre eux, et Goya à son temps, à partir des œuvres du maître analysées par le scénariste et écrivain français, peu avant son décès. Un parcours initiatique brillant et édifiant.
C’est le premier intérêt du film de López-Linares : voir, revoir énormément de tableaux, de gravures, de lithographies, de dessins (vraiment beaucoup) de Goya. Tous sont magnifiquement filmés et commentés par un homme intelligent, connaisseur, malicieux.
Face à la création, il convient de rester humble, pour autant chacune des observations du sage Jean-Claude Carrière (et des différents intervenants dont Julian Schnabel), éclaire notre regard sur l’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Entendre Jean-Claude Carrière parler de Goya est un bonheur de chaque instant, et offre les meilleurs passages d’un film par ailleurs assez formaté. Ecrasée par ces deux géants, la caméra, timide, s’efface, se contente de suivre – et c’est sans doute ce qu’il y avait de mieux à faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
A la fin de sa vie, Jean-Claude Carrière voyage en Espagne sur les traces de Francisco de Goya. Quatre-vingt-dix minutes d'intelligence et un magnifique adieu à la vie.
Voici
Un voyage sentimental, emprunt de nostalgie, mais à la passion vivifiante.
L'Obs
Ce film est un pur plaisir des yeux : on découvre un « maître du silence » et un génie du noir. A voir et à revoir.
Le Figaro
Dans ce documentaire sur le peintre espagnol, l’écrivain et scénariste est allé en Espagne sur ses traces. Sublime.
Le Parisien
Un film particulier, qui ne fera pas plus de bruit que son vrai héros, mais qui a la beauté d’un testament intime à travers des peintures.
Les Fiches du Cinéma
Le décryptage exceptionnel et fascinant de ce qui relie Goya, Luis Buñuel et Jean-Claude Carrière entre eux, et Goya à son temps, à partir des œuvres du maître analysées par le scénariste et écrivain français, peu avant son décès. Un parcours initiatique brillant et édifiant.
Positif
Ce film est aussi attachant qu’instructif.
Sud Ouest
Passionnant.
Transfuge
Très intéressant documentaire que cette Ombre de Goya à travers le regard amusé, personnel et érudit de Jean-Claude Carrière.
Télérama
L’écrivain et scénariste, disparu l’an dernier, nous emmène en train sur les terres du peintre espagnol. Et se révèle un guide généreux.
Le Journal du Dimanche
Un dernier voyage qui mêle érudition accessible et émotion naturelle.
Les Inrockuptibles
C’est le premier intérêt du film de López-Linares : voir, revoir énormément de tableaux, de gravures, de lithographies, de dessins (vraiment beaucoup) de Goya. Tous sont magnifiquement filmés et commentés par un homme intelligent, connaisseur, malicieux.
Première
Face à la création, il convient de rester humble, pour autant chacune des observations du sage Jean-Claude Carrière (et des différents intervenants dont Julian Schnabel), éclaire notre regard sur l’œuvre.
Le Monde
Entendre Jean-Claude Carrière parler de Goya est un bonheur de chaque instant, et offre les meilleurs passages d’un film par ailleurs assez formaté. Ecrasée par ces deux géants, la caméra, timide, s’efface, se contente de suivre – et c’est sans doute ce qu’il y avait de mieux à faire.