Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
IGN France
par Damien Hilaire
C'est agréable, mais pas inoubliable, l'animation est pas toujours au top et parfois elle pique même bien les yeux, mais on lui pardonne pour la sincérité du message un peu naïf, mais plein d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film magnifique et délicat sur la résilience.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Sylvestre Picard
La première partie de "La Maison des égarées" est réellement splendide, nous faisant voyager avec pudeur et sensibilité dans les traumatismes de trois générations à l’aide de différents styles de dessin.
Télé 7 Jours
par A.Q.
Féérique.
Le Monde
par Ma. Mt.
Ouvrage de sensibilisation, le film n’est jamais loin de fleurer le traditionalisme bon teint comme l’apologie des « vraies valeurs ». Toutefois, son trait fin, son cours calme, sa fluidité de récit se laissent suivre sans heurts, et font parfois oublier un scénario quelque peu téléguidé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Laurent Duroche
Indiscutablement noble, le film est toutefois cloué au sol par une mise en scène tristement statique (si l’on excepte quelques échappées plus expérimentales lors de séquences narrant des contes d’antan), une animation sans grâce et un character design passe-partout qui font pâle figure à côté du geste artistique total d’un "Suzume", qui traite d’un sujet fort similaire...
Première
par Sylvestre Picard
L'intro, où trois femmes (une vieille, une ado et une gamine) traversent lentement une ville dévastée en silence pour atteindre le lieu-titre, est absolument fabuleuse. Et place sans doute même la barre un peu trop haut pour la suite, qui reste très jolie (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Une ode sensible à l'entraide, ponctuée d'agréables touches de magie.
Télérama
par Stéphane Jarno
S’il veut avant tout distraire un public familial, Kawatsura a aussi un propos et, si légères qu’elles soient, ses « suspensions » apportent une épaisseur inhabituelle à cette histoire simple. De l’art subtil de laisser infuser les sentiments…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par S.C.
Le sujet méritait mieux que ce film-thérapie en effet quelque peu égaré. Dans le même registre, revoyez plutôt Suzume.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
IGN France
C'est agréable, mais pas inoubliable, l'animation est pas toujours au top et parfois elle pique même bien les yeux, mais on lui pardonne pour la sincérité du message un peu naïf, mais plein d'espoir.
Les Fiches du Cinéma
Un film magnifique et délicat sur la résilience.
Ouest France
La première partie de "La Maison des égarées" est réellement splendide, nous faisant voyager avec pudeur et sensibilité dans les traumatismes de trois générations à l’aide de différents styles de dessin.
Télé 7 Jours
Féérique.
Le Monde
Ouvrage de sensibilisation, le film n’est jamais loin de fleurer le traditionalisme bon teint comme l’apologie des « vraies valeurs ». Toutefois, son trait fin, son cours calme, sa fluidité de récit se laissent suivre sans heurts, et font parfois oublier un scénario quelque peu téléguidé.
Mad Movies
Indiscutablement noble, le film est toutefois cloué au sol par une mise en scène tristement statique (si l’on excepte quelques échappées plus expérimentales lors de séquences narrant des contes d’antan), une animation sans grâce et un character design passe-partout qui font pâle figure à côté du geste artistique total d’un "Suzume", qui traite d’un sujet fort similaire...
Première
L'intro, où trois femmes (une vieille, une ado et une gamine) traversent lentement une ville dévastée en silence pour atteindre le lieu-titre, est absolument fabuleuse. Et place sans doute même la barre un peu trop haut pour la suite, qui reste très jolie (...).
Télé Loisirs
Une ode sensible à l'entraide, ponctuée d'agréables touches de magie.
Télérama
S’il veut avant tout distraire un public familial, Kawatsura a aussi un propos et, si légères qu’elles soient, ses « suspensions » apportent une épaisseur inhabituelle à cette histoire simple. De l’art subtil de laisser infuser les sentiments…
Le Figaro
Le sujet méritait mieux que ce film-thérapie en effet quelque peu égaré. Dans le même registre, revoyez plutôt Suzume.