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Votre avis sur S.O.S. Fantômes : La Menace de glace ?
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J'ai juste adoré le film fan des des films des années 80' le fantastique comique de Ivan Reitman reste pour moi un nostalgique movie dans la pure tradition qui régalera petits et grands avec une histoire une pincée d'émotions et de bons effets spéciaux bien réalisé bravo pour la reprise !
Mieux que le précédent, un film à voir avec de bonnes séquences.
Par contre la fin manque cruellement d'originalité...
Par contre la fin manque cruellement d'originalité...
C’était super, malgré quelques endroits où on s’ennuyait ! Méchant qui sert à rien,
spoiler:
il dure 10 min.
Mais sinon c’est super 👍
Mais sinon c’est super 👍
"S.O.S Fantômes : La Menace de Glaces" nous replonge dans l'univers surnaturel des chasseurs de fantômes, mais cette fois-ci, l'excitation est tempérée par une certaine familiarité. Réalisé par Gil Kenan et mettant en vedette des acteurs tels que Paul Rudd et Finn Wolfhard, le film ne parvient pas à réinventer la licence, laissant les fans avec un sentiment mitigé. Bien que l'effort soit louable, il reste assez anecdotique en comparaison avec la duologie originale (ou trilogie si on compte l’horrible remake de 2016) ou même le film de 2021, qui n'a pas non plus suscité un enthousiasme débordant. En somme, "La Menace de Glaces" offre une expérience divertissante mais sans réelle révolution, laissant les fans à la recherche de quelque chose de plus excitant.
Scénario catastrophique et vide...
Il ne se passe rien... mais alors vraiment rien...
musique pas intéressante.
Un film de producteur pour se faire de l'argent avec une bande annonce accrocheuse... comme beaucoup de film récent...
trop trop déçu !
Il ne se passe rien... mais alors vraiment rien...
musique pas intéressante.
Un film de producteur pour se faire de l'argent avec une bande annonce accrocheuse... comme beaucoup de film récent...
trop trop déçu !
Fêtons le cinéma
Ce qui frappe le plus dans Ghostbusters : Frozen Empire, c’est l’impersonnalité de son imagerie et de son ton associée à une lenteur d’exécution peu commune dans le genre : soit un numérique lisse, exception faite de la créature initiale, qui rejoue la carte du fantastique à tendance horrifique sans que l’humour, sous perfusions Marvel, n’y trouve sa place. Viennent alors les interminables séquences d’exposition que doivent excuser des blagues convenues – elles ne cessent de manquer leur cible, en témoigne le silence gêné de la salle de cinéma – récitées par des acteurs dépourvus de personnalité véritable. L’emprunt règne en maître, qu’il soit inhérent à l’univers du fantôme blanc (produits dérivés, retour du casting original à peine sorti de l’EHPAD, chanson et créatures iconiques) ou aux récents blockbusters de l’écurie Columbia Pictures, notamment la nouvelle trilogie Spider-Man de Jon Watts.
L’absence de mise en scène rappelle que le réalisateur et son équipe répondent à un cahier-décharge publique, et qu’ils cochent les cases de la mixité culturelle et genrée… Sur ce point, spoiler: la romance lesbienne
constituait un semblant d’intérêt mais, hélas, n’advient que par l’esprit, non par le corps : la pudeur du film, que nous appellerons lâcheté, reconduit encore ce rejet contemporain des élans physiques et des passions au profit d’un amour intellectuel, comme l’atteste le jeu d’échecs autour duquel se retrouvent les deux adolescentes. Le lissage de l’image et du comique contient donc un lissage des mœurs. Serions-nous étonnés d’apprendre que c’est l’intelligence artificielle qui, depuis plusieurs années maintenant, a pris la tête du divertissement à grand spectacle ? Qu’il est loin, le « golden age » !
L’absence de mise en scène rappelle que le réalisateur et son équipe répondent à un cahier-décharge publique, et qu’ils cochent les cases de la mixité culturelle et genrée… Sur ce point, spoiler: la romance lesbienne
constituait un semblant d’intérêt mais, hélas, n’advient que par l’esprit, non par le corps : la pudeur du film, que nous appellerons lâcheté, reconduit encore ce rejet contemporain des élans physiques et des passions au profit d’un amour intellectuel, comme l’atteste le jeu d’échecs autour duquel se retrouvent les deux adolescentes. Le lissage de l’image et du comique contient donc un lissage des mœurs. Serions-nous étonnés d’apprendre que c’est l’intelligence artificielle qui, depuis plusieurs années maintenant, a pris la tête du divertissement à grand spectacle ? Qu’il est loin, le « golden age » !
Le film est vraiment très cool à regardé. Le casting est génial, pour les plus nostalgique on retrouve toute la troupes des deux premier opus. Si vous avez envie de vous faire un petit ciné histoire de vous détendre, foncer le voir il est vraiment super.
Mieux que le dernier opus, déjà l’intrigue est à New York, c’est un film rempli de nostalgie avec l’équipe restante de 1984. Quelques clins d’œil au premier film notamment dans la bibliothèque et des personnages secondaires que l’on ne s’attend pas à revoir…
Film ultra woke. Où l'histoire principale d'une relation amoureuse entre deux jeunes femmes est vraiment mal traitée.
Les personnages ont tous un Q.I proche d'un ado de 14 ans, adultes compris.
Le début est totalement débile. Les hommes sont encore pris pour des idiots, et les relations de filiations sont lamentable.
Mais la mère est totalement caricaturale aussi, alors que dire...
A un moment mon cerveau c'est comme contracté tellement c'était mauvais, et j'ai eu du mal à suivre le reste.
L'histoire s'endort par moment et le méchant a l'air d'avoir été griffonné sur un coin de table par le fils d'un producteur.
A la fin tout le monde est content alors que personne n'a pu assister à ce qui vient de se passer.
C'est débile au début, et à la fin, et par touches. Et l'on se sent idiot et embarrassé d'avoir vu ça.
Les personnages ont tous un Q.I proche d'un ado de 14 ans, adultes compris.
Le début est totalement débile. Les hommes sont encore pris pour des idiots, et les relations de filiations sont lamentable.
Mais la mère est totalement caricaturale aussi, alors que dire...
A un moment mon cerveau c'est comme contracté tellement c'était mauvais, et j'ai eu du mal à suivre le reste.
L'histoire s'endort par moment et le méchant a l'air d'avoir été griffonné sur un coin de table par le fils d'un producteur.
A la fin tout le monde est content alors que personne n'a pu assister à ce qui vient de se passer.
C'est débile au début, et à la fin, et par touches. Et l'on se sent idiot et embarrassé d'avoir vu ça.
Que dire, autant "héritage" avait été une agréable surprise, autant "la menace de glace" manque de saveur. C'est mou du genou sur toute la longueur, lent et monotone. Même le casting original n'arrive pas a remettre de l'intérêt.
Un peu le comme le précédent opus, ce film se laisse regarder avec plaisir dans son ensemble. L'idée est un peu un copier/coller du film d'origine quand le monstre veut libérer tout les fantômes enfermé depuis tout ce temps par les équipes successives de chasseur de fantôme. Sachant la nouvelle génération est une famille on met les ingrédients pour que des choses mettent le boxons dedans...que l'un ou l'une d'eux fasse une bêtise etc... Après toujours un réel plaisir de revoir le casting d'origine qui à ici plus d'importance et qui fait réellement équipe avec les nouveaux. Bon le rajout du personnage du "Maître du feu" en mode geek glandu mouais il aurait pu trouver mieux. Et un peu déçu que la bataille face au roi des démons soit si "gentille"... j'aurais aimé un peu de drame et une grosse baston.
NOTE : 6.25/10
NOTE : 6.25/10
Audrey L
Ne venez qu'à 1h30 de film, c'est là que le méchant arrive. Auparavant, du remplissage avec du fan-service sorti du congélateur, sans saveur. Cet opus mise tout (encore) sur la nostalgie de nos joujoux d'enfant, agités sous notre nez sans réelle envie (le plan de la tête de lion devant la bibliothèque en boucle), avec maintenant un aveu criard qu'il y a une check-list "fan-service" à cocher :
spoiler:
Ray s'arrête pour taper sur l'épaule d'un gars en disant "Ah ça fait longtemps !", avant de repartir et qu'on ne le voit plus jamais (bon... c'était qui ? Le proprio de la biblio du 1, non ?), et fait carrément demi-tour dans la bibliothèque car il a oublié de nous refaire la scène de la mamie "chut" du premier film.
On en est là. Les anciens reviennent cinq minutes à l'écran pour ne servir à rien dans le scénario, mais pour faire la chasse à la scène "qu'on peut refaire à l'identique", et c'est épuisant. On a donc spoiler: le méchant du 2 qui revient pour prononcer les mêmes répliques qu'il y a 40 piges, on a l'interrogatoire avec le casque "passoire", on a la fuite des fantômes de la caserne (oui, "encoooore"),
on a le "Êtes-vous le Maître...", on a Bouffe-tout qui traverse Finn Wolfhard deux fois (des fois qu'on n'a pas compris la réf)... Bref, un tour au micro-ondes, et c'est immangeable. Enfin presque. On sauve le personnage de la petite-fille de Spengler, on voulait vraiment explorer son univers après l'introduction du précédent film, voilà chose faite (on aime bien ce personnage). On sauve aussi le final dynamique, et c'est à peu près tout. Car pour le reste, on a un montage de scènes qui ressemble à un patchwork (il manque le liant entre plusieurs scènes, qui font très "ah oui j'ai oublié d'expliquer ça, ça va resservir plus tard"), on rêve encore vainement de voir un jour un fantôme cool rejoindre la team (on y a cru, avant qu'on nous remplace la spoiler: sympathique Melody par San Goku en armure qui fait des kaméhaméha ridicules à la fin...
Pire personnage de ce film), et même Finn Wolfhard ne sait pas ce qu'il fait dans ce film (cette incroyable scène où spoiler: toute la famille aide la petite à tenir son pistolet à protons, sauf qu'il n'y a plus de place pour passer un bras, alors il se met derrière elle et plisse les yeux...
Fou-rire dans la salle). Pas plus à dire sur le monstre qui arrive à 25 minutes de la fin du film (et ce n'est pas comme Alien, si on ne le voit pas, ce n'est pas qu'on le cache, c'est qu'on s'en contrefiche pendant 1h30, les jeunes sont trop occupés à explorer leur psycho familiale, et les anciens à rejouer toutes les scènes des premiers films). Le monstre ? Pas le temps, alors qu'il a pour une fois un super design, des bons effets spéciaux, et un vrai pouvoir maléfique (sauf qu'il ne s'en sert jamais... Il pourrait tuer vingt fois les Ghostbusters, il s'arrête toujours à la simple menace, allez savoir pourquoi...). On ne comprend pas plus comment spoiler: il a su où étaient ses cornes, ni pourquoi Ray laisse sans surveillance sa prison sphérique juste après avoir dit qu'elle refermait probablement un esprit maléfique puissant
(ça n'a aucun sens)... Bref, un scénario vide, qui ne se concentre que sur l'exactitude des scènes à refaire dans la check-list du fan (trop) nostalgique, et à ce stade on a beau être vraiment très fan de l'univers, avoir grandi avec les films et la série animée Extreme Ghostbusters, avoir été dans le 1% d'hérétiques qui aiment le 2016, on est dépassé par l'idée que se fait ce film de nous, un grand bébé incapable d'évoluer et d'aimer les changements... Un opus creux, qui n'est qu'un fan-service surgelé.
On en est là. Les anciens reviennent cinq minutes à l'écran pour ne servir à rien dans le scénario, mais pour faire la chasse à la scène "qu'on peut refaire à l'identique", et c'est épuisant. On a donc spoiler: le méchant du 2 qui revient pour prononcer les mêmes répliques qu'il y a 40 piges, on a l'interrogatoire avec le casque "passoire", on a la fuite des fantômes de la caserne (oui, "encoooore"),
on a le "Êtes-vous le Maître...", on a Bouffe-tout qui traverse Finn Wolfhard deux fois (des fois qu'on n'a pas compris la réf)... Bref, un tour au micro-ondes, et c'est immangeable. Enfin presque. On sauve le personnage de la petite-fille de Spengler, on voulait vraiment explorer son univers après l'introduction du précédent film, voilà chose faite (on aime bien ce personnage). On sauve aussi le final dynamique, et c'est à peu près tout. Car pour le reste, on a un montage de scènes qui ressemble à un patchwork (il manque le liant entre plusieurs scènes, qui font très "ah oui j'ai oublié d'expliquer ça, ça va resservir plus tard"), on rêve encore vainement de voir un jour un fantôme cool rejoindre la team (on y a cru, avant qu'on nous remplace la spoiler: sympathique Melody par San Goku en armure qui fait des kaméhaméha ridicules à la fin...
Pire personnage de ce film), et même Finn Wolfhard ne sait pas ce qu'il fait dans ce film (cette incroyable scène où spoiler: toute la famille aide la petite à tenir son pistolet à protons, sauf qu'il n'y a plus de place pour passer un bras, alors il se met derrière elle et plisse les yeux...
Fou-rire dans la salle). Pas plus à dire sur le monstre qui arrive à 25 minutes de la fin du film (et ce n'est pas comme Alien, si on ne le voit pas, ce n'est pas qu'on le cache, c'est qu'on s'en contrefiche pendant 1h30, les jeunes sont trop occupés à explorer leur psycho familiale, et les anciens à rejouer toutes les scènes des premiers films). Le monstre ? Pas le temps, alors qu'il a pour une fois un super design, des bons effets spéciaux, et un vrai pouvoir maléfique (sauf qu'il ne s'en sert jamais... Il pourrait tuer vingt fois les Ghostbusters, il s'arrête toujours à la simple menace, allez savoir pourquoi...). On ne comprend pas plus comment spoiler: il a su où étaient ses cornes, ni pourquoi Ray laisse sans surveillance sa prison sphérique juste après avoir dit qu'elle refermait probablement un esprit maléfique puissant
(ça n'a aucun sens)... Bref, un scénario vide, qui ne se concentre que sur l'exactitude des scènes à refaire dans la check-list du fan (trop) nostalgique, et à ce stade on a beau être vraiment très fan de l'univers, avoir grandi avec les films et la série animée Extreme Ghostbusters, avoir été dans le 1% d'hérétiques qui aiment le 2016, on est dépassé par l'idée que se fait ce film de nous, un grand bébé incapable d'évoluer et d'aimer les changements... Un opus creux, qui n'est qu'un fan-service surgelé.
J'ai aimé... mais vraiment !!!
retour à New York, rien de surprenant, cela avait été teasé en scène post-générique du précédent film, et on est de suite plongé dans l'ambiance avec une bonne scène d'intro qui fait son effet, suivi d'une scène de capture juste extraordinaire.
Dès le départ, le film nous montre ses qualités: une mise en scène dynamique proposant une action lisible, des FX d'excellentes factures et une bonne ambiance sonore.
Techniquement on est sur du solide, tout en gardant un petit cachet 80's qui flatte la rétine. Du tout bon.
S'en suivent les scène d'exposition, j'ai trouvé ça plutôt pas mal en tenant compte du fait qu'il y a énormément de persos à gérer et j'ai trouvé ça cool que ce soit Dan Aykrod qui prennent le rôle du tonton qui encadre "les anciens de la nouvelle équipe, les nouveaux qui viennent s'y rajouter... et les anciens de l'ancienne équipe!!!"
--> si t'as eu un peu de mal à comprendre la dernière phrase, et bien tu as compris le problème du film:
Multiplication des personnages, ça prends des minutes à introduire, ça prends des minutes pour résoudre les situations liées à ces personnage, et au bout du compte, le menace de glace occupe une part assez réduite du film.
Je pense qu'une dizaine de minutes supplémentaires n'auraient pas été de trop, je pense aussi que pour le prochain, on peut laisser nos anciens prendre leur retraites biien méritée. On garde à la limite le Dr Stanz en consultant, parce qu'il colle vraiment avec les nouveaux, et on essaie d'avoir la participation de Weaver et Morranis, histoire de faire passer la pillule aux fans les plus hardcore de la franchise ;p
retour à New York, rien de surprenant, cela avait été teasé en scène post-générique du précédent film, et on est de suite plongé dans l'ambiance avec une bonne scène d'intro qui fait son effet, suivi d'une scène de capture juste extraordinaire.
Dès le départ, le film nous montre ses qualités: une mise en scène dynamique proposant une action lisible, des FX d'excellentes factures et une bonne ambiance sonore.
Techniquement on est sur du solide, tout en gardant un petit cachet 80's qui flatte la rétine. Du tout bon.
S'en suivent les scène d'exposition, j'ai trouvé ça plutôt pas mal en tenant compte du fait qu'il y a énormément de persos à gérer et j'ai trouvé ça cool que ce soit Dan Aykrod qui prennent le rôle du tonton qui encadre "les anciens de la nouvelle équipe, les nouveaux qui viennent s'y rajouter... et les anciens de l'ancienne équipe!!!"
--> si t'as eu un peu de mal à comprendre la dernière phrase, et bien tu as compris le problème du film:
Multiplication des personnages, ça prends des minutes à introduire, ça prends des minutes pour résoudre les situations liées à ces personnage, et au bout du compte, le menace de glace occupe une part assez réduite du film.
Je pense qu'une dizaine de minutes supplémentaires n'auraient pas été de trop, je pense aussi que pour le prochain, on peut laisser nos anciens prendre leur retraites biien méritée. On garde à la limite le Dr Stanz en consultant, parce qu'il colle vraiment avec les nouveaux, et on essaie d'avoir la participation de Weaver et Morranis, histoire de faire passer la pillule aux fans les plus hardcore de la franchise ;p
Je ne me suis pas ennuyé une seule seconde devant le film, et il y a aucune longueur, l'histoire est bien ficelée mais l'intrigue est dénuée de réelle ampleur/danger. Du coup, je reste sur ma faim et me dis qu'il manque bien 30 minutes de film pour amplifier le suspense, en particulier sur la scène de bataille finale.
Perso, j'ai adoré ! Malgré le manque de chasse aux fantômes, le film est réussi.. Humour, frisson et clin d'œil à gogo..
J'ai retrouvé mon âme d'enfant et les miens étaient avec moi.. Un bonheur !
Une histoire originale, enfin une vrai suite et pas du réchauffé.. Cela laisse présager du bon pour la suite de la franchise !
J'ai retrouvé mon âme d'enfant et les miens étaient avec moi.. Un bonheur !
Une histoire originale, enfin une vrai suite et pas du réchauffé.. Cela laisse présager du bon pour la suite de la franchise !
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