Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Un tout petit peu en dessous du niveau du précédent opus qui avait relancé la franchise avec brio, ce nouveau film relève tout de même de l’excellent divertissement, avec des scènes comiques, de la nostalgie, du spectaculaire et des effets spéciaux de bons niveaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Alors que S.O.S Fantômes : L’Héritage (2021), le précédent opus de Jason Reitman, jouait à fond la carte de la nostalgie pour revitaliser la saga culte, cette suite apporte un vent de modernité à la mythologie en ancrant l’action dans notre époque. Rassurez-vous, les vétérans Dan Aykroyd, Bill Murray et Ernie Hudson sont de la partie.
Alors que les premiers volets étaient des films d’adultes qui plaisantaient comme des enfants, S.O.S Fantômes La menace de glace a rajeuni la grande majorité du casting pour prendre le virage un peu plus sérieux de l’écoanxiété des milléniaux, ce qui sied moins à la série B et aux Mini-Pufts. Il n’en reste pas moins qu’on succombe à la jolie histoire d’amitié amoureuse entre une jeune fille et une fantôme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Rassurez-vous ça reste malin, bon esprit (même Bill Murray ne semble pas penser qu’au gros chèque qu’il va empocher) et derrière le fan service parfois un peu radoteur il y a des idées de design (de l’univers aux nouveaux monstres) qui suffisent à rendre ce SOS fantômes parfaitement recommandable. Bon, vous savez qui appeler maintenant !
La critique complète est disponible sur le site Première
Toute l'entreprise du film se résume à la congélation/décongélation des peurs, des fantômes et des personnages historiques de la franchise. Merci Picard.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Blockbuster de légende, Ghostbusters recycle pour ses fans les héros des premiers films (incarnés par Bill Murray, Dan Aykroyd, Ernie Hudson et Annie Potts) et ressort du placard la famille Spengler de retour à Manhattan, avec les descendants d'Egon.
On reprend le pire et on recommence. Le peu de charme qu'il y avait dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage s'est envolé dans S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace, qui troque la tendresse nostalgique pour le spectacle bas du front. Et interminable. Et absolument dispensable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Au rayon des productions réchauffées, S.O.S. : La Menace de Glace tient bonne place. Comme les créatures qu’elle met en scène, la saga est devenue fantomatique et mise désormais seulement sur la nostalgie pour faire recette. Ça marche à quelques endroits, mais c’est surtout une occasion de prouver que S.O.S. est en détresse.
À la fois suite du reboot de 2021 et (ultime ?) hommage aux chasseurs de fantômes originels, La menace de glace ne parvient à réellement convaincre sur aucun des deux tableaux. Un volet oubliable, encore un, d’une saga de plus en plus... fantomatique.
Les bons sentiments ne sentent pas la naphtaline ici, mais le slime et le plastique de jaquette VHS. De manière grossière, la franchise en profite pour resservir les spots publicitaires de ses produits dérivés de la décennie 1980.
20 Minutes
Le duo McKenna Grace et Finn Wolfhard rajeunit les effectifs de façon toujours aussi convaincante.
Le Parisien
Un tout petit peu en dessous du niveau du précédent opus qui avait relancé la franchise avec brio, ce nouveau film relève tout de même de l’excellent divertissement, avec des scènes comiques, de la nostalgie, du spectaculaire et des effets spéciaux de bons niveaux.
Ouest France
Un divertissement savoureux et efficace.
CinemaTeaser
Écrasé par le cahier des charges de sa licence, ce volet est largement sauvé par son élégance et sa modernité.
L'Ecran Fantastique
Un spectacle attendu, mais rempli d’agréables surprises.
La Voix du Nord
Bref, ni infamant ni révolutionnaire. À réserver à ceux qui ont gardé leur âme de ghostbuster.
Le Journal du Dimanche
Alors que S.O.S Fantômes : L’Héritage (2021), le précédent opus de Jason Reitman, jouait à fond la carte de la nostalgie pour revitaliser la saga culte, cette suite apporte un vent de modernité à la mythologie en ancrant l’action dans notre époque. Rassurez-vous, les vétérans Dan Aykroyd, Bill Murray et Ernie Hudson sont de la partie.
Le Monde
Alors que les premiers volets étaient des films d’adultes qui plaisantaient comme des enfants, S.O.S Fantômes La menace de glace a rajeuni la grande majorité du casting pour prendre le virage un peu plus sérieux de l’écoanxiété des milléniaux, ce qui sied moins à la série B et aux Mini-Pufts. Il n’en reste pas moins qu’on succombe à la jolie histoire d’amitié amoureuse entre une jeune fille et une fantôme.
Les Fiches du Cinéma
À trop jouer sur la nostalgie, le scénario peine à donner chair à ses personnages, et les oublie dans une intrigue pas très intéressante.
Première
Rassurez-vous ça reste malin, bon esprit (même Bill Murray ne semble pas penser qu’au gros chèque qu’il va empocher) et derrière le fan service parfois un peu radoteur il y a des idées de design (de l’univers aux nouveaux monstres) qui suffisent à rendre ce SOS fantômes parfaitement recommandable. Bon, vous savez qui appeler maintenant !
Télé 2 semaines
Ce quatrième volet très rythmé remplit son contrat visuellement. Un film familial qui se perd néanmoins parfois dans ses (trop) nombreux personnages.
Télé Loisirs
Ce quatrième volet très rythmé remplit son contrat visuellement. Un film familial qui se perd néanmoins dans ses nombreux personnages.
Critikat.com
Toute l'entreprise du film se résume à la congélation/décongélation des peurs, des fantômes et des personnages historiques de la franchise. Merci Picard.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Blockbuster de légende, Ghostbusters recycle pour ses fans les héros des premiers films (incarnés par Bill Murray, Dan Aykroyd, Ernie Hudson et Annie Potts) et ressort du placard la famille Spengler de retour à Manhattan, avec les descendants d'Egon.
Ecran Large
On reprend le pire et on recommence. Le peu de charme qu'il y avait dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage s'est envolé dans S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace, qui troque la tendresse nostalgique pour le spectacle bas du front. Et interminable. Et absolument dispensable.
GQ
Ce nouvel opus est un hommage poussif des précédents volets.
Le Dauphiné Libéré
Jamais SOS Fantômes n'aura autant ressemblé à un gentil teen-movie : même pas peur.
Le Journal du Geek
Au rayon des productions réchauffées, S.O.S. : La Menace de Glace tient bonne place. Comme les créatures qu’elle met en scène, la saga est devenue fantomatique et mise désormais seulement sur la nostalgie pour faire recette. Ça marche à quelques endroits, mais c’est surtout une occasion de prouver que S.O.S. est en détresse.
Le Point
Sans surprise, le résultat est à mourir d’ennui.
Sud Ouest
De Retour à New York, les Ghostbusters peinent à repartir à l’action.
Télérama
Le résultat ne nous laisse pas complètement de glace, mais sans nous hanter.
Voici
L'intrigue est parfois bancale, mais l'élégante mise en scène et les émotions compensent.
aVoir-aLire.com
À la fois suite du reboot de 2021 et (ultime ?) hommage aux chasseurs de fantômes originels, La menace de glace ne parvient à réellement convaincre sur aucun des deux tableaux. Un volet oubliable, encore un, d’une saga de plus en plus... fantomatique.
Cahiers du Cinéma
Les bons sentiments ne sentent pas la naphtaline ici, mais le slime et le plastique de jaquette VHS. De manière grossière, la franchise en profite pour resservir les spots publicitaires de ses produits dérivés de la décennie 1980.
L'Obs
Même les anciens (Dan Aykroyd, Bill Murray) sont là. Ils auraient mieux fait d’appeler un scénariste. Nostalgie cataplasme, cinéma ectoplasme. Inepte.
Libération
Malgré une tentative d’actualisation écolo, le nouvel opus des aventures de ghostbusters se noie dans la nostalgie régressive.