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Un film gentillet, qui ne fait pas trop de.mal, sympathique avec une grande bienveillance.
Une belle photographie avec de beaux paysages, mais dans l.ensemble on s y ennuie un peu, le film me fait un peu penser au film la fiancée du poète dans sa construction et son atmosphère.
Bref un film moyen
Une belle photographie avec de beaux paysages, mais dans l.ensemble on s y ennuie un peu, le film me fait un peu penser au film la fiancée du poète dans sa construction et son atmosphère.
Bref un film moyen
soniadidierkmurgia
À intervalles réguliers, Gianni di Gregorio qui en 2008avait fait souffler un vent d’air frais sur le cinéma italien avec « Le déjeuner du 15 août », une chronique douce-amère sur les déboires d’un vieux célibataire romain vivant au crochet de sa mère, donne des nouvelles de son anti-héros incarné par lui-même qu’il propose au spectateur de suivre au fur et à mesure que celui-ci entre dans le troisième âge. Désormais âgé de 73 ans, Gianni apprend que sa propriétaire lui donne congé. Un peu désemparé, Gianni conserve tout de même de la ressource. Il se souvient que sa famille possède une vaste demeure à Artena dans l’arrière-pays de Rome. Il part donc sur les traces de son passé. Un squatter, ancien camarade d’enfance, est installé depuis six ans dans sa maison avec deux amis qui viennent très souvent lui rendre visite. Qu’à cela ne tienne ! Gianni aime la compagnie. Cerise sur le gâteau, lui est présentée une charmante veuve interprétée par Stefania Sandrelli. Que demande le peuple ! L’ensemble est filmé avec délicatesse et une certaine malice par Di Gregorio qui semble nous dire que passer un certain âge se laisser porter par les événements peu avoir du bon. Le plaisir et même l’amour est toujours possible si l’on consent à accepter soi-même sa condition. Gianni le timoré y parvenant, chacun peut s’inspirer de lui.
Un film bien trop gentillet, au rythme mollasson ou il ne se passe vraiment pas grand-chose et ou l’on s’ennuie malheureusement assez vite…
Gianni Gregorio est terriblement toujours formidable malgres les annees qui passent et toujours aussi séduisant. C'est heureux que de voir d'esquisser une histoire d'amour entre deux personnages d'un certain âge, animés ded jolis flamme spontanée de l'amour comme des adolescents presque. On ne rentrera pas sur les difficultés que peuvent poser les enfants aux parents de cette âge comme chez la dulcinee (qui gardent les petits enfants ce qui arrange son fils et sa belle fille, jusqu'à vouloir l'a dissuader de vivre sa vie même à son âge) mais on l'évoque. Adolfo comme s'appelle désormais le Gregorio du Déjeuner du dîner août si génial, revient vivre dans une maison mitoyenne avec le clergé (donnant occasion de rejouer le duel clergé -prêtre de film joue par Fernandel, avec William Sheller méconnaissable en prêtre atypique flanqué de deux petit chien blanc, tres humzin et tolérant, qui fait reconsidérer la trans sexualite comme partieinin
Comédie italienne sans prétention mais qui a beaucoup de charme. L'humour est au rendez-vous. Le village qui sert de cadre à l'histoire est très beau et les personnages sont attachants. C'est un bon moment de détente.
Je voulais voir un film sympa et passionnant sans prise de tête et je suis allé voir ce film qui m'a hypnotisé c'est touchant, beau, drôle plein de poésie
Excellent film qui décrit la vie passée et présente du village et du protagoniste ainsi que sa rencontre. Tout en nuances et avec le trait d'humour raffiné de Di Gregorio.
Un film au charme délicieux, du aux acteurs et à la langue italienne. C est beau à regarder et apaisant.
Ça ressemble à du cinéma italien des années 60. Des beaux paysages, un village magnifique pour cette histoire classique du type qui revient chez lui longtemps après. Il manquait juste une bagarre entre le maire et le curé , et nous étions chez Don Camilo !
très insignifiant
seuls les "squatters" mettent un peu d'animation
j'espérais à la fin spoiler: qu'il prendrait une masse pour abattre le mur
, mais rien, il est spolié de tous côtés mais c'est pas grave
seuls les "squatters" mettent un peu d'animation
j'espérais à la fin spoiler: qu'il prendrait une masse pour abattre le mur
, mais rien, il est spolié de tous côtés mais c'est pas grave
Film absolument délicieux.
Une mise à jour de Don Camillo. Tout y est: le curé, le maire, les carabinieri ! Mais dans un festival de couleurs (les merveilleux palais dégradés).
Cette gestuelle inégalée, ces personnages typés, cette cuisine qui fait partie du casting, cette sensualité un peu surannée, ce spider Duetto arborant une ligne devenue historique depuis "le Lauréat ", tous reconnaîtront, la larme à l'œil, l'Italie pré-Berlusconi.
Une mise à jour de Don Camillo. Tout y est: le curé, le maire, les carabinieri ! Mais dans un festival de couleurs (les merveilleux palais dégradés).
Cette gestuelle inégalée, ces personnages typés, cette cuisine qui fait partie du casting, cette sensualité un peu surannée, ce spider Duetto arborant une ligne devenue historique depuis "le Lauréat ", tous reconnaîtront, la larme à l'œil, l'Italie pré-Berlusconi.
Un film sympatoche mais sans plus. L histoire se déroule sans grand relief. A un moment un couplé âgé regarde avec nostalgie un classique de la comédie italienne avec Vitorio de Sica. Effectivement cette grande époque du cinéma italien est révolue et ce film ne contribue pas à sa resurection.
Petite comédie avec un peu de charme italien mais sans vraiment d'interêt. Ça peu attendre la télévision... ou pas.
Un très bon film, original et rythmé, qui est dans la ligne des comédies italiennes du XXIe siècle. On en sort tout joyeux même s’il est évident qu’il sera vu par moins de spectateurs que Barbie!
film qui fleure la fin des années 70 mais il oublie qu' on est en 2023.
cette histoire gentillette aurait aurait due être approfondie afin de ressembler au cinéma italien des années 70 que j ai adore
cette histoire gentillette aurait aurait due être approfondie afin de ressembler au cinéma italien des années 70 que j ai adore
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