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25 critiques presse
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Sous ses aspects de thriller stylisé, Lofty Nathan a peut-être réussi le plus efficace des films sociaux sur la Tunisie post-révolution.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Harka dépasse rapidement son statut de premier film pour proposer une histoire intense, prenante, impressionnante de maîtrise et d'émotion, ancrée dans une réalité malheureusement trop répandue, et qui fait le choix de la révolte tout en n'ignorant pas qu'elle ne se fera jamais tout seul.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Sobre et magnifiquement filmé.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Cinéaste américain, Lotfy Nathan a réussi un coup de maître avec Harka, son premier long-métrage de fiction, tourné au cœur de la réalité tunisienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Luc Chessel
Harka se trouve, avec une rage calme, soutenu par chaque particule de son acteur principal et par le spectre de celui qu’il invoque, des images et des sons pour dire la trajectoire du pire au milieu du monde indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Les premiers plans de Harka, un des meilleurs premiers films découverts cet automne, donnent le ton : crépusculaire et inquiétant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Voilà donc Harka , revivant sa mémoire, comme un cri déchirant, urgent et nécessaire.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le film de Lotfy Nathan est un retour désenchanté sur la révolution tunisienne. Porté par un formidable comédien, Adam Bessa.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En 2010, un jeune vendeur tunisien de fruits et légumes s’immolait par le feu à Sidi Bouzid, une petite ville du centre du pays. Le premier acte du printemps arabe. Harka se souvient de Mohamed Bouazizi et salue une jeunesse sacrifiée.
Le Figaro
par Delphine Minoui
Pari réussi pour un premier film de fiction d’une force inouïe!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Bouleversant dans son désespoir, Adam Bassa brille dans tous les registres du film, du western à la tragédie finale, urbaine, atroce, emblématique du printemps arabe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Pour camper son héros, le réalisateur a eu la lumineuse idée de faire appel à Adam Bessa. De tous les plans, le comédien français casse la baraque dans la peau de ce jeune Tunisien acharné à la tâche, qui doit sans cesse masquer ses sentiments, ce qui va finir par le faire sortir de ses gonds.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Récompensé à Cannes dans la section Un certain regard, le magnétique Adam Bessa se fait à lui seul la voix de toute une génération de Tunisiens.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film intense.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Film souvenir, film portrait, film fantôme ou brûlot politique, Harka est une météorite traversée d’une élégie rugueuse, du lyrisme désenchanté des condamné·es.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
Un portrait aussi passionnant qu'implacable de la Tunisie post-Printemps arabe.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Ce premier film s’avère l’un des plus saisissants étendards d’une nouvelle génération de réalisateurs arabes avides de cinéma social.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Lofty Nathan dresse le constat désespéré d’un pays, la Tunisie, dont la révolution arabe n’aura été qu’un feu de pailles. Proprement éblouissant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par N. S.
Inspiré de l’histoire de Mohamed Bouazizi, dont l’immolation en place publique amorça la révolution populaire tunisienne et le printemps arabe, ce premier long-métrage pointe une colère face à la corruption qui gangrène (toujours) la Tunisie, dénote une poésie visuelle et révèle un comédien intense qu’un scénario chétif contraint.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce héros solitaire et ses chevauchées mécaniques dans des paysages arides, Lotfy Nathan, réalisateur prometteur, donne à ce premier film de fiction des allures de western. Et nous fait mesurer sèchement tout l’échec d’une révolution qui n’a pas réussi à redonner de l’espoir à sa jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Cl. F.
A la mort de son père, Ali (Adam Bessa) renonce à traverser la Méditerannée pour rester auprès de ses sœurs. Quoi qu’il entreprenne, il se heurte aux murs de la corruption. Un parfait antihéros, stylisé à souhait, dans un drame où flotte une atmosphère de cuisante chaleur et de cuisant échec.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Adam Bessa illumine de sa présence énigmatique le premier long métrage de fiction de Lotfy Nathan, qui brosse un tableau désenchanté de la Tunisie dix ans après le Printemps arabe.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Éric Derobert
Cette chronique réaliste est émaillée d’une tonalité de conte où s’invitent l’eau et le feu, avant de tourner au film noir, puis au film politique.
Première
par Thierry Chèze
Harka raconte l’histoire d’un jeune homme paisible que la succession d’humiliations et de frustrations pousse vers la violence, dans un geste de cinéma limpide que le choix du 35 mm et une mise en scène inventive éloignent du simple film à sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Cette chronique tendue d’un quotidien de débrouille et d’une révolte criante — inspirée de faits réels — se meut en thriller fatal et pointe, avec une tragique acuité, le désir d’une génération de se faire entendre, dix ans après la « révolution de jasmin » et les printemps arabes. Dans le rôle principal, Adam Bessa offre un corps fiévreux à une mise en scène imparable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Sous ses aspects de thriller stylisé, Lofty Nathan a peut-être réussi le plus efficace des films sociaux sur la Tunisie post-révolution.
Ecran Large
Harka dépasse rapidement son statut de premier film pour proposer une histoire intense, prenante, impressionnante de maîtrise et d'émotion, ancrée dans une réalité malheureusement trop répandue, et qui fait le choix de la révolte tout en n'ignorant pas qu'elle ne se fera jamais tout seul.
Elle
Sobre et magnifiquement filmé.
L'Humanité
Cinéaste américain, Lotfy Nathan a réussi un coup de maître avec Harka, son premier long-métrage de fiction, tourné au cœur de la réalité tunisienne.
Libération
Harka se trouve, avec une rage calme, soutenu par chaque particule de son acteur principal et par le spectre de celui qu’il invoque, des images et des sons pour dire la trajectoire du pire au milieu du monde indifférent.
Marianne
Les premiers plans de Harka, un des meilleurs premiers films découverts cet automne, donnent le ton : crépusculaire et inquiétant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Voilà donc Harka , revivant sa mémoire, comme un cri déchirant, urgent et nécessaire.
La Voix du Nord
Le film de Lotfy Nathan est un retour désenchanté sur la révolution tunisienne. Porté par un formidable comédien, Adam Bessa.
Le Dauphiné Libéré
En 2010, un jeune vendeur tunisien de fruits et légumes s’immolait par le feu à Sidi Bouzid, une petite ville du centre du pays. Le premier acte du printemps arabe. Harka se souvient de Mohamed Bouazizi et salue une jeunesse sacrifiée.
Le Figaro
Pari réussi pour un premier film de fiction d’une force inouïe!
Le Journal du Dimanche
Bouleversant dans son désespoir, Adam Bassa brille dans tous les registres du film, du western à la tragédie finale, urbaine, atroce, emblématique du printemps arabe.
Le Parisien
Pour camper son héros, le réalisateur a eu la lumineuse idée de faire appel à Adam Bessa. De tous les plans, le comédien français casse la baraque dans la peau de ce jeune Tunisien acharné à la tâche, qui doit sans cesse masquer ses sentiments, ce qui va finir par le faire sortir de ses gonds.
Le Point
Récompensé à Cannes dans la section Un certain regard, le magnétique Adam Bessa se fait à lui seul la voix de toute une génération de Tunisiens.
Les Echos
Un film intense.
Les Inrockuptibles
Film souvenir, film portrait, film fantôme ou brûlot politique, Harka est une météorite traversée d’une élégie rugueuse, du lyrisme désenchanté des condamné·es.
Ouest France
Un portrait aussi passionnant qu'implacable de la Tunisie post-Printemps arabe.
Transfuge
Ce premier film s’avère l’un des plus saisissants étendards d’une nouvelle génération de réalisateurs arabes avides de cinéma social.
aVoir-aLire.com
Lofty Nathan dresse le constat désespéré d’un pays, la Tunisie, dont la révolution arabe n’aura été qu’un feu de pailles. Proprement éblouissant.
L'Obs
Inspiré de l’histoire de Mohamed Bouazizi, dont l’immolation en place publique amorça la révolution populaire tunisienne et le printemps arabe, ce premier long-métrage pointe une colère face à la corruption qui gangrène (toujours) la Tunisie, dénote une poésie visuelle et révèle un comédien intense qu’un scénario chétif contraint.
La Croix
Avec ce héros solitaire et ses chevauchées mécaniques dans des paysages arides, Lotfy Nathan, réalisateur prometteur, donne à ce premier film de fiction des allures de western. Et nous fait mesurer sèchement tout l’échec d’une révolution qui n’a pas réussi à redonner de l’espoir à sa jeunesse.
Le Monde
A la mort de son père, Ali (Adam Bessa) renonce à traverser la Méditerannée pour rester auprès de ses sœurs. Quoi qu’il entreprenne, il se heurte aux murs de la corruption. Un parfait antihéros, stylisé à souhait, dans un drame où flotte une atmosphère de cuisante chaleur et de cuisant échec.
Les Fiches du Cinéma
Adam Bessa illumine de sa présence énigmatique le premier long métrage de fiction de Lotfy Nathan, qui brosse un tableau désenchanté de la Tunisie dix ans après le Printemps arabe.
Positif
Cette chronique réaliste est émaillée d’une tonalité de conte où s’invitent l’eau et le feu, avant de tourner au film noir, puis au film politique.
Première
Harka raconte l’histoire d’un jeune homme paisible que la succession d’humiliations et de frustrations pousse vers la violence, dans un geste de cinéma limpide que le choix du 35 mm et une mise en scène inventive éloignent du simple film à sujet.
Télérama
Cette chronique tendue d’un quotidien de débrouille et d’une révolte criante — inspirée de faits réels — se meut en thriller fatal et pointe, avec une tragique acuité, le désir d’une génération de se faire entendre, dix ans après la « révolution de jasmin » et les printemps arabes. Dans le rôle principal, Adam Bessa offre un corps fiévreux à une mise en scène imparable.