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Dixxonikk
1 abonné
46 critiques
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0,5
Publiée le 27 février 2023
Je pense que la critique est totalement surcotée pour ce film où il ne se passe vraiment rien. Juste dommage que le générique de fin arrive aussi tard.
Alors oui, la relation père-fille fonctionne, ça joue même très bien (la gamine est fabuleuse), c'est plutôt bien filmé, avec sensibilité et il y a une vraie mélancolie qui se dégage de l'ensemble...
Mais, faut bien admettre qu'il ne se passe pas grand chose, et que Charlotte Wells, même si elle a un vrai sens du cadre, se regarde parfois le nombril, en filmant de loooooooooong plans plus prétentieux qu'utiles...
Même si le film a réussi à me chopper à de rares moments, je n'ai jamais réussi à réellement renter dedans et c'est souvent l'ennui qui aura pris le dessus...
Je suis allée voir ce film compte tenu des bonnes critiques des spécialistes cinéma ou de la presse et de sa note moyenne sur allo ciné. A mon grand étonnement je me suis ennuyée et pensais à la fin du film que quelque chose m'avait échappé (peut-être plus subtil que je n'aurais pas saisi). A mon retour j'ai lu les critiques spectateurs et j'ai pu constater que je n'étais pas seule dans ce cas. Je pense que ce film est soit fortement aimé ou alors détesté. Je n'irai pas jusque là mais j'ai vraiment regretté le déplacement ! Aucun intérêt.
Je ne comprends vraiment pas comment on peut faire de tels films, c'est d'un ennui incommensurable. J'ai passé la première demi-heure à me demander quand diable il allait commencer, et la dernière demi-heure à me demander quand diable ça allait enfin se terminer... Un père et sa fille sont en vacances en Turquie, ils vont à la piscine, ils jouent au billard, le papa fait du taï chi et pleure (on ne sait pas trop pourquoi) la fille rencontre quelques copains, mais bon, tout cela tourne en rond et n'avance pas. Tout cela devait être trop subtil pour moi !
Premier long-métrage de Charlotte Wells, "Aftersun" brille par la prestation de ses deux comédiens principaux. Une femme se remémore avec nostalgie un été passé avec son père il y a 20 ans. Paul Mescal joue ce jeune père avec une complexité remarquable , tandis que la petite Frankie Corio étonne par sa fougueuse spontanéité. Un film à l'authenticité touchante.
Chronique douce-amère de vacances passées, Aftersun met en scène avec finesse et poésie une belle relation père-fille, les non-dits et les secrets qui se cachent dans les silences, les incompréhensions d'une enfant face à la dépression latente de son modèle paternel, quitte à laisser pour cela le mystérieux l'emporter (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/02/25/aftersun-charlotte-wells/)
Pour son 1er film, la jeune britannique Charlotte Wells a décroché au passage, le Grand Prix et le Prix de la Critique à Deauville, ainsi que le Prix French Touch à la Semaine Internationale de la Critique à Cannes en 2022 et en 2023, le BAFTA de la réalisation. Pas mal pour un 1er opus. On était donc en droit d’attendre beaucoup de ces 102 minutes. Avec mélancolie, Sophie se remémore les vacances d’été passées avec son père vingt ans auparavant : les moments de joie partagée, leur complicité, parfois leurs désaccords. Elle repense aussi à ce qui planait au-dessus de ces instants si précieux : la sourde et invisible menace d’un bonheur finissant. Elle tente alors de chercher parmi ces souvenirs des réponses à la question qui l’obsède depuis tant d’années : qui était réellement cet homme qu’elle a le sentiment de ne pas connaître ? Et on n’est pas déçu. Ce n’est certes pas un film d’action, mais plutôt un film d’inaction qui m’a beaucoup fait penser au Somewhere de Sofia Coppola en 2012 qui m’avait copieusement fait ch…. A la différence près que là, j’ai passé un bon moment avec le père et sa fille auxquels on peut s’identifier aisément. Comme souvent, un 1er film comprend une forte part autobiographique. Celui-ci n’échappe pas à la règle. La cinéaste se pose des questions sur sa relation avec son père et sur cette période si particulière de la vie, la préadolescence avec ses découvertes, son éveil des sens, sa quête d’identité, ses doutes et ses petites joies. Bref rien de nouveau, sinon une manière tout en douceur de traiter tous ces sujets. Une belle mélancolie plane – comme la couleur bleue omniprésente -, sur tout ce film qui interroge le mystère de l'enfance, des souvenirs et des êtres que l'on aime et dont on s’aperçoit qu’on ne les connaît pas vraiment. Délicat, drôle et souvent bouleversant, une chronique sensible tout en demie teinte d’un été comme tellement d’autres. Paul Mescal apporte beaucoup de profondeur et de simplicité à ce père attentif, aimant et parfois dépassé – comme tous les pères, avouons-le -. Frankie Corio, choisie après un casting de 800 fillettes, est épatante. Une jeune actrice qui promet beaucoup. Pour ma part je n’ai regretté que les incursions dans le présent tout en images stroboscopiques qui n’apportent rien sinon l’agitation et le bruit. Un film d’une rare délicatesse au goût d’après-soleil amer et surtout deux acteurs au top qui transforme une apparente banalité en une pépite profondément touchante. A voir !
Très belle histoire les acteurs jouent bien par contre qu'est ce que c'est long il y a des scènes la caméra reste inutilement dessus je vous laisse vous faire votre propre opinion.
Un premier film bouleversant et magnifique qui nous replonge dans les années 90. Une histoire d'amour entre un père et sa fille, histoire dramatique, nostalgique et poétique. Certains diront qu'il n'y a pas vraiment d'histoire ou qu'il ne se passe rien mais moi je trouve que parfois des plans simples qui s'enchaînent suffisent à nous bouleverser et c'est le cas pour ce film.
J'en étais justement à me demander "mais quand donc ce film commence ?" quand le générique de fin s'est mis à défiler ... J'aurais dû me méfier, le film a reçu un prix spécial du jury à Cannes en 2022...
Pourtant, malgré la vacuité du scénario, les deux acteurs principaux, Paul Mescal et Frankie Corio, offrent une interprétation époustouflante.
Dommage qu'il ne soit pas possible de noter un ZERO. Laissons le 0,5 pour la jeune actrice remarquable ... mais le reste est un désastre : pas de scénario, d'innombrable passages "psychédéliques à lumières blafardes clignotantes" ou carrément noires. J'ignore où certains critiques ont pu voir de courts passages avec Sophie à 20 ans, j'ignore qui est la femme qui, à la fin, regarde la video du film de vacances (la mère de Sophie ou Sophie à 20 ans), j'ignore à quoi rime la dernière scène avec le père qui franchit des portes au fond d'une salle vide. Oui le père a des problèmes, mais qui n'en n'a pas !!!!! Images médiocres, paysages flous, même pas un super 8 d'amateur des années 80.
Quel film subtil, tout en ellipse, sur une musique qui nous embarque dans un voyage vers l enfance, l eveil à la volupté tendre, le desir et l amour paternel, comme filial, tres beau. Le debut peut desarçonner mais l histoire prend avec la magie, je recommande.
Je viens de lire un article au sujet de Cc film .Difficile de comprendre que le père est dépressif... en revanche, à la fin, on comprend que Sophie vient de le perdre et s'apprête à faire son deuil.