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Gentilbordelais
325 abonnés
3 001 critiques
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0,5
Publiée le 26 août 2023
Un film de vacances grandeur nature entre un père et sa fille pendant 1h35. Sur toute la durée, aucune variation, il ne se passe rien. une absence totale de scénario dont on sort frustré et avec le sentiment d'avoir été berné par tant de vide!
Je m'attendais à passer un bon moment avec ce film récompensé à Cannes et bénéficiant de très bonnes critiques presse et spectateurs. Hélas à part de bons acteurs et une atmosphère réussie de vacances où l'on sent poindre la mélancolie, ce film et sa réalisatrice nous fait souvent languir avec un scénario très mince et des scènes très lentes et répétitives. Dommage, j'espérais qu'il y avait autre chose à raconter au-delà des quelques lignes du synopsis.
Film très surévalué, des longueurs et une construction discutable avec des retours en arrière qui si on a pas lu le synopsis avant, nuisent à la compréhension du propos, de plus on ne comprend pas pourquoi cette relation père-fille qui est quand même le sujet du film, ne s'est pas poursuivie au delà d'une semaine de vacances.Dommage.
Comme un bon souvenir de vacance, ce film se développe autour d'un bonheur déjà nostalgique de lui-même. Un duo d'acteur époustouflant, une photographie ainsi qu'une soundtrack plus que réussies, un vrai souffle de vie.
Aftersun est un film qui montre la relation spéciale qu’à une fille avec son père. Un souvenir raconté avec détails, pas extrêmement touchant mais plutôt juste sans superficiel. Aftersun est le genre de film qu’on a du mal à se souvenir car pas touchant ni même vraiment passionnant. Dommage c’était plutôt prometteur.
Un film difficile à cerner lorsqu'on le découvre sans avoir lu le synopsis. La fin, très belle par ailleurs, apporte une explication mais sinon durant les 3 quarts du film on se demande où la réalisatrice veut en venir. On attend un drame qui n'arrive jamais. Le montage est brillant, entre plans à la caméra et plans au camescope. Le jeu de la jeune actrice est excellent. Celui du père est plus conventionnel. Un film reste en mémoire après son visionnage. Ce qui justifie mes 3 étoiles.
Un premier film d'une grande délicatesse sur les vacances d'un père et de sa fille adolescente, qui, à l'âge adulte, se replonge dans ses souvenirs afin de tenter de décrypter les tourments intérieurs de ce dernier. Les images sont très belles, même si certains plans tombent dans une esthetisation excessive. Le scénario n'est pas très dense puisqu'il s'agit davantage de faire se succéder des instantanés de vie qui nous permettent petit à petit de mieux comprendre la psyché des personnages. Les longueurs sont donc inévitables mais contrebalancées par des moments de grâce (la scène du karaoké ❤️). Mentions spéciales à Paul Mescal ,nommé aux Oscar pour cette performance et à la formidable jeune actrice @frankiecorio ,au jeu incroyable de vérité et de naturel.
Pour son premier long-métrage, sorti en 2022, la jeune réalisatrice écossaise Charlotte Wells signe un film d’une douce expression nostalgique. Pourtant, la simplicité du scénario pourrait rendre l’histoire complétement insignifiante. Mais la manière sensible de traiter la relation entre cette adolescente et son père durant des vacances estivales prend une tournure originale. Malgré d’indéniables longueurs, la caméra parvient à capter les moments de complicité ainsi que la tension qui existent entre ces deux êtres tentant de se rapprocher l’un de l’autre. A ce titre, la jeune actrice Frankie Corio fait preuve d’un charisme impressionnant. Bref, une œuvre qui en dépit de ses maladresses propose un vrai souffle nouveau.
“Aftersun” aurait pu faire une très belle marque d’après-soleil sur la Croisette, mais la réalisatrice Charlotte Wells fraîchement débarquée en a décidé autrement en donnant ce nom à son premier long-métrage, un drame intime sur un fond d’été ensoleillé. Si la photographie et le cadre sont bien présents artistiquement, le contexte de la narration pose quelques problèmes de fond qui frustrent plus qu'ils ne plaisent. Avec les quelques éléments que nous avons sur la situation, les personnages, difficile d’extrapoler le passé des protagonistes, si ce n’est une relation entre un père et sa fille de 11 ans qui commence à devenir une adulte, et c’est dans le propos-ci que ce film m’a touché. La relation entre Calum (Paul Mescal) et Sophie (Frankie Corio) est d’ailleurs d’une grande richesse, car ils se construisent l’un avec l’aide de l’autre. On a vraiment cette impression que le film a un lien particulier avec sa réalisatrice tellement il respire le vrai, le vécu. Malgré les nombreuses longueurs, il ressort de “Aftersun” quelque chose de contemplatif, de beau, d’un lien tissé entre un père et sa fille, et c’est en cela qu’il est remarquable. J’aurais apprécié qu’on aille un peu plus dans le fond du scénario, quelque chose de moins aérien, qui ne laisse pas que des suppositions, sur ces instants de vie qui n’explique pas vraiment en quoi cette relation a pu construire la future Sophie qu’on peut apercevoir sur quelques séquences très furtives du long-métrage. Finalement, je ne sais pas ce que Sophie pense de son père et de sa relation avec lui des années plus tard.
Je ne retiens pas grand-chose de cette évocation familiale qui se fait sur un retour sur images, vingt ans après les faits. C’était les jours heureux pour la jeune Sophie qui passait des vacances estivales avec son père. Les images qu’elle en a rapportées, les vidéos défilent à nouveau dans ses souvenirs. La réalisatrice en retient l’évanescent et la mélancolie dans une mise en scène maniérée, qui se regarde filmer une relation père-fille sans en fournir réellement les motivations. Ça va un temps, mais franchement Par contre "Tuesday", le court métrage qui accompagne le dvd est superbe Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Un subtil film de vacances aux accents autobiographiques : Aftersun narre le séjour en Turquie d’un père et de sa fille de 11 ans, un voyage en apparence anodin et léger, mais qui ne peut masquer un certain malaise. Que cache cette relation et cette figure paternelle ? Ce sera au spectateur de le découvrir (ou pas), au travers de cette œuvre finalement assez simple, sensiblement mélancolique, et portée par deux très bons interprètes.
Un premier film puissant qui méritait une nomination aux Oscars :/ Les plans et les couleurs sont jolis, le choix de la musique est top. Les acteurs jouent trop bien. Une grande expérience émotionnelle pour le spectateur.
Très simple dans sa forme, Aftersun est d'une richesse folle dans le traitement de la relation père/fille qu'il nous expose. La mise en scène, le jeu du duo Paul Mescal/Franckie Corio, la photographie, tout est absolument bouleversant de poésie.
Non, non et non ! Je ne comprends pas qu'on puisse aimer ce film où il ne se passe strictement rien ! Dès le début, on serre les dents ( et les fesses ) en assistant à la vision du père, vu de dos, sur son balcon, en train de fumer. Et ce , en plan fixe pendant cinq longues minutes ! L'intérêt de la chose ? Je cherche encore.... Et ce n'est qu'une longue suite de scènes ennuyeuses, qui donnent l'impression d'assister aux rushes d'un film de vacances dont on a rien à secouer. Car il ne se passe rien de rien. Les dialogues sont insipides, et les rapports sont pauvres de sens. Au bout de 45 minutes, j'ai fui, ce qui est très rare en ce qui me concerne. Mais c'était ça ou l'endormissement profond !
Si comme moi vous aimez la Turquie, des bon acteurs, une bonne idée, ... vous n'aimerez pas ce film! C'est dommage, tout les ingrédients étaient présent pour faire un excellent film, il manquait juste une bonne réalisation...