Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Premier long-métrage de Charlotte Wells, Aftersun s’impose comme l’un des films les plus beaux et complexes de ce début d’année. Une véritable découverte.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
GQ
par Adam Sanchez
C'est avec cette matière d'une incroyable complexité humaine que Charlotte Wells tisse un film à la fois délicat et aux émotions rugueuses.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Emilio Meslet
Bouleversant de beauté.
Le Point
par La Rédaction
L'Écossaise Charlotte Wells signe un premier film époustouflant de grâce qui reste avec le spectateur longtemps après sa première vision, un film vertigineux qui interroge le mystère de l'enfance, des souvenirs et des êtres que l'on aime sans les connaître vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Wells, on l’aura compris, s’intéresse moins aux faits qu’à leur perception. Et tout son travail de mise en scène consiste à affirmer ce mouvement tremblé, ce point flou qui rejoue la victoire deleuzienne de l’image-temps sur l’image-mouvement, de la subjectivité sur le réel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Délicat comme un tableau impressionniste et bouleversant. Il est des films à la facture discrète qui avancent masqués – mais gare au backslash, car dès le moment venu, ils vous arrachent un torrent de larmes !
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce film émeut parce qu’il a les couleurs passées des souvenirs d'enfance symbolisés par des plans qui viendraient du caméscope de cette époque.
Paris Match
par Yannick Vely
Le film n'est pas seulement magnifiquement écrit et interprété - Paul Mescal n'a pas volé sa nomination aux Oscars -, Charlotte Wells a trouvé la pulsation parfaite, donnant par des effets de montage maîtrisés une étrangeté presque fantastique à son récit - la matière des souvenirs et des songes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
En associant d’un coup d’un seul innocence et mélancolie, Charlotte Wells nous foudroie comme rarement.
Transfuge
par Serge Kaganski
Aftersun mesure avec une délicatesse infinie et des acteurs superlatifs ce que peuvent être les sentiments océaniques entre une fille et son père, et quelle puissance de mélancolie proustienne peut sourdre du paradis perdu de l’enfance.
Voici
par La Rédaction
Porté par un duo d’acteurs en état de grâce et une réalisation sensible aux accents expressionnistes, cet Aftersun est un véritable éblouissement.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Avec son rythme alangui, ses effets stroboscopiques et ses doux télescopages, Aftersun a le goût d’un après-soleil amer, mais bouleversant. Un chant d’amour filial au moment charnière de la fin de l’enfance, entre jaune soleil et bleus à l’âme.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Luca Mongai
Aftersun ne se contente pas de mettre en image une collection de souvenirs triés sur le volet : il s’inscrit dans le prolongement d’une mémoire qui ranime à l’envi ce qu’elle souhaite retenir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Avec son montage très travaillé, aux transitions coupées, liant toutes les séquences en un flux de mémoire aquatique, "Aftersun" nous fait doucement perdre pied et, comme Calum, de nous enfoncer dans la gueule des vagues de Turquie sans plus savoir s’il s’agit de rêve ou de réalité et surtout, sans plus se soucier de le savoir.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Mine de rien, ces instants précieux et fragiles tendent vers un final poignant.
L'Obs
par Nicolas Schaller
A la fin, le vécu de Sophie est aussi le nôtre. Miracle d’un film qui voit Charlotte Wells, héritière spirituelle de Claire Denis et Sofia Coppola, nous rendre intimes ses sensations mêlées d’enfant prépubère et d’adulte nostalgique de son papa par la grâce de sa mise en scène ultrasensible et d’acteurs plus vrais que nature.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Pari réussi. (…) Un film plein de grâce.
Le Figaro
par Constance Jamet
Récit d’une simplicité trompeuse des vacances en Turquie, au début des années 1990, de Calum, père célibataire précoce, et Sophie, sa fille de 11 ans, Aftersuna surgi sans crier gare dans cette saison des prix, éblouissant par sa délicatesse, sa capacité à rester au plus près de l’indicible des sentiments sans en fournir une interprétation définitive.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par V. Cau.
Tout ce qui aurait pu nous paraître banal devient dans Aftersun captivant et profondément touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un premier film minimaliste et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Charlotte Wells réussit un joli film sur la perte des illusions d’une fille sur son père, avec de beaux efforts formels au service d’un duo d’acteurs magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Il serait criminel de dévoiler les ressorts scénaristiques de cette fiction ténue et sensible qui fuit l’insistance, le pathos et rappelle parfois, sans jamais s’abîmer dans l’imitation, d’autres films évoquant les relations père-fille comme Alice dans les villes, de Wim Wenders ou Somewhere, de Sofia Coppola
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Pierre Lunn
Premier film de Charlotte Wells, Aftersun est une merveille. La cinéaste capte avec une grande sensibilité un moment de bascule; elle enregistre des instants volatiles avec un talent stupéfiant et croise avec grâce le regard de la gamine et celui de la cinéaste adulte qui fouille ses images et sa mémoire…
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Interprété par Paul Mescal, révélation de la série Normal People, ce personnage de père est bouleversant tant il est secret, jusqu’à la souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Si Aftersun souffre de quelques tics d'un certain cinéma indépendant américain, la délicatesse et la sensibilité de son écriture, de sa mise en scène et de son interprétation en font tout de même un film intrigant et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans une mise en scène au réalisme austère, surgissent d’audacieuses notes impressionnistes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Aftersun nous offre une expérience sensorielle mystérieuse et curieuse, où les images de bonheur distillent une irrépressible sensation de tristesse forçant le spectateur à combler les vides et à imaginer les non-dits. Beau et troublant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mélancolie imprègne le récit dès le début, un sentiment accentué par une mise en scène elliptique et charnelle, qui provoque le malaise en étirant délibérément certaines scènes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Ce film, fait des souvenirs imprécis d’une enfant, débouche sur une narration énigmatique qui peut séduire par sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Les cartes en apparence brouillées semblent progressivement très bien rangées, de façon mécanique, voire formatée – cf. les prévisibles inserts de la femme voyant son père, toujours trentenaire, en détresse lors d’un concert, ou ces passages qui comblent les trous des souvenirs et des images selon les besoins de la cinéaste.
Le Parisien
par La Rédaction
(... ) ce récit, certes empreint de délicatesse, s’avère, au-delà de la mélancolie, d’une tristesse peu séduisante, alors que son récit se prend les pieds dans les clichés, et que sa réalisatrice se regarde le nombril en cumulant des images « arty » qui plaisent tant dans les milieux branchés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Un film créé de toutes pièces pour les festivals indés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Premier long-métrage de Charlotte Wells, Aftersun s’impose comme l’un des films les plus beaux et complexes de ce début d’année. Une véritable découverte.
GQ
C'est avec cette matière d'une incroyable complexité humaine que Charlotte Wells tisse un film à la fois délicat et aux émotions rugueuses.
L'Humanité
Bouleversant de beauté.
Le Point
L'Écossaise Charlotte Wells signe un premier film époustouflant de grâce qui reste avec le spectateur longtemps après sa première vision, un film vertigineux qui interroge le mystère de l'enfance, des souvenirs et des êtres que l'on aime sans les connaître vraiment.
Les Inrockuptibles
Wells, on l’aura compris, s’intéresse moins aux faits qu’à leur perception. Et tout son travail de mise en scène consiste à affirmer ce mouvement tremblé, ce point flou qui rejoue la victoire deleuzienne de l’image-temps sur l’image-mouvement, de la subjectivité sur le réel.
Marie Claire
Délicat comme un tableau impressionniste et bouleversant. Il est des films à la facture discrète qui avancent masqués – mais gare au backslash, car dès le moment venu, ils vous arrachent un torrent de larmes !
Ouest France
Ce film émeut parce qu’il a les couleurs passées des souvenirs d'enfance symbolisés par des plans qui viendraient du caméscope de cette époque.
Paris Match
Le film n'est pas seulement magnifiquement écrit et interprété - Paul Mescal n'a pas volé sa nomination aux Oscars -, Charlotte Wells a trouvé la pulsation parfaite, donnant par des effets de montage maîtrisés une étrangeté presque fantastique à son récit - la matière des souvenirs et des songes.
Positif
En associant d’un coup d’un seul innocence et mélancolie, Charlotte Wells nous foudroie comme rarement.
Transfuge
Aftersun mesure avec une délicatesse infinie et des acteurs superlatifs ce que peuvent être les sentiments océaniques entre une fille et son père, et quelle puissance de mélancolie proustienne peut sourdre du paradis perdu de l’enfance.
Voici
Porté par un duo d’acteurs en état de grâce et une réalisation sensible aux accents expressionnistes, cet Aftersun est un véritable éblouissement.
Bande à part
Avec son rythme alangui, ses effets stroboscopiques et ses doux télescopages, Aftersun a le goût d’un après-soleil amer, mais bouleversant. Un chant d’amour filial au moment charnière de la fin de l’enfance, entre jaune soleil et bleus à l’âme.
Critikat.com
Aftersun ne se contente pas de mettre en image une collection de souvenirs triés sur le volet : il s’inscrit dans le prolongement d’une mémoire qui ranime à l’envi ce qu’elle souhaite retenir.
Culturopoing.com
Avec son montage très travaillé, aux transitions coupées, liant toutes les séquences en un flux de mémoire aquatique, "Aftersun" nous fait doucement perdre pied et, comme Calum, de nous enfoncer dans la gueule des vagues de Turquie sans plus savoir s’il s’agit de rêve ou de réalité et surtout, sans plus se soucier de le savoir.
Femme Actuelle
Mine de rien, ces instants précieux et fragiles tendent vers un final poignant.
L'Obs
A la fin, le vécu de Sophie est aussi le nôtre. Miracle d’un film qui voit Charlotte Wells, héritière spirituelle de Claire Denis et Sofia Coppola, nous rendre intimes ses sensations mêlées d’enfant prépubère et d’adulte nostalgique de son papa par la grâce de sa mise en scène ultrasensible et d’acteurs plus vrais que nature.
La Septième Obsession
Pari réussi. (…) Un film plein de grâce.
Le Figaro
Récit d’une simplicité trompeuse des vacances en Turquie, au début des années 1990, de Calum, père célibataire précoce, et Sophie, sa fille de 11 ans, Aftersuna surgi sans crier gare dans cette saison des prix, éblouissant par sa délicatesse, sa capacité à rester au plus près de l’indicible des sentiments sans en fournir une interprétation définitive.
Le Monde
Tout ce qui aurait pu nous paraître banal devient dans Aftersun captivant et profondément touchant.
Les Echos
Un premier film minimaliste et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
Charlotte Wells réussit un joli film sur la perte des illusions d’une fille sur son père, avec de beaux efforts formels au service d’un duo d’acteurs magnifique.
Marianne
Il serait criminel de dévoiler les ressorts scénaristiques de cette fiction ténue et sensible qui fuit l’insistance, le pathos et rappelle parfois, sans jamais s’abîmer dans l’imitation, d’autres films évoquant les relations père-fille comme Alice dans les villes, de Wim Wenders ou Somewhere, de Sofia Coppola
Première
Premier film de Charlotte Wells, Aftersun est une merveille. La cinéaste capte avec une grande sensibilité un moment de bascule; elle enregistre des instants volatiles avec un talent stupéfiant et croise avec grâce le regard de la gamine et celui de la cinéaste adulte qui fouille ses images et sa mémoire…
Télérama
Interprété par Paul Mescal, révélation de la série Normal People, ce personnage de père est bouleversant tant il est secret, jusqu’à la souffrance.
Ecran Large
Si Aftersun souffre de quelques tics d'un certain cinéma indépendant américain, la délicatesse et la sensibilité de son écriture, de sa mise en scène et de son interprétation en font tout de même un film intrigant et touchant.
La Croix
Dans une mise en scène au réalisme austère, surgissent d’audacieuses notes impressionnistes.
La Voix du Nord
Aftersun nous offre une expérience sensorielle mystérieuse et curieuse, où les images de bonheur distillent une irrépressible sensation de tristesse forçant le spectateur à combler les vides et à imaginer les non-dits. Beau et troublant.
Le Journal du Dimanche
La mélancolie imprègne le récit dès le début, un sentiment accentué par une mise en scène elliptique et charnelle, qui provoque le malaise en étirant délibérément certaines scènes.
aVoir-aLire.com
Ce film, fait des souvenirs imprécis d’une enfant, débouche sur une narration énigmatique qui peut séduire par sa sensibilité.
Cahiers du Cinéma
Les cartes en apparence brouillées semblent progressivement très bien rangées, de façon mécanique, voire formatée – cf. les prévisibles inserts de la femme voyant son père, toujours trentenaire, en détresse lors d’un concert, ou ces passages qui comblent les trous des souvenirs et des images selon les besoins de la cinéaste.
Le Parisien
(... ) ce récit, certes empreint de délicatesse, s’avère, au-delà de la mélancolie, d’une tristesse peu séduisante, alors que son récit se prend les pieds dans les clichés, et que sa réalisatrice se regarde le nombril en cumulant des images « arty » qui plaisent tant dans les milieux branchés.
Libération
Un film créé de toutes pièces pour les festivals indés.