AlloCiné
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FaRem
« Je ne veux qu'un joueur, je veux Jordan. » S'il ne s'agissait pas d'une histoire vraie, on aurait dû mal à imaginer qu'un homme décide de tout miser sur un rookie comme ça. Le choix passe encore, car Michael Jordan était évidemment talentueux et déjà repéré par d'autres marques, mais le fait d'en faire une égérie si rapidement avec une ligne à son nom aurait semblé inimaginable. Et pourtant ! En tant que parieur et amateur de jeux d'argent, Sonny Vaccaro a décidé de faire un all-in sur ce dossier. Un coup de poker et de génie qui a changé à jamais le visage de cette industrie. Avec ce nouveau film, Ben Affleck dresse tout d'abord le paysage de ce milieu concurrentiel largement dominé par Converse avec la marque Nike presque à l'agonie pour ce qui est de sa division basket. Une fois les bases posées, il s'intéresse au deal du siècle à travers un récit riche en détails et surtout fascinant avec en point d'orgue cette puissante prise de parole de Sonny qui est clairement l'un des moments forts du film. Une vraie « success story » à l'américaine à la fois pour la marque et l'athlète qui donne un très bon film porté notamment par une excellente Viola Davis et un remarquable Matt Damon.
Sympa. Beaucoup de blabla biensûr mais c'est convaincant. Sauf parfois l'attitude de Michael Jordan pour qu'on ne le voit pas vraiment. Ca donne des scènes un peu étranges, notamment lors de la réunion chez Nike.
Sinon, c'est moi ou Matt Damon est maintenant "énorme" !?
Sinon, c'est moi ou Matt Damon est maintenant "énorme" !?
c'est un très beau film je trouve que ce film est magnifiquement bien réalisé, ce film te donne un frisson exquis et te montre a quelle point c'est la passion qui domine, je ne connaissais pas tant que ça l'histoire de cette entreprise et je trouve qu'elle est magnifiquement bien raconter, Matt Damon joue bien sin rôle.
J’avais hâte de regarder ce film car c’est une histoire trop méconnue pour un sujet très connu. Et c’est vrai que l’histoire est très intéressante ; après, je trouve que la mise en scène n’est pas très captivante et impersonnelle.
C’est indéniable, l’histoire est passionnante et le scénario lui fait honneur car le film est extrêmement prenant. Du début jusqu’à la fin, nous suivons un personnage qui a un objectif bien clair ; l’enjeu est clair et la narration est efficace. Il y a quand même plusieurs séquences un peu chiantes mais rien d’alarmant. Par ailleurs, je trouve que les personnages manquent de développement et excepté le protagoniste, aucun n’est vraiment attachant. En fait, l’histoire est bien représentée mais les détails sont un peu plus faibles.
Globalement, la réalisation contient de belles images, certains plans sont très esthétiques et il y a des mouvements de caméra qui sont très impressionnants. Malheureusement, la mise en scène n’a rien de singulier ; en comparaison, la réalisation de “Tetris” est relative au jeu “Tetris” ; là, excepté les décors et quelques archives, il n’y a pas grand chose qui rappelle Nike. Cela n’empêche que l’univers sonore et la photographie sont très chouettes mais cela manque un peu de personnalité.
L’histoire est franchement cool et elle vaut le détour ; la mise en scène reste de qualité. Et je recommande ce film car l’ensemble est très intéressant et didactique.
C’est indéniable, l’histoire est passionnante et le scénario lui fait honneur car le film est extrêmement prenant. Du début jusqu’à la fin, nous suivons un personnage qui a un objectif bien clair ; l’enjeu est clair et la narration est efficace. Il y a quand même plusieurs séquences un peu chiantes mais rien d’alarmant. Par ailleurs, je trouve que les personnages manquent de développement et excepté le protagoniste, aucun n’est vraiment attachant. En fait, l’histoire est bien représentée mais les détails sont un peu plus faibles.
Globalement, la réalisation contient de belles images, certains plans sont très esthétiques et il y a des mouvements de caméra qui sont très impressionnants. Malheureusement, la mise en scène n’a rien de singulier ; en comparaison, la réalisation de “Tetris” est relative au jeu “Tetris” ; là, excepté les décors et quelques archives, il n’y a pas grand chose qui rappelle Nike. Cela n’empêche que l’univers sonore et la photographie sont très chouettes mais cela manque un peu de personnalité.
L’histoire est franchement cool et elle vaut le détour ; la mise en scène reste de qualité. Et je recommande ce film car l’ensemble est très intéressant et didactique.
Très bon film, un biopic très intéressant sur l'histoire de univers qui ce rencontre
Viola Davis encore un grand rôle dans sa carrière d'actrice déjà bien fourni
Viola Davis encore un grand rôle dans sa carrière d'actrice déjà bien fourni
"Air" est un film que j'ai adoré. L'histoire revient sur la genèse de l'association entre la marque Nike et le basketteur Michael Jordan. Un long-métrage très captivant avec des personnes tous attachants et très intéressant. Les acteurs sont top, pas un seul moment où je me suis ennuyé et la durée du film est juste parfaite.
Ben Affleck réalise un film brillant ur la création des chaussures de sport Nike avec Matt Damon , Jason Bateman et Viola Davis.
En 2020, Ben Affleck a livré l'une de ses meilleures performances d'acteur dans "The Way Back", un film qui raconte l'histoire d'un entraîneur de basketball en lutte contre l'alcoolisme qui reprend la tête de son ancienne équipe universitaire. Ce rôle a permis à l'acteur de 50 ans de refaire surface après des années de déboires liés à ses propres démons addictifs.
Trois ans plus tard, il est de retour avec un semi-biopic consacré à la plus grande légende du basketball américain. Cette nouvelle réalisation, après l'échec au box-office de son précédent film "Live by Night" sorti en 2017, offre à Ben Affleck l'opportunité de renaître de ses cendres. Pendant quelques années, sa vie personnelle a davantage captivé le public que ses choix cinématographiques.
Pour son cinquième film en tant que réalisateur, Ben Affleck se donne un rôle secondaire mais marquant : il incarne Phil Knight, le fondateur de la marque Nike, dans "Air". Cependant, le rôle qui symbolise le mieux sa renaissance est sans aucun doute celui de Sonny Vaccaro, interprété par son meilleur ami Matt Damon.
Vaccaro, directeur du marketing de la branche sportive de Nike en 1984 (époque du film), est considéré comme un génie mais n'a encore jamais remporté de victoire. Il est un visionnaire de l'industrie et un expert du basketball. Dans le film, il décide de prendre le risque de choisir un jeune prodige universitaire, alors inconnu du grand public : Michael Jordan, comme nouvelle égérie de la paire de baskets Nike qu'il vient de lancer.
De nombreux documentaires ont déjà retracé la carrière du plus grand joueur de basketball de tous les temps, notamment la passionnante série Netflix The Last Dance. Cependant, Air se distingue en évoquant la vie de Michael Jordan avant qu'il ne fasse ses débuts professionnels. Le film nous permet de comprendre la pression qui pesait sur ses épaules dès ses débuts universitaires, alors qu'il était déjà destiné à marquer de son empreinte l'histoire du basket professionnel.
Air met également en lumière le rôle crucial joué par ses parents, en particulier par sa mère Deloris Jordan (jouée par Viola Davis), dans la signature d'un des contrats publicitaires les plus lucratifs de tous les temps.
Cependant, malgré un casting impeccable et un scénario répondant aux codes les plus académiques du biopic, on peut regretter que le film ne prenne pas plus de risques. Les conditions de production des chaussures Nike dans des pays en développement ne sont évoquées qu'en filigrane, tout comme l'absence de contexte politique. En outre, l'utilisation excessive de tubes des années 80 pour la bande originale aurait pu être mieux dosée pour éviter l'écœurement.
Le film Air, réalisé et interprété par Ben Affleck, relate la carrière de Michael Jordan avant ses débuts professionnels, en mettant notamment en lumière le rôle de ses parents, et particulièrement de sa mère Deloris Jordan (incarnée par Viola Davis), dans la signature de l'un des contrats publicitaires les plus lucratifs de tous les temps.
Malgré un casting impeccable et une réalisation solide, le scénario de Air manque de profondeur, se contentant de jouer sur le suspense d'un dénouement dont on connaît déjà l'issue. On aurait aimé que le film explore davantage les personnages et les enjeux de l'époque, en abordant notamment les conditions de production des chaussures Nike dans les pays en développement ou le contexte politique des années 80.
Au final, Air reste un bon biopic, mais manque d'ambition et peut parfois être perçu comme une publicité déguisée pour la célèbre marque
Trois ans plus tard, il est de retour avec un semi-biopic consacré à la plus grande légende du basketball américain. Cette nouvelle réalisation, après l'échec au box-office de son précédent film "Live by Night" sorti en 2017, offre à Ben Affleck l'opportunité de renaître de ses cendres. Pendant quelques années, sa vie personnelle a davantage captivé le public que ses choix cinématographiques.
Pour son cinquième film en tant que réalisateur, Ben Affleck se donne un rôle secondaire mais marquant : il incarne Phil Knight, le fondateur de la marque Nike, dans "Air". Cependant, le rôle qui symbolise le mieux sa renaissance est sans aucun doute celui de Sonny Vaccaro, interprété par son meilleur ami Matt Damon.
Vaccaro, directeur du marketing de la branche sportive de Nike en 1984 (époque du film), est considéré comme un génie mais n'a encore jamais remporté de victoire. Il est un visionnaire de l'industrie et un expert du basketball. Dans le film, il décide de prendre le risque de choisir un jeune prodige universitaire, alors inconnu du grand public : Michael Jordan, comme nouvelle égérie de la paire de baskets Nike qu'il vient de lancer.
De nombreux documentaires ont déjà retracé la carrière du plus grand joueur de basketball de tous les temps, notamment la passionnante série Netflix The Last Dance. Cependant, Air se distingue en évoquant la vie de Michael Jordan avant qu'il ne fasse ses débuts professionnels. Le film nous permet de comprendre la pression qui pesait sur ses épaules dès ses débuts universitaires, alors qu'il était déjà destiné à marquer de son empreinte l'histoire du basket professionnel.
Air met également en lumière le rôle crucial joué par ses parents, en particulier par sa mère Deloris Jordan (jouée par Viola Davis), dans la signature d'un des contrats publicitaires les plus lucratifs de tous les temps.
Cependant, malgré un casting impeccable et un scénario répondant aux codes les plus académiques du biopic, on peut regretter que le film ne prenne pas plus de risques. Les conditions de production des chaussures Nike dans des pays en développement ne sont évoquées qu'en filigrane, tout comme l'absence de contexte politique. En outre, l'utilisation excessive de tubes des années 80 pour la bande originale aurait pu être mieux dosée pour éviter l'écœurement.
Le film Air, réalisé et interprété par Ben Affleck, relate la carrière de Michael Jordan avant ses débuts professionnels, en mettant notamment en lumière le rôle de ses parents, et particulièrement de sa mère Deloris Jordan (incarnée par Viola Davis), dans la signature de l'un des contrats publicitaires les plus lucratifs de tous les temps.
Malgré un casting impeccable et une réalisation solide, le scénario de Air manque de profondeur, se contentant de jouer sur le suspense d'un dénouement dont on connaît déjà l'issue. On aurait aimé que le film explore davantage les personnages et les enjeux de l'époque, en abordant notamment les conditions de production des chaussures Nike dans les pays en développement ou le contexte politique des années 80.
Au final, Air reste un bon biopic, mais manque d'ambition et peut parfois être perçu comme une publicité déguisée pour la célèbre marque
Jorik V
Les temps changent et c’est tant mieux! On s’explique. Il fut un temps pas si lointain où les studios refourguaient leurs films, même de très gros, aux plateformes de streaming pour des sommes mirobolantes car les salles périclitaient et leur avenir devenait incertain. Et bien « Air » est peut-être l’un des premiers spécimens qui montre que cette période trouble, folle et kafkaïenne est révolue. En effet, le film devait sortir uniquement sur Prime Vidéo et s’est finalement vu gratifier d’une sortie en salles suite à la reprise qui s’intensifie depuis le début de l’année. Et pas seulement sur quelques salles pour concourir à de potentielles cérémonies de récompenses, non, en sortie large et nationale! Le cinéma est vivant et reprend donc une belle bouffée d’air frais (pour le jeu de mot facile). Maintenant, avouons que le nouveau film de Ben Affleck est loin d’être son meilleur, c’est même peut-être le moins bon des cinq après les magistraux « Gone Baby, gone », « The Town », « Argo » et « Live by Night » mais cela reste du cinéma qualitatif et intelligent.
Le problème principal de « Air » réside peut-être dans le fait de sa conception et de son origine même. Est-ce que l’histoire qui voit Nike réussir à avoir Michael Jordan pour représenter ses chaussures de basket était assez incroyable, intéressante et cinématographiquement touffue pour mériter un film? Comme on dit : la réponse est dans la question. On a plutôt affaire à une leçon de marketing à l’ancienne, old school, étirée sur un long-métrage avec un beau casting et une excellente reconstitution des années 80. D’ailleurs c’est l’un des bons points du long-métrage : on sent vraiment l’ambiance de cette époque à travers une foultitude de petits détails sans que ce soit voyant et opulent. C’est fait avec finesse, de la bande-son à des accessoires dans le détail ou la patine vintage de l’image. Et les acteurs qu’Affleck a su réunir sont tous royaux, lui-même compris et quoiqu’on en dise, même si on retiendra beaucoup les compositions de la toujours excellente Viola Davis et de Chris Messina, excellent en agent azimuté.
Cependant, sur près de deux heures on doit se farcir des tunnels de dialogue pas toujours très captivants. N’est pas Aaron Sorkin qui veut. Et si on n’est pas étudiant en marketing ou en communication, c’est parfois, non pas nébuleux, mais juste pas vraiment palpitant. On a droit à quelques monologues mais surtout des échanges un tantinet trop techniques entre les personnages qui s’étirent plus que de raison et ne seront pas forcément intéressants pour toutes les strates du public. Et puis Affleck rate quelques séquences pivot comme celle de la rencontre. On aurait aimé que ce soit la cerise sur le gâteau de « Air » mais elle manque de tension, de surprise et de panache. On préfèrera celle, plus intime, où on voit Matt Damon aller envers et contre les avis de tous et se déplacer chez les Jordan pour les convaincre. En somme c’est du beau travail mais cela ne méritait pas forcément un film. Ou, en tout cas, un film fait de la sorte au point qu’on pense que le format documentaire eut été peut-être plus adapté.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Le problème principal de « Air » réside peut-être dans le fait de sa conception et de son origine même. Est-ce que l’histoire qui voit Nike réussir à avoir Michael Jordan pour représenter ses chaussures de basket était assez incroyable, intéressante et cinématographiquement touffue pour mériter un film? Comme on dit : la réponse est dans la question. On a plutôt affaire à une leçon de marketing à l’ancienne, old school, étirée sur un long-métrage avec un beau casting et une excellente reconstitution des années 80. D’ailleurs c’est l’un des bons points du long-métrage : on sent vraiment l’ambiance de cette époque à travers une foultitude de petits détails sans que ce soit voyant et opulent. C’est fait avec finesse, de la bande-son à des accessoires dans le détail ou la patine vintage de l’image. Et les acteurs qu’Affleck a su réunir sont tous royaux, lui-même compris et quoiqu’on en dise, même si on retiendra beaucoup les compositions de la toujours excellente Viola Davis et de Chris Messina, excellent en agent azimuté.
Cependant, sur près de deux heures on doit se farcir des tunnels de dialogue pas toujours très captivants. N’est pas Aaron Sorkin qui veut. Et si on n’est pas étudiant en marketing ou en communication, c’est parfois, non pas nébuleux, mais juste pas vraiment palpitant. On a droit à quelques monologues mais surtout des échanges un tantinet trop techniques entre les personnages qui s’étirent plus que de raison et ne seront pas forcément intéressants pour toutes les strates du public. Et puis Affleck rate quelques séquences pivot comme celle de la rencontre. On aurait aimé que ce soit la cerise sur le gâteau de « Air » mais elle manque de tension, de surprise et de panache. On préfèrera celle, plus intime, où on voit Matt Damon aller envers et contre les avis de tous et se déplacer chez les Jordan pour les convaincre. En somme c’est du beau travail mais cela ne méritait pas forcément un film. Ou, en tout cas, un film fait de la sorte au point qu’on pense que le format documentaire eut été peut-être plus adapté.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
J'ai bien aimé le film Air Courting A Legend , l'histoire est bonne, intéressante, pas de longueur. Et beaucoup de souvenirs (des images d'archives et d'extraits musicaux) de notre jeunesse y sont introduites pour bien marquer l'époque.
I really enjoyed this movie, for all sort of reasons first the story is interesting, we are learning some of the back story behind the Famous Air Jordan shoes, the acting is good, the use of music extract and archive images to make the period work well...and it reminded me of my youth as I was becoming a young man.
I really enjoyed this movie, for all sort of reasons first the story is interesting, we are learning some of the back story behind the Famous Air Jordan shoes, the acting is good, the use of music extract and archive images to make the period work well...and it reminded me of my youth as I was becoming a young man.
Dans un ton léger et même plutôt comique, le nouveau film de Ben Affleck narre l'histoire derrière le contrat révolutionnaire signé entre Nike, alors loin derrière ses concurrents, et Michael Jordan. Le vrai coup du scénario, c'est d'avoir pris le point de vu des employés de Nike et jamais celui de Michael Jordan. Avec ce récit, il faut donc s'attendre à 2h de blabla, avec souvent des dialogues trop étirés qui ont tendance à nous faire bailler...Cet événement est un pas conséquent dans la mise en business du sport. Il aurait été pertinent de critiquer cela, hors le film n'est jamais subversif. Et le propos tombe dans le pathos à la fin, alors même que le film désamorce les situations qui s'y prêtés jusque là ! Je suis resté très peu intéressé par le film, même s'il traite le sport de manière demarquante. Les acteurs étant bon et la réalisation assez immersive, je met un petit 3/5.
Début un peu long à mon goût, mais une fois lancer c'est une belle leçon.
Je ne connaissais pas l'histoire de Jordan et Nike avant d'aller voir le film, c'est intéressant de voir comment cela a été géré et que ça a du influencer les collaborations sportifs / marques de l'époque.
Ne parlons pas du casting qui est pour moi le point fort du film !
Je ne connaissais pas l'histoire de Jordan et Nike avant d'aller voir le film, c'est intéressant de voir comment cela a été géré et que ça a du influencer les collaborations sportifs / marques de l'époque.
Ne parlons pas du casting qui est pour moi le point fort du film !
Je n’ai vraiment pas l’habitude d’écrire de commentaire ou de review sur un film, et c’est d’ailleurs ma première, mais je me devais de le faire pour ce film qui m’a scotché du début à la fin.
Scotché, aussi bien sur l’aspect émotionnel, que sur l’aspect du développement personnel et des valeurs que transmet ce film.
Cette « success story » à l’américaine, terriblement touchante, mais aussi poignante vu les efforts réalisés pour boucler ce « deal » qui changera l’histoire du sport à tout jamais.
Une équipe de « tueurs » qui a repensé le marketing sportif de A à Z, mais pas que, la mode tout entière, quand on voit les chiffres des ventes de Air Jordan dans le monde.
Un film à la « The Founder » où l’on prend une vraie claque, et qui se doit d’être vu par toutes les personnes fans de développement personnel et d’entreprenariat.
« Sonny Vaccaro » ou comment laisser parler son instinct, et provoquer la plus grande réussite sportive de l’histoire.
Grand respect pour cet homme.
Le jeu d’acteur de Matt Damon qui incarne Sonny Vaccaro est tout simplement génial, il rentre dans la peau du personnage d’une manière incroyable, idem pour Ben Affleck jouant Phil Knight. Un chef d’œuvre.
Sans compter l’histoire de la famille Jordan, parfaitement illustrée dans le film par Viola Davis (Deloris Jordan) sans qui l’histoire n’aurait jamais pu être la même, et qui a su, à sa manière, changer l’histoire sport.
Une histoire poignante, émouvante, mais surtout magnifique quant nous voyons comment l’industrie du sport a été bouleversée suite à ce deal.
Un film à voir et à revoir, qui rentrera très problemement dans la catégorie des « classique » et qui représente un excellent film d’apprentissage sur la vie en elle-même : la modestie et l’humilité.
Sans compter le fait de se surpasser, croire en soi et surtout : ne jamais abandonner.
Un film pleins d’enseignement et d’espoir.
Bon visionnage à tous !
Scotché, aussi bien sur l’aspect émotionnel, que sur l’aspect du développement personnel et des valeurs que transmet ce film.
Cette « success story » à l’américaine, terriblement touchante, mais aussi poignante vu les efforts réalisés pour boucler ce « deal » qui changera l’histoire du sport à tout jamais.
Une équipe de « tueurs » qui a repensé le marketing sportif de A à Z, mais pas que, la mode tout entière, quand on voit les chiffres des ventes de Air Jordan dans le monde.
Un film à la « The Founder » où l’on prend une vraie claque, et qui se doit d’être vu par toutes les personnes fans de développement personnel et d’entreprenariat.
« Sonny Vaccaro » ou comment laisser parler son instinct, et provoquer la plus grande réussite sportive de l’histoire.
Grand respect pour cet homme.
Le jeu d’acteur de Matt Damon qui incarne Sonny Vaccaro est tout simplement génial, il rentre dans la peau du personnage d’une manière incroyable, idem pour Ben Affleck jouant Phil Knight. Un chef d’œuvre.
Sans compter l’histoire de la famille Jordan, parfaitement illustrée dans le film par Viola Davis (Deloris Jordan) sans qui l’histoire n’aurait jamais pu être la même, et qui a su, à sa manière, changer l’histoire sport.
Une histoire poignante, émouvante, mais surtout magnifique quant nous voyons comment l’industrie du sport a été bouleversée suite à ce deal.
Un film à voir et à revoir, qui rentrera très problemement dans la catégorie des « classique » et qui représente un excellent film d’apprentissage sur la vie en elle-même : la modestie et l’humilité.
Sans compter le fait de se surpasser, croire en soi et surtout : ne jamais abandonner.
Un film pleins d’enseignement et d’espoir.
Bon visionnage à tous !
Très bon, pour les nostalgiques des 80's et de Jordan. Bon storytelling et le jeu d'acteurs prend bien. Un chapitre légendaire du sport business.
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