Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Rarement a émergé au cinéma avec une telle évidence la spiritualité (chrétienne ou autre) comme expression d’une absence insondable, que Wolliaston réussit à rendre émotionnellement et physiquement palpable.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film pourrait se décrire comme une expérience d’incarnation, mais c’est encore plus certainement le terme « rêverie », mis en avant, qui lui convient le mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Une vie de sainte par la bande, entre colère de la dépossession et ballet nocturne sabbatique : avec Magdala, Manivel réussit le pari du respect strict des Écritures, rehaussé par une rêche et sublime dérive amoureuse - Magdala, elle aussi, s’est donnée pour nous.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
La caméra de Damien Manivel capte l’essence d’une solitude via une fascination totale pour l’épure. Rarement la quête de sacré n’a été aussi concrète.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Lætitia Mikles
Entre sensualisme et ascétisme, Magdala offre à sa passion la radicalité de l’engagement total.
Télérama
par Jacques Morice
Elle vit seule, depuis des années, au cœur de la forêt. (...) Damien Manivel la réinvente en Magdala à la peau noire, avec le minimalisme puissant et magique qu’on lui connaît, depuis Le Parc ou Les Enfants d’Isadora.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film se présente comme une rêverie poétique. Comprenez qu’il faut aimer le cinéma mystique, sensoriel et très contemplatif pour en apprécier le dépouillement et les grâces, trop éparses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un trip sensoriel et radical, quasiment dépourvu de dialogues, d’un minimalisme absolu, qui invite à la contemplation et même à la méditation par sa beauté hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Sandra Onana
Etre posé sur le film, le regarder du dehors, n’est de toute évidence pas l’expérience visée par Magdala. Un film «rêverie» d’une gravité quasi stoïcienne [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
La pureté du geste de cinéaste rime ici avec autarcie, créant une distance permanente avec ce récit et ce personnage, comme si toute main tendue avec le spectateur risquait de constituer un contre- sens avec la quête mystique de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
par T.C.
Malgré sa durée relativement courte, l'ennui finit inexorablement par prendre le pouvoir.
Cahiers du Cinéma
Rarement a émergé au cinéma avec une telle évidence la spiritualité (chrétienne ou autre) comme expression d’une absence insondable, que Wolliaston réussit à rendre émotionnellement et physiquement palpable.
Le Monde
Le film pourrait se décrire comme une expérience d’incarnation, mais c’est encore plus certainement le terme « rêverie », mis en avant, qui lui convient le mieux.
Les Fiches du Cinéma
Une vie de sainte par la bande, entre colère de la dépossession et ballet nocturne sabbatique : avec Magdala, Manivel réussit le pari du respect strict des Écritures, rehaussé par une rêche et sublime dérive amoureuse - Magdala, elle aussi, s’est donnée pour nous.
Les Inrockuptibles
La caméra de Damien Manivel capte l’essence d’une solitude via une fascination totale pour l’épure. Rarement la quête de sacré n’a été aussi concrète.
Positif
Entre sensualisme et ascétisme, Magdala offre à sa passion la radicalité de l’engagement total.
Télérama
Elle vit seule, depuis des années, au cœur de la forêt. (...) Damien Manivel la réinvente en Magdala à la peau noire, avec le minimalisme puissant et magique qu’on lui connaît, depuis Le Parc ou Les Enfants d’Isadora.
L'Obs
Le film se présente comme une rêverie poétique. Comprenez qu’il faut aimer le cinéma mystique, sensoriel et très contemplatif pour en apprécier le dépouillement et les grâces, trop éparses.
Le Journal du Dimanche
Un trip sensoriel et radical, quasiment dépourvu de dialogues, d’un minimalisme absolu, qui invite à la contemplation et même à la méditation par sa beauté hypnotique.
Libération
Etre posé sur le film, le regarder du dehors, n’est de toute évidence pas l’expérience visée par Magdala. Un film «rêverie» d’une gravité quasi stoïcienne [...].
Première
La pureté du geste de cinéaste rime ici avec autarcie, créant une distance permanente avec ce récit et ce personnage, comme si toute main tendue avec le spectateur risquait de constituer un contre- sens avec la quête mystique de son héroïne.
Ouest France
Malgré sa durée relativement courte, l'ennui finit inexorablement par prendre le pouvoir.