Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Nadia Meflah
Thriller nocturne fantomatique, traversé de fulgurantes immolations, le premier film de Youssef Chebbi fascine autant qu’il perturbe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[Un] film, à la fois étrange, inquiétant, aux espaces démesurés mais confortables, rassurant, à la manière d’un musée richement meublé dont on se rendrait compte, une fois installés, accoutumés au lieu et à ses bizarreries, que les murs sont en train de se rapprocher et de se refermer sur vous. Un tour de force balancé sans rien de trop (1h30) et avec une infime minutie par Youssef Chebbi [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
Ashkal sait se faire le témoin cinématographique, sensible et dérangeant, de l'entre-deux démocratique dans lequel se trouve précisément la Tunisie, et parvient à le faire résonner à la fois à une échelle beaucoup plus globale et dans des émotions universelles enfouies, libérées par la montée en puissance, toute en discrète maîtrise, vers un climax mémorable.
Positif
par Nicolas Geneix
Ashkal frappe profondément parce qu’il enquête sur ce que peuvent nous dire et nous faire des images inouïes, qui pourtant se répètent, se reproduisent, hantent les visions comme des revenants.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Remarqué à la Quinzaine des réalisateurs, primé au Cinemed de Montpellier, ce polar fascinant révèle un réalisateur talentueux dont l’approche et le style affirmé détonnent dans le paysage tunisien, peu familier du cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Ma. Mt
Une œuvre sombre et mystérieuse, formellement ambitieuse, qui place d’emblée son réalisateur, né en 1984 dans la capitale tunisienne, dans la galaxie d’un néosymbolisme arabe, misant sur les puissances visionnaires de l’image.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Ce premier long métrage révèle un réalisateur à suivre.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Youssef Chebbi porte son regard sur un lieu si singulier que toute la fiction s’en trouve retournée [...]. [...] l’urbanité psychogéographique insuffle, avec une économie de moyens remarquable, une dimension immatérielle à l’enquête criminelle, sorte de revers fantastique à l’effondrement politique et collectif.
Télérama
par Hélène Marzolf
Ouvert aux interprétations multiples, ce film d’une beauté sombre maintient une tension permanente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
S’il n’est pas sûr qu’en décollant (...) du polar, Ashkal gagne à lui substituer la fascination – le processus d’effacement ainsi enclenché met à l’épreuve récit et personnages, jusqu’à les consumer, le titre apparaît alors comme l’horizon éthéré d’une entreprise somme toute originale : la combustion, sous nos yeux, d’un brûlot politique.
L'Obs
par F. F.
Polar fascinant, ambiance Henning Mankell, voici un film étonnant, qu’on porterait aux nues n’était une conclusion déconcertante qui est peut-être une référence aux immolations du « printemps arabe » ou à une malédiction divine (allez savoir). Dommage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Deux policiers enquêtent sur une série d’immolations spontanées dans ce polar à la mise en scène soignée, qui traite des désillusions de la révolution tunisienne mais souffre d’un propos trop métaphorique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
Fascinant.
Le Figaro
par E.S.
Policiers et promoteurs véreux sont au cœur du récit, métaphore d'un pays en proie à la corruption plus de dix ans après le printemps arabe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Dense et charbonneux, Ashkal débute comme un polar “au cœur du mal” (et des arcanes bureaucratiques dudit mal) avant de doucement migrer vers un drame eschatologique de la jeunesse tunisienne, lassée de la somnolence ignifugée de la vie d’avant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Découvert à la Quinzaine des Réalisateurs cannoise, ce film qui malaxe les genres sans jamais se perdre, laisse une impression tenace.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Ashkal, l’enquête de Tunis s’avère être un récit tout aussi passionnant et intriguant qu’il finit par succomber dans beaucoup de confusions et de maladresses.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Dans le creux de ce filmage manquant d’élasticité, le film éparpille une série de sujets sur la situation politique et sociale du pays (la corruption, l’héritage des dictatures, le traitement inhumain des migrants ou encore la façon dont les réseaux sociaux relayent le discours de radicalisation politique).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Thriller nocturne fantomatique, traversé de fulgurantes immolations, le premier film de Youssef Chebbi fascine autant qu’il perturbe.
Libération
[Un] film, à la fois étrange, inquiétant, aux espaces démesurés mais confortables, rassurant, à la manière d’un musée richement meublé dont on se rendrait compte, une fois installés, accoutumés au lieu et à ses bizarreries, que les murs sont en train de se rapprocher et de se refermer sur vous. Un tour de force balancé sans rien de trop (1h30) et avec une infime minutie par Youssef Chebbi [...].
Mad Movies
Ashkal sait se faire le témoin cinématographique, sensible et dérangeant, de l'entre-deux démocratique dans lequel se trouve précisément la Tunisie, et parvient à le faire résonner à la fois à une échelle beaucoup plus globale et dans des émotions universelles enfouies, libérées par la montée en puissance, toute en discrète maîtrise, vers un climax mémorable.
Positif
Ashkal frappe profondément parce qu’il enquête sur ce que peuvent nous dire et nous faire des images inouïes, qui pourtant se répètent, se reproduisent, hantent les visions comme des revenants.
Le Journal du Dimanche
Remarqué à la Quinzaine des réalisateurs, primé au Cinemed de Montpellier, ce polar fascinant révèle un réalisateur talentueux dont l’approche et le style affirmé détonnent dans le paysage tunisien, peu familier du cinéma de genre.
Le Monde
Une œuvre sombre et mystérieuse, formellement ambitieuse, qui place d’emblée son réalisateur, né en 1984 dans la capitale tunisienne, dans la galaxie d’un néosymbolisme arabe, misant sur les puissances visionnaires de l’image.
Ouest France
Ce premier long métrage révèle un réalisateur à suivre.
Transfuge
Youssef Chebbi porte son regard sur un lieu si singulier que toute la fiction s’en trouve retournée [...]. [...] l’urbanité psychogéographique insuffle, avec une économie de moyens remarquable, une dimension immatérielle à l’enquête criminelle, sorte de revers fantastique à l’effondrement politique et collectif.
Télérama
Ouvert aux interprétations multiples, ce film d’une beauté sombre maintient une tension permanente.
Cahiers du Cinéma
S’il n’est pas sûr qu’en décollant (...) du polar, Ashkal gagne à lui substituer la fascination – le processus d’effacement ainsi enclenché met à l’épreuve récit et personnages, jusqu’à les consumer, le titre apparaît alors comme l’horizon éthéré d’une entreprise somme toute originale : la combustion, sous nos yeux, d’un brûlot politique.
L'Obs
Polar fascinant, ambiance Henning Mankell, voici un film étonnant, qu’on porterait aux nues n’était une conclusion déconcertante qui est peut-être une référence aux immolations du « printemps arabe » ou à une malédiction divine (allez savoir). Dommage.
La Croix
Deux policiers enquêtent sur une série d’immolations spontanées dans ce polar à la mise en scène soignée, qui traite des désillusions de la révolution tunisienne mais souffre d’un propos trop métaphorique.
La Septième Obsession
Fascinant.
Le Figaro
Policiers et promoteurs véreux sont au cœur du récit, métaphore d'un pays en proie à la corruption plus de dix ans après le printemps arabe.
Les Fiches du Cinéma
Dense et charbonneux, Ashkal débute comme un polar “au cœur du mal” (et des arcanes bureaucratiques dudit mal) avant de doucement migrer vers un drame eschatologique de la jeunesse tunisienne, lassée de la somnolence ignifugée de la vie d’avant.
Première
Découvert à la Quinzaine des Réalisateurs cannoise, ce film qui malaxe les genres sans jamais se perdre, laisse une impression tenace.
aVoir-aLire.com
Ashkal, l’enquête de Tunis s’avère être un récit tout aussi passionnant et intriguant qu’il finit par succomber dans beaucoup de confusions et de maladresses.
Les Inrockuptibles
Dans le creux de ce filmage manquant d’élasticité, le film éparpille une série de sujets sur la situation politique et sociale du pays (la corruption, l’héritage des dictatures, le traitement inhumain des migrants ou encore la façon dont les réseaux sociaux relayent le discours de radicalisation politique).