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Denis Gheerbrant, documentariste né en 1948, a longtemps questionné le monde des exclus, tout seul, caméra à l’épaule, dans un souci « d’égalité » avec ses interlocuteurs. Mais c’est en binôme avec Lina Tsrimova, jeune documentariste russe originaire du nord du Caucase, qu’il a coréalisé La Colline, un essai stupéfiant tourné dans une décharge géante, en périphérie de Bichkek, la capitale du Kirghizistan.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
À travers le quotidien de laissés-pour-compte de la soviétisation vivant et travaillant sur une immense déchetterie située près de la capitale du Kirghizstan, un témoignage prenant, pudique et superbement filmé sur la capacité de survie de l’âme humaine.
Au bout du bout de la chaîne du capitalisme, il y a ces hommes et ces femmes, filmés en plan serré, à fleur de peau. Qui illuminent la colline… et ce remarquable documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
Un moment stupéfiant, et nécessaire, de pur cinéma direct
Le Monde
Denis Gheerbrant, documentariste né en 1948, a longtemps questionné le monde des exclus, tout seul, caméra à l’épaule, dans un souci « d’égalité » avec ses interlocuteurs. Mais c’est en binôme avec Lina Tsrimova, jeune documentariste russe originaire du nord du Caucase, qu’il a coréalisé La Colline, un essai stupéfiant tourné dans une décharge géante, en périphérie de Bichkek, la capitale du Kirghizistan.
Les Fiches du Cinéma
À travers le quotidien de laissés-pour-compte de la soviétisation vivant et travaillant sur une immense déchetterie située près de la capitale du Kirghizstan, un témoignage prenant, pudique et superbement filmé sur la capacité de survie de l’âme humaine.
Positif
Voici un univers dantesque où l’esprit survit pour témoigner. Un travail remarquable.
Première
Au bout du bout de la chaîne du capitalisme, il y a ces hommes et ces femmes, filmés en plan serré, à fleur de peau. Qui illuminent la colline… et ce remarquable documentaire.
Télérama
Les images sont somptueuses, mais l’absence de fil narratif ne permet pas de dépasser la simple galerie de portraits.