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    Feu follet
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    21 critiques spectateurs

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    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 973 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2022
    C’est un film portugais qui ose. L’histoire d’un prince qui décide de servir son pays en devenant pompiers et qui va rencontrer Afonso, avec qui il va vivre la passion et la découverte du corps. Un film sensuel, poétique et drôle.
    Delphine Solange
    Delphine Solange

    12 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 septembre 2022
    Ridicule de bout en bout. Dramaturgie, interprétation, musique, dialogues : rien ne va.
    Joao Pedro n'a , à ce jour, qu'un seul bon film à son actif: le très beau mélo Odete.
    Stéphane C.
    Stéphane C.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Un film auteurisant qui a la prétention d'évoquer le passé colonial du Portugal et l'écologie (rien que ça !), en un peu plus d'une heure, sous la forme d'une fantaisie.
    Rien ne fonctionne et totalement excluant, ce film finit par ennuyer malgré la durée..
    traversay1
    traversay1

    3 554 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 juillet 2022
    Au feu le pompier ! Feu follet s'inscrit parfaitement dans le parcours atypique du portugais João Pedro Rodrigues, peut-être encore en plus loufoque en s'exonérant de toutes limites, y compris celles du bon goût. Le film se présente sous forme de "fantaisie musicale" d'une durée réduite, qui conte l'histoire édifiante d'un héritier royal (sans couronne) qui a pour rêve majeur de devenir pompier (!). S'ensuit un début de parcours dans une caserne marqué par une rencontre follement gay et explicite. Tout en abordant des sujets brûlants comme le dérèglement climatique ou les pandémies, Feu follet joue clairement la carte de l'ironie et de l'humour irrespectueux, lesquels paraîtront parfois assez lourds et mécaniques à certains, et ils n'auront pas tout à fait tort. Rodrigues y va fort dans certains domaines mais bizarrement semble se brider dans d'autres, évitant de tout arroser au lance-flammes. Ce trop peu dans l'excès rend le film bancal et finalement sans enjeu autre que celui d'amuser la galerie. L'ensemble est cependant ludique et décomplexé, une farce où tout est érotique et initiatique et qui a le grand mérite de ne pas s'étirer au-delà de 70 minutes. Pas vraiment le temps de s'ennuyer, donc, même si le plaisir pris n'est finalement pas à la hauteur des ambitions de son espiègle metteur en scène.
    Asibe
    Asibe

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2022
    Grand gloubiboulga idéologique prétexte à un traitement artistique esthétisant du sexe gay sur fond de totale misogynie, heureusement, il y a l’humour
    Fabien D
    Fabien D

    178 abonnés 1 136 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2022
    Vu en avant-première, en présence du réalisateur, feu follet est un film singulier, une sorte de conte queer musical qui traite avec douceur et humour de sujets tels que le colonialisme, le racisme etl'homosexualité sans sombrer dans le film à thèse. Cette histoire d'amour entre un prince et un pompier au milieu d'une caserne où les corps se frôlent, se touchent et dansent nous vaut une séquence chorégraphiée d'une incroyable beauté rappelant aurant Beau travail de Claire Denis que le récent Titane. Mais João Pedro Rodriguez ne plie jamais sous le poids des références. Il filme le sexe d'une manière à la fois crue, drôle et ludique, évoque l'écologie à travers une comptine chantée par des enfants au milieu de la forêt, et construit ses plans comme des oeuvres picturales. C'est érotique, gay, un peu kitsch parfois mais aussi touchant, amusant et poétique. Alors, le film est un peu court, sa conclusion un brin elliptique et on a un peu l'impression de voir quelque chose d'inachevé mais il y a dans cette petite heure de belles idées de cinéma et c'est déjà plus que dans beaucoup de films.
    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 février 2023
    En 2069 sur son lit de mort le roi Alfredo se remémore son passé. Encore prince, cinquante ans plus tôt, alors qu’il achevait ses études d’histoire de l’art, il avait obtenu de ses parents l’autorisation de travailler dans une brigade de sapeur-pompier. Il y était tombé amoureux de son instructeur, le bel Alfonso. Mais la mort du père d’Alfredo et son accession au trône avaient eu raison de cette idylle.

    Sorti en salles en septembre dernier, désormais disponible en DVD, "Feu Follet" nous vient du Portugal. Son format est surprenant : il dure une heure et sept minutes seulement. Son style l’est encore plus : "Feu Follet" s’affiche comme une comédie musicale durant laquelle on verra à trois reprises les acteurs pousser la chansonnette et se lancer dans un ballet plus ou moins impromptu.

    C’est surtout un film queer à la sensualité revendiquée et omniprésente. La passion que le jeune Alfredo nourrit pour la pinède royale est lourde d’arrière-pensées érotiques, de fiers troncs durs dressés, de montées de sève printanières. La caserne de pompiers où il est affecté est un nid d’éphèbes dénudés qui préparent la prochaine édition du calendrier. Les gestes de premier secours auxquels Alfonso initie Alfredo sont l’occasion de frôlements exquis.

    Les deux jeunes gens se retrouvent bientôt seuls dans une forêt calcinée. Alfonso est nu, adossé à un arbre, dans une pose de Saint Sébastien. Alfredo ne reste pas habillé très longtemps. Les deux pompiers s’aiment en s’échangeant des mots doux qui résonnent avec le passé colonialiste du Portugal, leur différence de classe et leur différence de peaux.

    "Feu Follet" est traversé par une légèreté qu’on trouvera, selon les cas, charmante ou superficielle. Son hédonisme joyeux est sans doute sa principale qualité, sa modestie son principal défaut.
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 355 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Fantaisie erotico-kitsch, Feu follet raconte la jeunesse d'un roi voulant devenir pompier dans une caserne particulièrement gay. On y danse, on y chante, on y vit nu et on s'y tripote. La tension sexuelle entre les deux personnages principaux est palpable, et c'est là le principal intérêt de ce film heureusement court, et c'est assez rare pour être souligné (pour une fois qu'un réalisateur ne fait pas traîner une idée épuisée sur la longueur).
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 août 2022
    João Pedro Rodrigues (Odete, O Fantasma, Mourir comme un homme, La Dernière fois que j'ai vu Macao, l’Ornithologue) est tombé sur la croisette, en parallèle d’une pluie timide, secouant toute cette bonne foule assommée par une journée enflammée. La Quinzaine des Réalisateurs a toujours tenu une réputation modeste en matière de succès, mais lorsqu’il s’agit de renouveler l’expérience de visionnage, la sélection a de quoi récompenser son audience. Le cinéaste portugais nous revient alors avec une fantaisie musicale, qui assume chacune de ses composantes, chacune de ses idées, politiquement fortes, où une caserne de pompiers va devenir le théâtre d’un conte enchanté et érotiquement chargé.

    Cela ne veut pas dire pour autant qu’il ne tire pas à blanc, dans certaines situations où l’humour viendra compléter le portrait d’un monde rigide. Si les premières minutes viendront attester des thématiques écologiques et érotiques, étroitement liées par la suite, le reste de l’exposition s’attarde sur la famille royale du Portugal, où le prince Alfredo (Mauro Costa) y siège comme un bouffon. À la force du célèbre discours de Greta Thunberg, il affiche son étonnante passion pour la nature, qui va de pair avec son ouverture sexuelle. Contre la volonté de ses parents, il compte ainsi se rapprocher de la nature, celle qu’il cherche à protéger du « Feu Follet » (Fogo-fátuo) et à chérir, autant qu’il chérira le phallus, symbole de révolution et d’élan pour sa cause.

    Il fait alors la rencontre d’Afonso (André Cabral) chez les sapeurs-pompiers, en tant qu’instructeur ou guide pour le reste de sa vie en dehors du cercle royal, qui a tendance à refermer trop rapidement ses portes sur lui-même. Ici, pas de cérémonies, juste de corps qui défilent comme pour souligner l’extase d’une amitié naissante et toujours en accord avec la quête initiale d’Alfredo. Rodrigues capture ainsi le mouvement, en l’appliquant à sa caméra, agile et habitée, tout le contraire de la scène d’ouverture, où la mort guette Alfredo sur son lit de mort ou durant un repas de famille pimentée de grâce et d’absurdité, qui vont le bon vin de cette surprise cannoise.

    Le réalisateur ne cache donc pas son envie de mettre en scène des images, qui ont tout de combustibles, prêtes à donner naissance à la flamme qui anime le héros. Cela passe autour d’une érection et encore bien d’autres arguments démonstratifs, qui seront chantés ou accompagnés d’une sensualité, imperméable à la fatalité du récit. Alfredo apprend de mon mentor, de son ami et amant, tout comme il a développé cette communion avec les arbres, résultats d’une longue période de croissance, de mutation et gestation. Le geste artistique se situe ainsi dans cette imagerie fantaisiste, où les attributs masculins ne s’étendent pas vers la virilité.
    Aubert T.
    Aubert T.

    124 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    Il est étonnant que ce scénario ait pu trouver des financements, tellement c'est inintéressant au possible.
    Nicolas S
    Nicolas S

    43 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2023
    Feu follet raconte l'histoire d'un prince qui se rêvait pompier et prend la forme d'un conte baroque entrecoupé de chorégraphies un peu osées. C'est plutôt amusant, mais tout de même assez anecdotique, en dépit des thématiques lourdes (crise écologique ou post-colonialisme, notamment) qui sont moins abordées qu'évoquées.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2022
    Présenté dès son générique comme une « fantaisie musicale », ce très (trop ?) court film de 1h07 est une délicieuse divagation queer, qui aborde avec une légèreté et une drôlerie de chaque instant des thématiques pourtant lourdes : le rapport au colonialisme, au racisme, au réchauffement climatique. Mais ce film du Portugais João Pedro Rodrigues prend d’abord surtout la forme d’une très belle histoire d’amour, à l’érotisme omniprésent, et aux nombreuses séquences brûlantes de désir. Un très bel objet, qui nous fait juste regretter sa durée : Feu follet est davantage un moyen qu’un long-métrage.
    Dandzfr
    Dandzfr

    17 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2022
    Assez difficile de juger ce film. Entre dénonciation d un passé colonial et un futur apocalyptique le tout avec malgré tout une assez jolie rencontre amoureuse. A l'avantage de ne pas être trop long..
    Maperrinx
    Maperrinx

    21 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2022
    Délire intelligent. Le cinéma doit aussi provoquer des chocs esthétiques, dans le cas esthétique "queer", au delà de messages écolo et de références historiques. Le réalisateur atteint son objectif. Sans tomber dans le pompier.
    Orno13
    Orno13

    11 abonnés 594 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2023
    Un moyen métrage totalement déjanté de joao pedro rodrigues, c est le 1et film que je voie de ce realisateur portugais qui a un talent certes dans la fantaisie assez audacieuse en effet feu follet parle d un jeune prince héritier de la couronne qui est attentif à la préservation de l environnement veut être sapeur-pompier pour combattre les feux qui ravage les forêts de pinèdes , mais du feu on ne voit qu une petite fumée, non le jeune héritier va connaître un autre feu dont je laisserais les spectateurs le découvrir.
    Il y a de très bonne idées assez fantaisistes et surtout quelques scènes assez raide d ailleurs il est interdit au moins de 16ans, mais je trouve que le scénario est tellement perché qu il m a laissé sur le bas côté dommage
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