Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Une délicieuse comédie d’auteur, musicale, de science-fiction, pleine d’humour et d’irrévérences. À voir absolument.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Feu Follet est un film barré, déjanté et presque onirique qui bouscule et subjugue par son audace formelle et anachronique (on passe de 2022 à 2069) et ses libertés très libertines.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Christophe Seguin
Le monde de la caserne mis en scène par Rodrigues est queer, camp, presque épicène comme le mot pompier. S’ils sont musclés et virils, ils s’entraînent pour ça, ces chers pompiers masculins sont avant tout des activistes sous la douche du bizutage arty, pour figurer l’histoire de l’art, du Caravage à Francis Bacon, et aussi des danseurs dociles, chorégraphiés à l’extrême, comme pansexualisés, dévirilisés et détoxifiés. Ils n’ont presque plus rien à voir avec les calendriers qu’on fantasme.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Il y a dans ce film l’idée d’une liberté possible, retrouvée, ou tout simplement à inventer. Celle de notre envie à chacun·e, aux cinéastes, aux comédien·nes, aux spectatrices et spectateurs, de jouir des codes et de renouer avec l’inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Sur un socle libertaire, le cinéaste fait tenir l’urgence climatique, le conflit de générations, l’humour décolonial, défiant le passé impérialiste du Portugal. Cela donne une drôle de sculpture, baroque et païenne, un fantasme offert aux dieux de l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
La force de Rodrigues, c’est de placer le corps avant la parole, comme dans ce film quasi muet qu’était O Fantasma. La bonté rigoureuse avec laquelle il traite ses personnages est un manifeste.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Une sorte d'utopie joyeuse mêlant rigueur de la mise en scène et spectacle d'un désir débridé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
On y aime, on y danse, on s’enivre des beautés poétiques et charnelles du monde, sans perdre de vue la dimension politique du film, qui trouve son apothéose lors d’un épilogue inattendu et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Condensation extrême du cinéma de Rodrigues, sans doute l’un des plus libres au monde, Feu Follet ne s’encombre d’aucun passage obligé.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un film perché sur l’échelle du plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par La Rédaction
Un sens réjouissant du baroque.
Télérama
par Louis Guichard
Une ode aux forêts et aux passions brûlantes, d’une fabuleuse fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Expérimentation politico-queer oscillant entre dépouillement et humour pince-sans-rire, cette œuvre concise et réjouissante est fidèle à l’univers de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
L’univers de Feu follet apparaît [...] comme un réjouissant espace de liberté, où l’on peut expérimenter, par le biais du sexe pour commencer, une lucidité politique qui n’est pas incompatible avec la paix sociale.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Un film aussi ludique que graphique.
Le Figaro
par É.S.
Le Portugais Joao Pedro Rodrigues filme le désir sans se prendre au sérieux. Une fantaisie musicale où le feu se propage surtout aux fesses.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Avec le talent qu’on lui connaît pour la fusion des genres et la transgression, J. P. Rodrigues revient avec une œuvre ludique, mais étonnamment modeste - voire mineure.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Un geste virtuose mais excluant pour qui n’est pas familier avec son travail.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Joao Pedro Rodrigues tisse une œuvre hors sentiers, brève (un peu plus d’une heure) et joyeusement libidineuse. Toute en grâce et en malice, réussissant le prodige d’évoquer le post-colonialisme, l’esclavagisme et autres passifs politiques avec une savoureuse ironie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
Une délicieuse comédie d’auteur, musicale, de science-fiction, pleine d’humour et d’irrévérences. À voir absolument.
CNews
Feu Follet est un film barré, déjanté et presque onirique qui bouscule et subjugue par son audace formelle et anachronique (on passe de 2022 à 2069) et ses libertés très libertines.
Culturopoing.com
Le monde de la caserne mis en scène par Rodrigues est queer, camp, presque épicène comme le mot pompier. S’ils sont musclés et virils, ils s’entraînent pour ça, ces chers pompiers masculins sont avant tout des activistes sous la douche du bizutage arty, pour figurer l’histoire de l’art, du Caravage à Francis Bacon, et aussi des danseurs dociles, chorégraphiés à l’extrême, comme pansexualisés, dévirilisés et détoxifiés. Ils n’ont presque plus rien à voir avec les calendriers qu’on fantasme.
Les Inrockuptibles
Il y a dans ce film l’idée d’une liberté possible, retrouvée, ou tout simplement à inventer. Celle de notre envie à chacun·e, aux cinéastes, aux comédien·nes, aux spectatrices et spectateurs, de jouir des codes et de renouer avec l’inattendu.
Libération
Sur un socle libertaire, le cinéaste fait tenir l’urgence climatique, le conflit de générations, l’humour décolonial, défiant le passé impérialiste du Portugal. Cela donne une drôle de sculpture, baroque et païenne, un fantasme offert aux dieux de l’absurde.
Transfuge
La force de Rodrigues, c’est de placer le corps avant la parole, comme dans ce film quasi muet qu’était O Fantasma. La bonté rigoureuse avec laquelle il traite ses personnages est un manifeste.
Critikat.com
Une sorte d'utopie joyeuse mêlant rigueur de la mise en scène et spectacle d'un désir débridé.
L'Obs
On y aime, on y danse, on s’enivre des beautés poétiques et charnelles du monde, sans perdre de vue la dimension politique du film, qui trouve son apothéose lors d’un épilogue inattendu et réjouissant.
La Septième Obsession
Condensation extrême du cinéma de Rodrigues, sans doute l’un des plus libres au monde, Feu Follet ne s’encombre d’aucun passage obligé.
Le Monde
Un film perché sur l’échelle du plaisir.
Ouest France
Un sens réjouissant du baroque.
Télérama
Une ode aux forêts et aux passions brûlantes, d’une fabuleuse fantaisie.
aVoir-aLire.com
Expérimentation politico-queer oscillant entre dépouillement et humour pince-sans-rire, cette œuvre concise et réjouissante est fidèle à l’univers de son auteur.
Cahiers du Cinéma
L’univers de Feu follet apparaît [...] comme un réjouissant espace de liberté, où l’on peut expérimenter, par le biais du sexe pour commencer, une lucidité politique qui n’est pas incompatible avec la paix sociale.
CinemaTeaser
Un film aussi ludique que graphique.
Le Figaro
Le Portugais Joao Pedro Rodrigues filme le désir sans se prendre au sérieux. Une fantaisie musicale où le feu se propage surtout aux fesses.
Les Fiches du Cinéma
Avec le talent qu’on lui connaît pour la fusion des genres et la transgression, J. P. Rodrigues revient avec une œuvre ludique, mais étonnamment modeste - voire mineure.
Première
Un geste virtuose mais excluant pour qui n’est pas familier avec son travail.
Sud Ouest
Joao Pedro Rodrigues tisse une œuvre hors sentiers, brève (un peu plus d’une heure) et joyeusement libidineuse. Toute en grâce et en malice, réussissant le prodige d’évoquer le post-colonialisme, l’esclavagisme et autres passifs politiques avec une savoureuse ironie.