Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette œuvre âpre et encourageante convainc quasiment plus par son caractère décevant (le spectateur est frustré d’une traditionnelle catharsis) qu’un énième drame de la zone sanctionné par le sang et la mort. Au lieu de la tragédie attendue, Hernandez privilégie la recherche d’une issue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film se démarque du tout-venant socioréaliste sud-américain.
Le Figaro
par P. B.
En se concentrant sur la quête d'identité d'un jeune Colombien qui peine à se reconnaître dans cette image du vrai homme, Fabian Hernandez évite les clichés et la glorification de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Thierry Cheze
La tension ne se dément jamais au fil des minutes.
Transfuge
par Frédéric Mercier
À travers son beau personnage indéfini et une approche réfléchie mais dénuée de jugement moral, Herrnandez montre qu’un varon, c’est d’abord un gamin qui joue aux bonshommes parce qu’il a la trouille.
Voici
par La Rédaction
Ce drame à la mise en scène remarquable parvient à une certaine universalité en explorant avec finesse la violence de la société colombienne.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Dans Un varón, l’errance du jeune Carlos dans les rues de Bogota offre un cadre idéal à son jeune acteur pour se révéler, et à son metteur en scène pour nous envouter.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Le cinéaste n’emprunte jamais la voie du spectaculaire signant une œuvre à la mise en scène contemplative, très absorbée par son acteur principal, Felipe Ramirez, véritable attraction du film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un premier film présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, qui repose sur l’identité fluide du jeune garçon. Et, par effet de contraste, sur l’hypermasculinité des quartiers défavorisés. Mais le film ne sort pas d’un certain conformisme, avec les sempiternelles et prévisibles scènes de baston et de boîte de nuit qui rythment le chemin sacrificiel du héros.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
La qualité de l’œuvre tient dans la véracité de ces visages qui n’ont pas besoin de révéler leur identité (acteurs ou pas ?) pour faire adhérer au projet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La beauté lyrique d’Un Varón se situe justement dans ce drôle d’onirisme que le film fabrique à force de jouer sur l’indécision entre le documentaire et la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
L’intelligence du film sera alors de ne pas chercher à reprendre le fil de [la] mémoire [de Fabián Hernández] mais davantage de se laisser fasciner par son jeune acteur – jouant, on le devine, quelque chose comme son propre rôle – et, ce faisant, à mettre en scène un rêve plutôt qu’un souvenir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Lou Hupel
C’est un film mal élevé que Fabian Hernández nous livre avec une tendresse déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce très beau portrait en mouvement, où le fantastique nimbe le réel, montre, comme rarement, le mécanisme pendulaire entre construction et déconstruction d’un homme dans un pays qui ne reconnaît que la masculinité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Cette œuvre âpre et encourageante convainc quasiment plus par son caractère décevant (le spectateur est frustré d’une traditionnelle catharsis) qu’un énième drame de la zone sanctionné par le sang et la mort. Au lieu de la tragédie attendue, Hernandez privilégie la recherche d’une issue.
CinemaTeaser
Le film se démarque du tout-venant socioréaliste sud-américain.
Le Figaro
En se concentrant sur la quête d'identité d'un jeune Colombien qui peine à se reconnaître dans cette image du vrai homme, Fabian Hernandez évite les clichés et la glorification de la violence.
Ouest France
La tension ne se dément jamais au fil des minutes.
Transfuge
À travers son beau personnage indéfini et une approche réfléchie mais dénuée de jugement moral, Herrnandez montre qu’un varon, c’est d’abord un gamin qui joue aux bonshommes parce qu’il a la trouille.
Voici
Ce drame à la mise en scène remarquable parvient à une certaine universalité en explorant avec finesse la violence de la société colombienne.
aVoir-aLire.com
Dans Un varón, l’errance du jeune Carlos dans les rues de Bogota offre un cadre idéal à son jeune acteur pour se révéler, et à son metteur en scène pour nous envouter.
Culturopoing.com
Le cinéaste n’emprunte jamais la voie du spectaculaire signant une œuvre à la mise en scène contemplative, très absorbée par son acteur principal, Felipe Ramirez, véritable attraction du film.
L'Obs
Un premier film présenté à la Quinzaine des Réalisateurs, qui repose sur l’identité fluide du jeune garçon. Et, par effet de contraste, sur l’hypermasculinité des quartiers défavorisés. Mais le film ne sort pas d’un certain conformisme, avec les sempiternelles et prévisibles scènes de baston et de boîte de nuit qui rythment le chemin sacrificiel du héros.
Le Monde
La qualité de l’œuvre tient dans la véracité de ces visages qui n’ont pas besoin de révéler leur identité (acteurs ou pas ?) pour faire adhérer au projet.
Les Inrockuptibles
La beauté lyrique d’Un Varón se situe justement dans ce drôle d’onirisme que le film fabrique à force de jouer sur l’indécision entre le documentaire et la fiction.
Libération
L’intelligence du film sera alors de ne pas chercher à reprendre le fil de [la] mémoire [de Fabián Hernández] mais davantage de se laisser fasciner par son jeune acteur – jouant, on le devine, quelque chose comme son propre rôle – et, ce faisant, à mettre en scène un rêve plutôt qu’un souvenir.
Première
C’est un film mal élevé que Fabian Hernández nous livre avec une tendresse déchirante.
Télérama
Ce très beau portrait en mouvement, où le fantastique nimbe le réel, montre, comme rarement, le mécanisme pendulaire entre construction et déconstruction d’un homme dans un pays qui ne reconnaît que la masculinité.