Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Une œuvre forte et indispensable, remarquablement interprétée par Kelly Depeault, qui parvient à faire passer toute l’ambivalence d’un personnage à la fois déterminée et fragile, butée et influençable, mais qui reste d’une grande vulnérabilité physique et psychique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Crue sans être voyeuriste, l’œuvre, qui s’assume aussi comme un spot de prévention contre la prostitution infantile, met les passes au cœur de son dispositif narratif : l’adolescente enchaîne les clients comme un ouvrier d’abattage enquille les désossages, femme réifiée à laquelle le film a toujours le souci de redonner sa pleine souveraineté de personnage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Œuvre-choc, Noémie dit oui montre la prostitution adolescente de façon très réaliste en s’attachant au parcours d’une jeune victime. En vue de dénoncer ce fléau, Geneviève Albert déploie une fiction éprouvante, qui ne recule devant aucun tabou.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par F. F.
Troisième film de Geneviève Albert (après « Reviens-tu ce soir ? » et « la Traversée du salon »), ce drame social possède une énergie rare, portée par la conviction fiévreuse de l’actrice principale, Kelly Depeault.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Suivant la descente aux enfers d’une gamine paumée, remarquablement incarnée par la prometteuse Kelly Depeault, ce premier film fort et nécessaire ne ménage pas le spectateur avec son approche très réaliste mais jamais complaisante ou érotisante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Le parti pris clinique dans la mise en scène des différentes passes, la manière de raconter la violence sans se vautrer dans la facilité de l’hypersexualisation et surtout cette façon de ne jamais enfermer Noémie dans un statut de victime mais de montrer une jeune femme qui se bat, forcent ici l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Séverine Danflous
L’actrice tient le film à elle seule. Kelly Depeault est une découverte aussi sauvage que la Kathy Jarvis de Fish Tank quand bien même Geneviève Albert n’est pas Andrea Arnold.
Télérama
par Guillemette Odicino
La force de cette étude choc sur la prostitution occasionnelle des adolescentes repose sur une mise en scène digne des meilleurs films américains indépendants, mais doit surtout beaucoup à la débutante Kelly Depeault, un talent vibrant et délicat à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Porté par la performance de Kelly Depeault, le film de Geneviève Albert nous immerge dans l’enfer de la prostitution. Un long métrage réussi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le récit ne permet pas vraiment de comprendre pourquoi Noémie, qui semble si rebelle, se laisse prendre dans ce traquenard.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Difficile de saisir l’intérêt du sort supplicié (et si familier) réservé à son héroïne et de percevoir dans cette traversée de souffrance, autre chose que l’observation un rien complaisante d’un chemin de croix dont on décèle les pièges avant même que sa jeune héroïne ne s’y englue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Beau sujet, bien filmé, belle intention, jusqu'au moment où l'accumulation des passes, à la limite du voyeurisme involontaire, suscite l’écœurement.
Libération
par Camille Nevers
La dénonciation au vitriol de la prostitution est dans ce cas assortie de son spectacle mi-dégoûté mi-délecté. La nausée bien cadrée, l’exultation sordide.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Une œuvre forte et indispensable, remarquablement interprétée par Kelly Depeault, qui parvient à faire passer toute l’ambivalence d’un personnage à la fois déterminée et fragile, butée et influençable, mais qui reste d’une grande vulnérabilité physique et psychique.
L'Humanité
Crue sans être voyeuriste, l’œuvre, qui s’assume aussi comme un spot de prévention contre la prostitution infantile, met les passes au cœur de son dispositif narratif : l’adolescente enchaîne les clients comme un ouvrier d’abattage enquille les désossages, femme réifiée à laquelle le film a toujours le souci de redonner sa pleine souveraineté de personnage.
Les Fiches du Cinéma
Œuvre-choc, Noémie dit oui montre la prostitution adolescente de façon très réaliste en s’attachant au parcours d’une jeune victime. En vue de dénoncer ce fléau, Geneviève Albert déploie une fiction éprouvante, qui ne recule devant aucun tabou.
L'Obs
Troisième film de Geneviève Albert (après « Reviens-tu ce soir ? » et « la Traversée du salon »), ce drame social possède une énergie rare, portée par la conviction fiévreuse de l’actrice principale, Kelly Depeault.
Le Journal du Dimanche
Suivant la descente aux enfers d’une gamine paumée, remarquablement incarnée par la prometteuse Kelly Depeault, ce premier film fort et nécessaire ne ménage pas le spectateur avec son approche très réaliste mais jamais complaisante ou érotisante.
Première
Le parti pris clinique dans la mise en scène des différentes passes, la manière de raconter la violence sans se vautrer dans la facilité de l’hypersexualisation et surtout cette façon de ne jamais enfermer Noémie dans un statut de victime mais de montrer une jeune femme qui se bat, forcent ici l’admiration.
Transfuge
L’actrice tient le film à elle seule. Kelly Depeault est une découverte aussi sauvage que la Kathy Jarvis de Fish Tank quand bien même Geneviève Albert n’est pas Andrea Arnold.
Télérama
La force de cette étude choc sur la prostitution occasionnelle des adolescentes repose sur une mise en scène digne des meilleurs films américains indépendants, mais doit surtout beaucoup à la débutante Kelly Depeault, un talent vibrant et délicat à suivre.
aVoir-aLire.com
Porté par la performance de Kelly Depeault, le film de Geneviève Albert nous immerge dans l’enfer de la prostitution. Un long métrage réussi.
Le Monde
Le récit ne permet pas vraiment de comprendre pourquoi Noémie, qui semble si rebelle, se laisse prendre dans ce traquenard.
Les Inrockuptibles
Difficile de saisir l’intérêt du sort supplicié (et si familier) réservé à son héroïne et de percevoir dans cette traversée de souffrance, autre chose que l’observation un rien complaisante d’un chemin de croix dont on décèle les pièges avant même que sa jeune héroïne ne s’y englue.
Ouest France
Beau sujet, bien filmé, belle intention, jusqu'au moment où l'accumulation des passes, à la limite du voyeurisme involontaire, suscite l’écœurement.
Libération
La dénonciation au vitriol de la prostitution est dans ce cas assortie de son spectacle mi-dégoûté mi-délecté. La nausée bien cadrée, l’exultation sordide.