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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Culturopoing.com
Love lies bleeding impose la réalisatrice comme la cheffe de file d’un cinéma féminin rageur et puissant, qui ne cède sur aucun terrain pour aller prendre ce qui lui est dû par la seule qualité de son art. Il en devient le geste de cinéma le plus furieusement politique, moderne et transgressif qu’on ait vu depuis bien longtemps.
Voici
Avec Love Lies Bleeding, Glass signe un thriller violent, lesbien et féministe, où elle confirme la singularité et la richesse de son univers. À ne pas manquer !
20 Minutes
La réalisatrice Rose Grass plonge Kristen Stewart et Katy O’Brian dans un bain de sang sexy.
CinemaTeaser
Voir une cinéaste britannique s’emparer autant de la pop culture américaine que de sa mythologie, sans qu’aucune règle ni aucun complexe ne la freine jamais, c’est un moment de cinéma rare et précieux.
Closer
Avec ce polar badass, kitsch et décomplexé, la réalisatrice Rose Glass mixe les genres, les références (Showgirls, Crash, Paris Texas…) et offre un cocktail explosif, fantaisiste et très divertissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Corps féminin mutant, face à la phallocratie déviante : sa force venge les inégalités impuissantes au cœur d’un corps social déséquilibré.
Ecran Large
Rose Glass raconte comment la violence corrompt l’amour et confirme que son cinéma développe un passionnant nihilisme féministe.
Filmsactu
(...) Thriller brutal et tragicomique quelque part entre les frères Coen et David Lynch, sur fond de Thelma et Louise de Ridley Scott. Une ove story sous stéroïdes décomplexée dont on ne ressort pas indemne.
L'Ecran Fantastique
La réalisation du film est tout aussi musclée que sa super-héroïne, bénéficiant de la splendide photo de Ben Fordesman qui avait déjà servi la cinéaste sur son film précédent, mais aussi de la bande originale rock, pop, et envoutante de Clint Mansell (...).
La Voix du Nord
Love Lies Bleeding demeure une proposition incroyablement stimulante qui trébuche inévitablement, mais qui se rétablit de manière surprenante, sans avoir peur de briser les codes, s’inspirant des frères Coen comme de David Cronenberg.
Le Dauphiné Libéré
Rose Glass se saisit d’un monde que n’auraient pas renié les frères Coen : l’Amérique reculée des années 1980, violente, paranoïaque, surarmée et saturée de virilité.
Le Parisien
Love Lies Bleeding surprend par son ton et ses audaces à travers un réjouissant mélange des genres entre thriller, romance féministe et film fantastique. Formidablement réaliste sur les années 80, le long métrage se focalise sur la fascination de l’époque pour le culturisme, avec de belles références à la clé et sans se prendre au sérieux.
Le Point
Douée pour les retournements inattendus et les scènes d'angoisse qui se teintent d'humour noir, elle maîtrise à la perfection les codes du genre, y insuffle un mélange efficace d'étrangeté et d'ironie, et filme avec un maximum d'intensité fiévreuse l'histoire d'amour charnel et passionnée de ses deux héroïnes (...). Une vraie réussite.
Les Echos
Jeune réalisatrice britannique, Rose Glass déboule tête baissée dans le cinéma américain avec un film noir poisseux, sexy, sanglant et culotté. Une réussite réservée aux regards avertis.
Les Fiches du Cinéma
Rose Glass s’essaie au film noir. Le résultat est électrique, et in fine plus abouti que Saint Maud, son premier long métrage.
Les Inrockuptibles
Un thriller qui réjouit autant par son histoire d’amour fulgurante que dans la célébration du corps puissant de son héroïne.
Libération
Sanguinolent hybride des genres, l’étrange film de Rose Glass trouve sa puissance dans ses actrices, avec Kristen Stewart en amoureuse rogue.
Ouest France
Une curiosité envoûtante, où le charisme de Kristen Stewart crève l'écran.
Positif
En seulement deux longs métrages, après l'horrifique et électrisant Saint Maud, portrait grinçant d'une illuminée religieuse, Rose Glass s'affirme déjà comme une grande cinéaste des failles en tout genre.
Sud Ouest
Love lies bleeding reste, par son énergie, sa photographie, son incarnation, un sacré moment de cinéma. Une fable trash et romantique. Gros potentiel de film "culte".
Sud Ouest
Sexe, amour, désir, pulsions, addictions, Rose Glass voit et filme les choses en face, ne détourne pas le regard. Love lies bleeding célèbre avec éclat, sans détours, les noces entre trash et romantisme.
Télé 2 semaines
Tout surprend et fonctionne dans ce thriller lesbien halluciné, et particulièrement l'interprétation de Kristen Stewart, au sommet de son art.
Télé Loisirs
Tout surprend et fonctionne dans ce thriller lesbien halluciné, notamment le jeu de Kristen Stewart, au sommet de son art.
aVoir-aLire.com
Inspiré des séries et du cinéma américains des années 80, Love Lies Bleeding serpente entre la romance lesbienne, le thriller psychédélique et même le fantastique. Une œuvre aussi originale que follement captivante.
CNews
(...) Quelques jolis coups plastiques réussis et une esthétique sonore et visuelle délicieusement eighties, pour les amateurs de curiosités cinématographiques et d’un humour noir que ne renieraient pas les frères Coen.
Cahiers du Cinéma
En dépit de son vernis eighties sous gonflette, Love Lies Bleeding tire ainsi de l’amarante, la fleur en épis désignée par le titre, une hardiesse queer, ruisselante et cramoisie.
Franceinfo Culture
Pas de romance entravée ou cachée, le film flirt avec le fantastique, multiplie les références à la culture LGBT, propose une représentation subversive, mais heureuse.
L'Obs
Révélée par l’horrifique et scotchant Saint Maud, la réalisatrice britannique a un œil unique, un style à la fois cru et clinquant, trash et parodique. Il emmène ce Thelma et Louise lesbien dans des contrées oniriques, voire kitsch assez déroutantes, sans pour autant perdre le fil qui nous relie aux personnages et à sa satire du rêve américain sous l’ère Trump… pardon, Reagan.
Le Figaro
Rose Glass ose tout, le gore et le mauvais goût, pour conter une émancipation féminine contrariée par un masculinisme pervers et une sororité dégénérée. En comparaison, Boulevard de la mort de Quentin Tarantino et Thelma et Louise, de Ridley Scott, sont des promenades de santé.
Le Journal du Dimanche
Après le bluffant Saint Maud, la réalisatrice britannique Rose Glass torpille le rêve américain avec ce thriller féminin, singulier et imprévisible, qui évoque le cinéma des frères Coen pour sa réalité qui vrille, ses héroïnes embarquées malgré elles dans une odyssée criminelle, son humour noir et décalé.
Le Monde
Objet outrageusement pop, Love Lies Bleeding enquille les références jusqu’au vertige : Hulk, L’Attaque de la femme de 50 pieds (Nathan Juran, 1958), Bonnie et Clyde (Arthur Penn, 1968), les films noirs des frères Coen, le body horror cronenbergien. Le film prend sans cesse le risque de se réduire à celles-ci, s’en servant comme d’un produit dopant qui fait pétarader le récit.
Mad Movies
Love lies bleeding n'est pas le chef-d'œuvre définitif du nouveau cinéma indépendant vendu par A24, mais le bâtard rutilant de plusieurs genres déstabilisés sur leurs bases, télescopés dans un tout bordélique et inédit.
Première
Les oripeaux du film noir (...) sont dégradés et progressivement, Love Lies Bleeding bascule vers l’étrange, le gore et le bizarre avec ces images et ces sons marquées du sceau du surnaturel. On ne sait pas trop où l’on va, mais on pourrait aller jusqu’au bout de la nuit pour suivre Lou, sans doute le plus grand rôle de Kristen Stewart, incandescente et cool comme jamais.
Télérama
Rose Glass montre un vrai talent pour jouer avec les codes du cinéma. Sa mise en scène cultive ici le punch, dans un mélange parfois mineur, mais très plaisant de distanciation et d’efficacité, de clins d’œil et de frissons.
Critikat.com
Rose Glass joue sur le suspense et la tension propres au thriller, mais semble plus préoccupée par le souci d’aligner des images fortes que par celui de questionner les motifs dont elle s’empare.
Télé 7 Jours
Muscle, flingues, FBI, désespoir, un zeste de Thelma et Louise et de bonnes rasades d'outrance : le cocktail est corsé. Voire indigeste. Du brutal à ne surtout pas mettre devant tous les yeux.