Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Joyland est un petit bijou attachant, surprenant, plein d’intelligence.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Renaud Baronian
« Joyland » est un long-métrage hors catégorie, unique, original, une pure merveille bouleversante qui raconte une love story enflammée en dénonçant les travers sociaux et religieux de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
La force de Saim Sadiq est de parvenir à sonder les zones frontières, entre le féminin et le masculin, le jour et la nuit, la liberté et la contrainte, le dit et le tu, avec nuance et délicatesse. Le suivre est une expérience troublante et hypnotisante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
“[L]’engrenage des faux-semblants et des frustrations qui semblent structurer la société pakistanaise est analysé avec délicatesse.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Premier long-métrage de son réalisateur, Joyland est une ode au désir. Il surprend, désarçonne et, surtout, bouleverse.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bouleversant et exaltant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Déferlante d’émotion garantie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
La noirceur du tableau dépeint par Saim Sadiq est rehaussée de belles touches de couleur. Joyland n'est jamais misérabiliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Autour de trois personnages qu'il rend aussi attachants que passionnants, Saim Sadiq compose un drame coloré, vivant et finalement tragique, où la quête de liberté butte en permanence contre les interdits d'une société sans nuances, établie sur l'affirmation d'un patriarcat dangereux pour chacun.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
A défaut de l’engloutir, l’amour unissant Biba et Haider provoquera au sein de la famille une implosion qui rebattra les cartes et conduira chacun à se redéfinir. De cet effondrement, on ne sentira rien venir, hypnotisés par la magie d’un film qui, à l’éclat du bruit et de la lumière, préfère le bruissement et le scintillement des nuits.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le jeune Saim Sadiq a été l’une des sensations du dernier Festival de Cannes avec ce drame social qui confronte une société en mutation aux traditions. Jouant sur tous les registres, cette radioscopie du Pakistan séduit grâce à ses personnages tendres et nuancés.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Traversé de détails signifiants sur le visible et l’invisible (une partie de cache-cache, un voile, une obscurité), Joyland se montre et se regarde intensément et surpasse sa douleur par un sauvetage avec une éclaircie à l’horizon.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Vibrant et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Franck Garbarz
Imprimant au récit une tension palpable grâce à la nervosité de sa mise en scène et à ses interprètes inspirés, Saim Sadiq signe un film maîtrisé et palpitant.
Télérama
par La rédaction
Entre fantaisie et vraie confrontation à la solitude de désirs incompris, un très beau film, plein de vie et de courage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Dans un pays aux mœurs ultra conservatrices, le réalisateur pakistanais Saim Sadiq s’aventure avec élégance sur le chemin escarpé d’une masculinité non conforme aux règles établies.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par La rédaction
Le Pakistanais Saim Sadiq raconte, dans le coup de foudre d’un homme pour une danseuse transgenre, dénonçant les dérives violentes du patriarcat.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un geste éminemment politique peut aussi se faire dans la douceur et la tendresse.
Première
par Estelle Aubin
Saim Sadiq filme, sans effet démonstratif, la banalité d’une liaison amoureuse, les premiers émois, les longs dilemmes, les tabous, le retour des mœurs locales. L’amour est politique chez Sadiq. Politique et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Robin Vaz
Le film distille un trouble par endroits, mais reste trop sage pour pleinement convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
Joyland est un petit bijou attachant, surprenant, plein d’intelligence.
Le Parisien
« Joyland » est un long-métrage hors catégorie, unique, original, une pure merveille bouleversante qui raconte une love story enflammée en dénonçant les travers sociaux et religieux de son pays.
Bande à part
La force de Saim Sadiq est de parvenir à sonder les zones frontières, entre le féminin et le masculin, le jour et la nuit, la liberté et la contrainte, le dit et le tu, avec nuance et délicatesse. Le suivre est une expérience troublante et hypnotisante.
Cahiers du Cinéma
“[L]’engrenage des faux-semblants et des frustrations qui semblent structurer la société pakistanaise est analysé avec délicatesse.
CinemaTeaser
Premier long-métrage de son réalisateur, Joyland est une ode au désir. Il surprend, désarçonne et, surtout, bouleverse.
L'Obs
Bouleversant et exaltant.
La Septième Obsession
Déferlante d’émotion garantie.
Le Figaro
La noirceur du tableau dépeint par Saim Sadiq est rehaussée de belles touches de couleur. Joyland n'est jamais misérabiliste.
Le Journal du Dimanche
Autour de trois personnages qu'il rend aussi attachants que passionnants, Saim Sadiq compose un drame coloré, vivant et finalement tragique, où la quête de liberté butte en permanence contre les interdits d'une société sans nuances, établie sur l'affirmation d'un patriarcat dangereux pour chacun.
Le Monde
A défaut de l’engloutir, l’amour unissant Biba et Haider provoquera au sein de la famille une implosion qui rebattra les cartes et conduira chacun à se redéfinir. De cet effondrement, on ne sentira rien venir, hypnotisés par la magie d’un film qui, à l’éclat du bruit et de la lumière, préfère le bruissement et le scintillement des nuits.
Les Fiches du Cinéma
Le jeune Saim Sadiq a été l’une des sensations du dernier Festival de Cannes avec ce drame social qui confronte une société en mutation aux traditions. Jouant sur tous les registres, cette radioscopie du Pakistan séduit grâce à ses personnages tendres et nuancés.
Les Inrockuptibles
Traversé de détails signifiants sur le visible et l’invisible (une partie de cache-cache, un voile, une obscurité), Joyland se montre et se regarde intensément et surpasse sa douleur par un sauvetage avec une éclaircie à l’horizon.
Libération
Vibrant et sensuel.
Positif
Imprimant au récit une tension palpable grâce à la nervosité de sa mise en scène et à ses interprètes inspirés, Saim Sadiq signe un film maîtrisé et palpitant.
Télérama
Entre fantaisie et vraie confrontation à la solitude de désirs incompris, un très beau film, plein de vie et de courage.
aVoir-aLire.com
Dans un pays aux mœurs ultra conservatrices, le réalisateur pakistanais Saim Sadiq s’aventure avec élégance sur le chemin escarpé d’une masculinité non conforme aux règles établies.
Ouest France
Le Pakistanais Saim Sadiq raconte, dans le coup de foudre d’un homme pour une danseuse transgenre, dénonçant les dérives violentes du patriarcat.
Paris Match
Un geste éminemment politique peut aussi se faire dans la douceur et la tendresse.
Première
Saim Sadiq filme, sans effet démonstratif, la banalité d’une liaison amoureuse, les premiers émois, les longs dilemmes, les tabous, le retour des mœurs locales. L’amour est politique chez Sadiq. Politique et mélancolique.
Critikat.com
Le film distille un trouble par endroits, mais reste trop sage pour pleinement convaincre.