Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Servi par d’excellents acteurs au jeu naturel et percutant, circonscrits par le sens du cadre toujours précis, des dialogues fins et l’ampleur de la mise en scène (notamment dans une scène de mariage étonnante, presque à la De Palma) et globalement impressionnante de Saeed Roustaee, ce film émeut profondément.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Si l’Iran avait trouvé son fabuliste en Asghar Farhadi, le pays s’est découvert un cinéaste complètement punk : Saeed Roustaee. Après La Loi de Téhéran, il atteint la perfection avec Leila et ses frères.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
La largeur de point de vue adopté permet la radiographie d’une société iranienne au bord de l’implosion, meurtrie par son conservatisme, la faiblesse de son économie et la puissance de ses adversaires sur la scène internationale.(...) Mais ce qui intéresse le plus le jeune réalisateur, c’est la manière dont ces modes de pensées et ces phénomènes sociaux, économiques et politiques conditionnent et entravent la destinée de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Devant la caméra de Saeed Roustaee, le drame se fait tragédie, le particulier tend à l'universel, et le cinéma tutoie ses plus hauts sommets. Rivés aux arêtes explosives d'une famille au bord de l'implosion, on tient là un des tours de force de 2022.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Adam Sanchez
Un imposant bloc de cinéma de 160 minutes aussi prodigieuses qu'enragées dans lequel le cinéaste iranien d’à peine 32 ans confirme ses talents.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce drame passionnant impressionne par la virtuosité, l’ampleur et l’ambition de sa mise en scène, qui déborde d’idées, par la mécanique de son intrigue implacable et irréversible, par l’excellence de son interprétation (avec des regards d’une intensité folle), par le réalisme des dialogues et des situations.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
Même s’il existe une tradition du film social en Iran, celui-ci est traversé par une rage particulière qui l’éloigne du dolorisme des pauvres gens pour construire un autre récit, plus retors, où l’effort individuel pour s’en sortir, l’héroïsme panique de la débrouille [...] se fracasse contre des enjeux de pouvoirs, des gratifications humiliantes, des promesses de gains virant, aussitôt calculés, en nouvelle ligne de dettes [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Michel Oriot
Tous les acteurs sont épatants, à commencer par Saeed Poursamimi en patriarche dépassé.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Fondé sur la coutume du parrain qui n’a guère d’équivalent dans l’Hexagone et sur un usage intensif et théâtralisé du verbe, le récit, parfois comique, se meut en chronique familiale plutôt tragique, passionnante métonymie d’un pays en crise sociale, économique et politique.
Voici
par Daniel Blois
Un très grand film, écrit, mis en scène et interprété avec virtuosité.
20 Minutes
par Caroline Vié
Après « La Loi de Téhéran », Saeed Roustaee signe une nouvelle fresque puissante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Une brillante comédie familiale et féministe.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film fleuve enivrant.
Franceinfo Culture
par La rédaction
Le réalisateur de La loi de Téhéran décrit subtilement une société iranienne à bout de souffle tant sur le plan politique qu'économique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
En cela, c’est le cinéma italien des années 1960-1970, celui de Pietro Germi et d’Ettore Scola, qu’évoque la réussite de « Leila et ses frères », jusque dans le marasme économique que révèle son éruptif portrait de famille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Après l’impressionnant Loi de Téhéran, le jeune réalisateur iranien de 32 ans confirme tout son talent avec cette chronique familiale à l’énergie torrentielle.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Il faut sans doute accepter une première heure bavarde et hésitante. Beaucoup de cris aussi. Mais la mécanique se met implacablement en marche, âpre, bouleversante, digne des fameux scénarios à dilemme d’un autre cinéaste iranien, Asghar Farhadi.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
S’il fait le portrait sociologique très universel de ces classes moyennes effondrées qui n’en finissent plus de subir la crise économique et le déclassement, Saeed Roustaee dépeint d’abord un vaillant portrait de femme forte.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Mis en scène avec une incandescence sacrément féroce, Leila et ses frères s’avère un puissant et attachant portrait de famille.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
L’âpreté des disputes familiales se révèle parfois éprouvante, mais la séquence finale, magistrale, achève de nous convaincre qu’avec Saeed Roustaee, 33 ans, l’Iran a engendré un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Féroce et impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Entre une issue sociale à inventer et les automatismes d’une société corrompue, une famille se déchire pour échapper au déclassement. Après La Loi de Téhéran, Saeed Roustaee jette à nouveau un regard peu amène sur la société iranienne. Un grand cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec « Leila et ses frères », Saeed Roustaee signe un film audacieux et s’inscrit dans une longue lignée de metteurs en scène iraniens en lutte contre la censure.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Si le film a des côtés agaçants [...], il déploie une mise en scène ambitieuse et revigorante, au service de cette puissance féminine, sensiblement interprétée par Taraneh Alidoosti.
Paris Match
par Yannick Vely
Saeed Roustaee est particulièrement habile pour tisser les liens entre les membres de la famille, pour donner à chaque personnage une histoire dans l'histoire, comme des matriochkas qui révèlent peu à peu les secrets et les rancunes enfouis sous la surface du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une tragédie familiale de près de trois heures, aussi sidérante qu’éprouvante.
Télé Loisirs
par Camille Brun
Avec sa réalisation très maîtrisée et ses acteurs épatants, cela donne la remarquable et suffocante radiographie d'une société hypocrite et corrompue.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière cette tragédie familiale quasi cornélienne, se cache le destin d’un pays, l’Iran, étouffé par l’embargo américain, l’inflation galopante, la destruction de l’emploi et le poids du conservatisme religieux. Un choc cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Outre un scénario bruissant et enfiévré qui, par la logorrhée verbale, met à nu et à vif les rapports de force qui structurent cette famille au bord de la rupture, la mise en scène parachève jusqu’à l’excellence le sentiment d’étouffement des personnages.
Première
par Thierry Chèze
Leila et ses frères ne cherche jamais à se rendre aimable et son aspect en surrégime permanent en fera décrocher certains au fil de ses 2h45 qui auraient gagné à être resserrées. Mais au moins Roustaee va au bout de son parti pris façon jeu de massacre des travers d’une société iranienne gangréné par les dérives du patriarcat et des magouilles sans éclat à tous les étages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le film impressionne dans un premier temps par la cohérence avec laquelle ce mouvement d’emplissage et de désemplissage financier s’articule avec la façon dont l’enflement des longues joutes verbales s’ensuit de piteux actes manqués. Mais c’est sans doute cette cohérence même qui empêche Leila et ses frères d’émouvoir, de dépasser son programme scénaristique.
Critikat.com
par Josué Morel
Au lieu de faire fructifier les quelques promesses entrevues dans son précédent film, Roustaee en confirme plutôt les limites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sans retirer le moins du monde l’estime que l’on porte à Roustayi, il faut bien avouer que ce nouvel opus fait un peu déchanter. Car c’est davantage du côté d’un petit théâtre de la cruauté familiale et d’un art consommé du dilemme moral à la Asghar Farhadi que nous emmène cette fois Roustayi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On sent bien que, formellement (de longs travellings lents), Saeed Roustaee, qui n’a que 32 ans, a voulu “passer à la vitesse supérieure”, comme on dit, sortir du film de genre très codifié de La Loi de Téhéran, pour aborder un grand récit familial et moral.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Servi par d’excellents acteurs au jeu naturel et percutant, circonscrits par le sens du cadre toujours précis, des dialogues fins et l’ampleur de la mise en scène (notamment dans une scène de mariage étonnante, presque à la De Palma) et globalement impressionnante de Saeed Roustaee, ce film émeut profondément.
CinemaTeaser
Si l’Iran avait trouvé son fabuliste en Asghar Farhadi, le pays s’est découvert un cinéaste complètement punk : Saeed Roustaee. Après La Loi de Téhéran, il atteint la perfection avec Leila et ses frères.
Culturopoing.com
La largeur de point de vue adopté permet la radiographie d’une société iranienne au bord de l’implosion, meurtrie par son conservatisme, la faiblesse de son économie et la puissance de ses adversaires sur la scène internationale.(...) Mais ce qui intéresse le plus le jeune réalisateur, c’est la manière dont ces modes de pensées et ces phénomènes sociaux, économiques et politiques conditionnent et entravent la destinée de ses personnages.
Ecran Large
Devant la caméra de Saeed Roustaee, le drame se fait tragédie, le particulier tend à l'universel, et le cinéma tutoie ses plus hauts sommets. Rivés aux arêtes explosives d'une famille au bord de l'implosion, on tient là un des tours de force de 2022.
GQ
Un imposant bloc de cinéma de 160 minutes aussi prodigieuses qu'enragées dans lequel le cinéaste iranien d’à peine 32 ans confirme ses talents.
Le Journal du Dimanche
Ce drame passionnant impressionne par la virtuosité, l’ampleur et l’ambition de sa mise en scène, qui déborde d’idées, par la mécanique de son intrigue implacable et irréversible, par l’excellence de son interprétation (avec des regards d’une intensité folle), par le réalisme des dialogues et des situations.
Libération
Même s’il existe une tradition du film social en Iran, celui-ci est traversé par une rage particulière qui l’éloigne du dolorisme des pauvres gens pour construire un autre récit, plus retors, où l’effort individuel pour s’en sortir, l’héroïsme panique de la débrouille [...] se fracasse contre des enjeux de pouvoirs, des gratifications humiliantes, des promesses de gains virant, aussitôt calculés, en nouvelle ligne de dettes [...].
Ouest France
Tous les acteurs sont épatants, à commencer par Saeed Poursamimi en patriarche dépassé.
Positif
Fondé sur la coutume du parrain qui n’a guère d’équivalent dans l’Hexagone et sur un usage intensif et théâtralisé du verbe, le récit, parfois comique, se meut en chronique familiale plutôt tragique, passionnante métonymie d’un pays en crise sociale, économique et politique.
Voici
Un très grand film, écrit, mis en scène et interprété avec virtuosité.
20 Minutes
Après « La Loi de Téhéran », Saeed Roustaee signe une nouvelle fresque puissante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une brillante comédie familiale et féministe.
Elle
Un film fleuve enivrant.
Franceinfo Culture
Le réalisateur de La loi de Téhéran décrit subtilement une société iranienne à bout de souffle tant sur le plan politique qu'économique.
L'Obs
En cela, c’est le cinéma italien des années 1960-1970, celui de Pietro Germi et d’Ettore Scola, qu’évoque la réussite de « Leila et ses frères », jusque dans le marasme économique que révèle son éruptif portrait de famille.
La Croix
Après l’impressionnant Loi de Téhéran, le jeune réalisateur iranien de 32 ans confirme tout son talent avec cette chronique familiale à l’énergie torrentielle.
La Voix du Nord
Il faut sans doute accepter une première heure bavarde et hésitante. Beaucoup de cris aussi. Mais la mécanique se met implacablement en marche, âpre, bouleversante, digne des fameux scénarios à dilemme d’un autre cinéaste iranien, Asghar Farhadi.
Le Dauphiné Libéré
S’il fait le portrait sociologique très universel de ces classes moyennes effondrées qui n’en finissent plus de subir la crise économique et le déclassement, Saeed Roustaee dépeint d’abord un vaillant portrait de femme forte.
Le Figaro
Mis en scène avec une incandescence sacrément féroce, Leila et ses frères s’avère un puissant et attachant portrait de famille.
Le Parisien
L’âpreté des disputes familiales se révèle parfois éprouvante, mais la séquence finale, magistrale, achève de nous convaincre qu’avec Saeed Roustaee, 33 ans, l’Iran a engendré un grand cinéaste.
Les Echos
Féroce et impressionnant.
Les Fiches du Cinéma
Entre une issue sociale à inventer et les automatismes d’une société corrompue, une famille se déchire pour échapper au déclassement. Après La Loi de Téhéran, Saeed Roustaee jette à nouveau un regard peu amène sur la société iranienne. Un grand cinéaste est né.
Marianne
Avec « Leila et ses frères », Saeed Roustaee signe un film audacieux et s’inscrit dans une longue lignée de metteurs en scène iraniens en lutte contre la censure.
Marie Claire
Si le film a des côtés agaçants [...], il déploie une mise en scène ambitieuse et revigorante, au service de cette puissance féminine, sensiblement interprétée par Taraneh Alidoosti.
Paris Match
Saeed Roustaee est particulièrement habile pour tisser les liens entre les membres de la famille, pour donner à chaque personnage une histoire dans l'histoire, comme des matriochkas qui révèlent peu à peu les secrets et les rancunes enfouis sous la surface du quotidien.
Télé 7 Jours
Une tragédie familiale de près de trois heures, aussi sidérante qu’éprouvante.
Télé Loisirs
Avec sa réalisation très maîtrisée et ses acteurs épatants, cela donne la remarquable et suffocante radiographie d'une société hypocrite et corrompue.
aVoir-aLire.com
Derrière cette tragédie familiale quasi cornélienne, se cache le destin d’un pays, l’Iran, étouffé par l’embargo américain, l’inflation galopante, la destruction de l’emploi et le poids du conservatisme religieux. Un choc cinématographique.
La Septième Obsession
Outre un scénario bruissant et enfiévré qui, par la logorrhée verbale, met à nu et à vif les rapports de force qui structurent cette famille au bord de la rupture, la mise en scène parachève jusqu’à l’excellence le sentiment d’étouffement des personnages.
Première
Leila et ses frères ne cherche jamais à se rendre aimable et son aspect en surrégime permanent en fera décrocher certains au fil de ses 2h45 qui auraient gagné à être resserrées. Mais au moins Roustaee va au bout de son parti pris façon jeu de massacre des travers d’une société iranienne gangréné par les dérives du patriarcat et des magouilles sans éclat à tous les étages.
Cahiers du Cinéma
Le film impressionne dans un premier temps par la cohérence avec laquelle ce mouvement d’emplissage et de désemplissage financier s’articule avec la façon dont l’enflement des longues joutes verbales s’ensuit de piteux actes manqués. Mais c’est sans doute cette cohérence même qui empêche Leila et ses frères d’émouvoir, de dépasser son programme scénaristique.
Critikat.com
Au lieu de faire fructifier les quelques promesses entrevues dans son précédent film, Roustaee en confirme plutôt les limites.
Le Monde
Sans retirer le moins du monde l’estime que l’on porte à Roustayi, il faut bien avouer que ce nouvel opus fait un peu déchanter. Car c’est davantage du côté d’un petit théâtre de la cruauté familiale et d’un art consommé du dilemme moral à la Asghar Farhadi que nous emmène cette fois Roustayi.
Les Inrockuptibles
On sent bien que, formellement (de longs travellings lents), Saeed Roustaee, qui n’a que 32 ans, a voulu “passer à la vitesse supérieure”, comme on dit, sortir du film de genre très codifié de La Loi de Téhéran, pour aborder un grand récit familial et moral.